Où étais-je ?
Je suis seule dans un bois loin de la ville, et je marche sans savoir où aller. il plut et soudain l'eau tombe sur moi, j'ai froid et mon corps se mette à trembler, je me répare sous un arbre mais l'arbre n'ai pas de feuillages, je pleure car la peur commence à m’envahir
Je suis seule dans un bois loin de la ville, et je marche sans savoir où aller. il plut et soudain l'eau tombe sur moi, j'ai froid et mon corps se mette à trembler, je me répare sous un arbre mais l'arbre n'ai pas de feuillages, je pleure car la peur commence à m’envahir
Ce jour là en marchant, j'arrivais dans un sentier entouré
par un épais feuillage, je n'avais aucune idée de l'endroit où je me trouvais et
déjà le ciel commençait à s'assombrir.
Le soleil disparut au bout de l’horizon, faisant place à
des nuages gris qui commençaient à couvrir le ciel.
C’était l’heure où tout semble immobile entre la vie et le
mort, la nuit commençait à tomber !
Après m’être éloignée de la route et avoir marché vers le
Nord pendant plusieurs heures j’arrivai à un endroit où les arbres étaient de
plus en plus menacent serrés et où la lumière était de plus en plus difficile d'avancer
pour moi,. J’aurais voulu retourner sur mes pas et regagner la route
Je savais que c’était impossible, car, il ne me restait pas
assez de temps .
Déjà le soleil s’était couché, la lumière était de plus en plus faible, la nuit commençait
à tomber !
Je marchais, les feuilles craquaient sous mes pas, l'eau des flaques tremblait sous le vent qui dispersait les feuilles .
Où
étais-je ?
Je n’en avais aucune idée . La lumière était de plus en
plus faible.
Quels dangers m’attendaient ? Comment allais-je sortir
de ces bois ?
Qui étaient ces êtres qui allongeaient leurs ombres vers
moi, comme des bras ?
Qui pouvait m’aider ? Qu’allait-il arriver ?
Des tas des questions me venaient à l’esprit, la peur
m’envahissait : une peur effrayante me paralysait, je
n'avais pas de force .
Je n’y voyais plus rien,
la brise commençait à tomber sur
moi
Je commençais à
tomber, il était déjà tard pour
retourner sur mes pas, dans le silence de la nuit je m’étais, sur un tas de feuilles
mortes endormie.
Jamais je ne saurai si ce n'était qu'un rêve ou la réalité...
(tiré de "À la recherche de
mon enfance de Lina Randazzo.")
Lina Randazzo
24 mai 1988
Copyright ©
24 mai 1988
Copyright ©
Dove ero?
Sono sola in un bosco lontano dalla città, e cammino senza sapere dove andare.
Pioveva e improvvisamente l'acqua cade su di me, ho freddo e il mio corpo inizia a tremare, mi riparo sotto un albero ma l'albero non ha foglie, piango, perché la paura comincia a invadermi.
Quel giorno là, camminando arrivavo in un sentiero circondato d'un denso fogliame non avevo nessuna idea del luogo dove mi trovavo e di-già il cielo cominciava ad oscurarsi.
Pioveva e improvvisamente l'acqua cade su di me, ho freddo e il mio corpo inizia a tremare, mi riparo sotto un albero ma l'albero non ha foglie, piango, perché la paura comincia a invadermi.
Quel giorno là, camminando arrivavo in un sentiero circondato d'un denso fogliame non avevo nessuna idea del luogo dove mi trovavo e di-già il cielo cominciava ad oscurarsi.
Il sole scomparso alla fine dell'orizzonte, aveva fatto posto alle nuvole grige che cominciavano a coprire il cielo.
Era l'ora dove tutto sembra immobile tra la vita ed la morte, la notte cominciava a scendere!
Dopo essermi allontanata della strada e di avere camminato verso Nord durante parecchie ore arrivai a un luogo dove gli alberi erano sempre più stretti e dove la luce era sempre più difficile avanzare per me. Avrei voluto ritornare i miei passi e riguadagnare la strada
Sapevo che era impossibile, perché non mi restava molto tempo.
Di-già il sole si era coricato, la luce era sempre più debole, la notte cominciava a scendere!
Camminavo le foglie scricchiolavano sotto i miei passi, l'acqua delle pozzanghere tremava sotto il vento che disperdeva le foglie.
Dove ero?
Non aveva nessuna idea. Di-già la luce era sempre più debole.
Quali pericoli mi aspettavano? Come vado ad uscire da questi boschi?
Chi erano questi esseri che allungavano le loro ombre verso me, come delle braccia ?
Chi poteva aiutarmi? Che cosa andava ad arrivare?
Parecchie domande mi venivano alla mente, la paura mi invadeva : una paura spaventosa mi paralizzava, non ne avevo la forza.
Non vedevo più niente la brina cominciava a cadere su me
Avevo cominciato a cadere, era già tardi per tornare sui miei passi, nel silenzio della notte mi ero su un mucchio di fogli morti addormentata.
Mai avrò saputo se questo era che un sogno o la realtà...
(tirato di "alla ricerca della mia infanzia de Lina R.")
Lina Randazzo
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