suite de 1° ) ◙ UNE PARCELLE DE MOI ♥
▬ Bonjour à ceux qui viennent rendre visite dans ma petite grotte ou je conserve mes souvenirs tristes et heureux ….
▬ Buongiorno a tutti quelli che rendono visita nella mia piccola grotta dove custodisco miei ricordi tristi e felici...
J’étais seule avec ma pensé d'un jour gris de septembre et mon regard s’immobilisa sur un tout petit objet non identifié qui bougeait sur un petit tas de cailloux, tout au tour des grands ballons de pailles que le fermier avait préparé pour l’hiver, le vent respirait léger sur mon visage comme une caresse, je n’avais pas envie de rester là dans l’incertitude de ne pas savoir. Je courre dans ma cuisine chercher mes vielles lunettes inutilisables déjà de plusieurs d'années..
Mais ! Où j’ai mis ces bonnes vielles lunettes qui me faisaient saigner mon petit nez ? ah ! les voici… je les prends et je courre dehors pour mieux voir l’objet non identifié.
Je ne vois plus l’objet alors je décide de me rapprocher, mon cœur battait plus fort à fur à mesure qui je m’approchais car je ne savais pas ce qui je pouvais y trouver.
Pendant que je marchais ma pensée me renvois loin en ce jour où j’étais enfermé dans un cagibi pour n’avoir fini mon dîné que la cuisinière avait préparé pour nous les enfants délaissés par nos parents dans cet établissement qui portait le nom « Maison de St Giovanni Bosco » dirigé par des bonnes sœurs..
La cuisinière était une fillette parmi tante autres, délaissée comme nous son malheur était qui n'arrivait pas à retenir en mémoire ses leçons d'école, donc jugée trop stupide, un âne comme elles le disaient, elle avait la malchance aussi qui ses parents étaient morts et ses grands-parents et la seule famille qui lui restait se sont comportés comme Ponce Pilate oui! Se sont lavé les mains de ce gros fardeau qui s'appelait Mima...
Mima donc était bonne « bonne double sens» simplement à vivre dans l'arrière local de la cuisine "un petit débarras" Mima était très heureuse de ce petit local sans fenêtre sans lumière de toute manière n'avait pas besoin, étant donné qu'elle se couchait et se levait très tôt, et passait ses journées dans les fourneaux pour préparer les repas de tout les pensionnaires, nous étions 80 fillettes environ "aucun garçons" les personnes âgés environs 40 femmes et 50 hommes, et bien sûr aussi de 18 Sœurs y compris la mère Supérieure.
Mima était très heureux de son petit château comme l'appelait-elle, moi je l’aimais beaucoup Mima, était une fille qui avait grandi très vite dans cet endroit de fumée, de différentes odeurs de brûlé ou de forte humidité, on l'appelait la reine des cendres… Oui !! du fait que les fourneaux fonctionnaient avec la paille et le bois, si ma mémoire ne me trahit pas Mima avait quelque années de plus de moi ... (("étrange qu'entre nous nous ne connaissions pas l'âge des autres enfants…. les anniversaires??... mais qu'est-ce que c'est ce gros mot?... Je ne savais pas que ce mot existât sur un dictionnaire, le premier anniversaire je l'ai fêté à 18 ans j'étais heureuse comme une collégienne... collégienne?? mais je l'étais hihihihi!!!!" )) je disais nous étions presque du même âge, je crois, étant donné qu'elle était en viande et j'étais peau et os, j'avais l'impression qui Mima pour sa corpulence était plus grande que moi, la seule différence entre nous deux, elle était une vraie orpheline ne venait vraiment personne lui rendre une visite, moi, je voyais grand-père ou maman tous les 5ans si n’était pas de plus,
De toute façon j'étais amie de Mima nous étions deux solitaires elle était heureuse avec ses fourneaux, ses marmites qui ne finissait jamais de laver "mais je dois avouer que je l'enviais souvent je voulais être là à sa place, d’avoir aussi mon petit château tout pour moi, et non un dortoir, une sale de repos communs sans parler du réfectoire, cet endroit que je haïssais beaucoup, tout simplement parce que je n'aimais pas ce qui nous présentaient dans nos plats presque vides et sans goût, Mima quand il finissait de nettoyer elle était libre d'occuper ses heures comme elle le désirait…
Elle m'invitait souvent dans son château, et me parlait d’elle me racontait ses rêves, et j'étais heureuse à l‘écouter d'admirer ce qu'elle gardait dans son palé précieusement, par exemple une fleur séchée qu'avait trouvé dans la cour de la cuisine, c'était son quartier, elle n'avait pas le droit de venir chez nous là-haut dans les endroits des filles nous étions affectées à la broderie prières et des études, nous étions très surveillées, quand je pouvais, j'allais la retrouver dans les moments de repos, et le dimanche, le dimanche nous étions 2 h libres le matin et l'après-midi, du fait soit que Mima et moi nous n'allions jamais dans le parloir nous étions les deux petites orphelines elle l’était vraiment et moi pour abandon "si on peut dire ainsi."
La sœur qui était responsable de la cuisine s'appelait Sœur Rosa une femme grande semblable à un rugbyman et en plus était amie de Maman Elle, j'étais donc son enfant préféré…. Voilà le pourquoi j'avais la possibilité de fréquenter les quartiers d’en bas en cuisine, je me rappelle que Sœur Rosa me prenait par la main et me cahotait avec elle quand faisait l’inspection dans les différentes pièces des réserves alimentaires j'étais émerveillée quand elle s'asseyait devant un objet artisanal rond de bois avec une lame qui levait et descendait "manuellement" pour couper le pain ou le fromage à tranches, je me rappelle encore le bon parfum de pain de maison hummmm!!!! Comme c’était bon quand me donnait un petit bout de pain encore chaud avec un peu de sel et d’huile d'olives !.
Et pendant quelle coupait le pain me racontait des petites épisodes de ma mère et mon père puis un jour elle m’a chanté :
♫ Ninna-nanna ♪
♪ ninna oh!! ♪manna oh!! ♫
♪ cette morte bouteille* ♫
♫que ne te prend jamais ♪
♪ Ninna-nanna petite fille ♫
♪ ninna oh!! ♪manna oh!! ♫
♫ que la morte butteille* ♪
♪ te viendra te chercher vite ♫
♫ ♪ ♫ ♪ ♫
c’était une berceuse que paraît-il ma grand-mère me chantait quand j’étais encore bébé, quand elle venait me retrouver, l’ironie du sort je ne sais pas de quelle mamie s’agissait soit paterne ou materne que bien sûr je ne les ai pas connues …
-- *bouteille = c’était le gros mot qu’était interdis "le métier le plus vieux du monde b...
Je suis fatigue d'écrire "faire les corrections des deux langues mes pupilles se ferment" parbleu il est 05:45 voilà pourquoi je meure de sommeille!! bien je vais continuer plus tard je vous souhaite un bon mardi de ce 25 septembre et à moi un bon sommeil...je couuureeee dans les bras de Morphée elle m'attend... à bientôt avec la suite ♥ Lina
▬ PETIT PLUS POUR Renforcer ma triste enfance
Comme certainement tous moi aussi j’ai un Facebook hihihi !! et j’ai la chance d’avoir beaucoup d’amis formidables, de tous milieux sociaux, malheureusement sont tous très loin ‘Italie » entre mes amis un grand poète/écrivint « Vincenzo RUSSO » ce étrange car j’ai une tante en Sicile que s’appelle aussi RUSSO, donc en visitant le profile de Vincenzo je suis tombé sur une poésie, je l’ai lu à plusieurs reprise et à chaque fois mes larmes coulaient à me couper le souffle, tout simplement parce que cette poésie raconte des épisodes souffertes cachés au fond de moi, ((en lisent part de mon journal intime vous comprendrez mieux)) et ce poème se marie bien avec cette episode de ma vie que je viens de faire ….. voici le Poème de Vincenzo RUSSO « plus loin je ferai une biographie de ce beau poète de la belle NAPOLI= NAPLE pour mieux le faire connaître soit en Italie soit ici en France ….
• Le Berceau
Encore une nuit dans l'obscurité.
lui manque ta fable,
lui manque de dormir
avec toi sur son nuage,
berceau comme en caserne,
alignée, égal,
berceau de rêves brisés,
prison sans idéaux,
lune, hoquets et larmes,
les larmes de nombreux,
prêtes à témoigner,
les fils tu dois les aimer,
pas pour les vouloir
nés pour respirer,
mais fut pour votre choix,
celle de procréer,
instants de plaisir,
jouir et ne pas savoir,
gouttes d'amour en fruit,
pour donner vie au deuil,
je me demande le pourquoi
ce sont les destinataires,
d'un cauchemar infini,
de vivre la vie.
Or de nuit est lumière.
lui donne sûreté,
en anticipant les rêves,
un baiser et une caresse,
ils sont devant eux
avec ces cinq doigts,
précèdent chaque pas,
lui enseignent la vie.
Mère ne te connaît pas,
ces jours là tu l'abandonnas,
a pleuré tes sourires,
par ce que tu ne dis pas.
Mère tu pleures ton fils
par ce qui ne t'a pas donné,
désormais n'a pas plus de larmes
de quand il fut adopté.
de Vincenzo Russo dans le recueil "Autour à toi..." an 2004
♥ .......◘.....◘.....◘.....◘.....◘.....◘.....◘.........♥
Ricordi Lontani
Ero sola con il mio pensiero in un giorno grigio di settembre ed il mio sguardo si immobilizzò su un piccolo oggetto non identificato che si muoveva su un piccolo mucchio di sassi, e tutto intorno c'erano dei grossi palloni di paglia che il contadino aveva preparato per l'inverno, il vento respirava leggero sul mio viso come una carezza, non avevo voglia di restare lì nell'incertezza di non sapere, corro nella mia cucina a cercare i miei vecchi occhiali inutilizzabili di già bene da tanti anni..
Ma! Dove ho messo questi buon vecchi occhiali che mi facevano sanguinare il mio nasino?.... ah! eccoli lì!!! li prendo ed corro fuori per veder meglio l'oggetto non identificato, non lo vedo bene, allora decido di avvicinarmi di più, il mio cuore batteva più forte a misura che mi avvicinavo, perché non sapevo ciò che potevo trovarsi.
E mentre camminavo il mio pensiero mi rinviò in quel giorno lontano dove ero chiuso in un ripostiglio per non avere finito il mio pasto che la cuoca aveva preparato per noi i bambini lasciati li dai nostri genitori in quel stabilimento che portava il nome " Casa di St Giovanni Bosco" diretto dalle buone suore ..
La cuoca era una bambina come tanti altri, abbandonata come noi la sua disgrazia era quella di non arrivava a trattenere in memoria le sue lezioni di scuola, giudicata dunque troppo stupida, un asino come esse le dicevano, aveva anche la sfortuna che i suoi genitori erano morti ed i sue nonni e la sola famiglia che le restava si son comportati come Ponzo Pilato, si! lavate le mani di questo grosso fardello che si chiama Mima...
dunque Mima era semplicemente buona da vivere nel locale dietro cucina "un piccolo ripostiglio" Mima era molto felice di questo piccolo locale senza finestra senza luce tanto non ne aveva bisogno dato che si coricava e si alzava molto presto, e passava le sue giornate nei fornelli per preparare i pasti di tutto i convittori, noi eravamo 80 bambine "niente maschietti" le persone anziane circa 40 donne e 50 uomini, e ben certamente anche di 18 Suore ivi compreso la madre Superiore.
Mima era molto felice del suoi piccolo castello come lo chiamava lei, io le volevo molto bene era una ragazza cresciuta molto presto li in quel luogo di fumo, di odori vari di bruciato o di forte umidità, la chiamavano la regina delle ceneri, si!! perché i fornelli funzionavano con paglia et legna, se la mia memoria non mi tradisce aveva qualche anno più di me... ("strano che tra noi non conoscevamo l'età delle altre bimbe,... i compleanni??... ma cos'è questa parolaccia ?... non sapevo che esistesse questa parola su un dizionario, il primo compleanno l'ho festeggiato a 18 anni ero felice come una collegiale... collegiale ??.. ma lo ero hihihihi!!!!" ), dicevo eravamo quasi della stessa età, almeno credo dato che lei era in carne et io ero pelle ed osa avevo l'impressione che Mima per la sua corpulenza era più grande di me, la sola differenza tra noi due, lei era una vera orfana non veniva veramente nessuno renderle una visita io per lo meno vedevo nonno o mamma ogni 5anni se non di più.
Comunque ero amica di Mima eravamo solitari, lei era felice con i suoi fornelli, le pendole che non finiva mai di lavare "ma devo confessare che spesso la invidiavo... si!... volevo essere al suo posto, avere anch'io il mio piccolo castello tutto per me, e no un dormitorio, una stanza di riposo comune senza parlare del refettorio, quel luogo che odiavo tanto, tutto semplicemente perché non amavo quel che ci presentavano nei nostri piatti quasi vuoti et senza sapore,
Mima quando finiva di pulire era libera di occupare le sue ore come lei lo desiderava mi invitava spesso nel suo castello, e mi raccontava di se dei suoi sogni, ed io ero felice ad ascoltarla ammirare quel che lei custodiva preziosamente nel suo palé, per esempio "un fiore seccato che aveva trovato nel cortile della cucina", quel era il suo quartiere, non aveva il diritto di venire su da noi nei reparti delle fanciulle che eravamo addetti al ricamo preghiere et studi, ed eravamo moto sorvegliati, quando potevo l'andavo a trovare nei momenti di riposo e domenica , la domenica eravamo liberi 2 h il mattino et il pomeriggio siccome, sia che lei Mima ed io non andavamo mai in parlatorio eravamo le due orfanelli lei veramente ed io per abbandono "se si può dire cosi".
La suora che era responsabile della cucina si chiamava Suor Rosa una donna grande stille un rugbyman ed era amica di Mamma Ella dunque ero la sua bimba preferita ecco perché avevo la possibilità di frequentare i reparti giù in cucina, mi ricordo che Suora Rosa mi prendeva per mano e mi traballava con se quando faceva ispezione nei vari locali delle riserve alimentari, ero meravigliata quando si sedeva davanti un apparecchio artigianale rotondo di legno con una lama che alzava e scendeva "manualmente" per tagliare il pane o formaggio a fette, mi ricordo ancora il bel profumo di pane di casa hummmm!!!! com'era buono quando mi dava un piccolo pezzo ancora caldo con un po di sale e olio di oliva...
E mentre che, lei tagliava il pane mi raccontava dei piccoli episodi di mia madre e mio padre... poi un giorno mi cantò: ¸
♫ Ninna-nanna ♪
♪ ninna oh!! ♪nanna oh!! ♫
♫ questa morta bottiglia * ♫
♪ che non ti prende mai ♪
♫ Ninna-nanna piccola bimba ♫
♪ ninna oh!! ♪nanna oh!! ♪
♫ che la morta bottiglia *♫
♪ ti verrà cercarti subito ♪
♫ ♪ ♫ ♪ ♫
Era una ninna-nanna che sembrerebbe mia nonna mi cantava quando ero ancora bébé, quando veniva a ritrovarmi, l'ironia della sorte non so di quale nonnina si trattava, o paterne o materne..... che certamente non le ho conosciute
-- * bottiglia = era la parolaccia che era vietata di dire "il mestiere più vecchio del mondo b..na.
Son stanca di scrivere "farò le correzioni delle due lingue le mie pupille si chiudono" perbacco sono le 05:45 eco perché ho tanto sono !! ben continuo più tardi vi auguro un buon martedì di questo 25 settembre ed io un buon sonno ...coorrooo le breccia di Morfea mi aspettano... a presto con il seguito ♥ Lina
▬ PICCOLO DI PIÙ Per Rinforzare la mia triste infanzia
Come certamente tutti, anch'io ho un Facebook hihihi!! ed ho la fortuna di avere molti amici formidabili, di ogni mezzo sociale, purtroppo sono molto lontano "tutti Italia" tra i miei amici un grande poeta/romanzieri "Vincenzo RUSSO" questo strano perché ho una zia in Sicilia che si chiama anche RUSSO, dunque visitando il profilo/bacheca di Vincenzo sono caduto su una poesia, l'ho letto parecchi volte ed ad ogni volta le mie lacrime colavano a tagliarmi il soffio, semplicemente perché questa poesia racconta degli episodi sofferti nascosti in fondo a me, ( leggono parte del mio giornale intimo comprenderete meglio) questa poesia si sposa bene con questo episodio della mia vita che ho appena fatto.ecco la Poesia di Vincenzo RUSSO "più in là farò una biografia di questo bel poeta di Napoli= Naple Vincenzo RUSSO per meglio farvelo conoscere sia in Italia sia qui in Francia hihihi!!!! ♥
“ La culla “
Ancora una notte al buio.
Gli manca la tua favola,
gli manca di dormire
con te sulla sua nuvola,
culla come in caserma,
allineata, uguale,
culla di sogni infranti,
prigione senza ideali,
luna, singhiozzi e pianti,
le lacrime di tanti,
pronte a testimoniare,
i figli li devi amare,
non per volere loro
nati per respirare,
ma fu per vostra scelta,
quella di procreare,
attimi di piacere,
godere e non sapere,
gocce d’amore in frutto,
per dare vita a lutto,
mi chiedo perché mai
sono i destinatari,
di un incubo infinito,
di vivere la vita.
Ora di notte è luce.
Gli danno sicurezza,
anticipando i sogni,
un bacio e una carezza,
sono davanti a loro
con quelle cinque dita,
precedono ogni passo,
gli insegnano la vita.
Madre non ti conosce,
quel dì lo abbandonasti,
ha pianto i tuoi sorrisi,
per ciò che non dicesti.
Madre piangi il tuo figlio
per ciò che non ti ha dato,
ormai non ha più lacrime
da quando fu adottato.
Di Vincenzo Russo dalla raccolta "Intorno a te..." anno 2004
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