~ Le vieux et le passant ~
Il était une fois un vieux, un des plus pauvres qui restait sur la terre, immobile il scrutait loin en silence depuis des heures le beau paysage pas loin de son modeste domicile
Curieux un passant qui l'observait de loin se rapprocha pour savoir à quoi il était en train de penser d’ainsi tenace à le laisser impassible pour des heures et des heures assis là par terre. Avec calme il lui demande :
"Dis-moi vieux qu'observes-tu en bas sur la plaine du vieux petit village?"
Le vieux toujours en silence et pensif ne fit pas de signe, ni aucun son ne sortit de ses lèvres, le passant attendit en vain une réponse du pauvre vieux.
En voyant le soir se rapprocher le passant se remit en chemin, avec une pensée fixe : "qu’observe donc le vieux ?"
Le jour d’après le passant revint sur cette rue là en haut sur la colline, et retrouva le vieux encore assis par terre à observer la même direction, curieux lui posa la même question:
"Dis-moi vieux qu'observes-tu en bas sur la plaine du vieux petit village? "
Le vieux cette fois-ci encore, resta immobile et muet, avec colère le passant l'insulta, le traitant de mal élevé, de sale vieux, de pauvre dément immoral et insensible, et d’autres mots censurés par moi, qui raconte cette belle histoire à réfléchir.
Il en fut ainsi pendant plusieurs jours, le curieux passant de plus en plus furibond et avec rage laissait le vieux, calme, après lui avoir lancé beaucoup d'insultes.
Le dimanche vint, le passant revient sur cette colline, et trouva encore le vieux toujours là assis par terre immobile, pensif à observer la même direction.
Le passant observant le pauvre vieux en silence, encore plus curieux que jamais, s'assied lui aussi à côté de lui et en silence scruta la même direction pour comprendre peut-être quelque chose...
Ils passèrent ainsi des heures en silence jusqu’à arriver au crépuscule.
Des yeux du passant commencèrent à descendre de chaudes larmes, il avait compris que ce vieux était un vrai sage.
Il avait comprit qu'il n'aurait jamais cru le vieux s'il lui avait dit la vérité...
Le passant avait vu en bas dans le petit village sa nouvelle ferme, cette ferme qu'avec beaucoup de sacrifices et ouvrage il tâchait de faire vivre en vendant tous les œufs de ses poules avec des merveilleuses plumes et l’allure fière, en tirant ainsi des bénéfices il pouvait réussir à vivre son rêve... Mais hélas tous ses rêves tardaient à se réaliser .
Pauvre homme sûr de lui, il avait donc compris le vrai motif pour lequel son commerce ne réussissait pas à se répandre et avoir des bénéfices, il comprit alors, que sa ferme était la seule du village qui avait peu d'œufs, pauvre diable!!! lui qui laissait à l'air libre dans la belle cour ornée par des splendides arbres les plus belles poules pour les faire admirer par des passants en lui faisant ainsi de la publicité gratuite pour sa ferme transformée en un onéreux commerce.
Pauvre passant!!! lui qui était fier de sa ferme et de ses poules d'un plumage pas comme les autres.
Lui qui se vantait à droite et gauche avec supériorité de ses poules à la fière allure, assis là bas à côté de vieux sage, il vit pavaner devant le fier coq de la cour toutes ses poules qu'il soignait avec amour, et découvrait qu'il n'obtenait des œufs que des quatre poules déplumées qu'il tenait cachées derrière la petit basse-cour à l'ombre de tous les regards des passants
La décision fut adoptée bien vite, plumer toutes ses poules qui étaient là seulement pour émerveiller et attraper les passants avides seulement de beauté.
(Récit de Lina Randazzo)
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~ Il vecchio ed un passante ~
C'era una volta un vecchio, uno dei più poveri che rimanevano sulla terra, immobile scrutava in silenzio da ore il bel paesaggio non lontano della sua modesta dimora
Incuriosito un passante che l’osservava da lontano, si avvicinò per sapere cosa stesse pensando di cosi tenace a lasciarlo impassibile per ore e ore seduto li per terra. Con calma le chiede :
"Dimmi vecchio cosa osservi la giù sulla pianura del vecchio paesello ?"
Il vecchio sempre in silenzio e pensoso non fece segno, ne alcun suono usci delle sue labbra, il passante aspettò invano una risposa del povero vecchio.
Vedendo la sera avvicinarsi, il passante si rimise in cammino, con un pensiero fisso: «Cosa osserva il vecchio»
Il giorno dopo il passante ritornò su quella strada la in alto sulla collina, e ritrovò ancora il vecchio seduto là per terra ad osservare la stesa direzione, curioso le domanda la stesa cosa :
"Dimmi vecchio cosa osservi la giù sulla pianura del vecchio paesello ?"
Anche questa volta il vecchio rimase muto et immobile, con rabbia il passante lo insultò, dandole del mal educato, un sporco vecchio, d’un povero pazzo immorale et insensibile, ed altre parole censurate da me che racconto questa bella storiella da rifletterci un poco sopra.
E cosi fu per dei giorni successivi, il passante curioso sempre più indispetitto et con la rabbia dentro lasciava il vecchio, per la calma che aveva dopo avergli lanciato tanti insulti.
Venne il giorno di domenica il passante ritorna su quella collina, il vecchio come sempre è seduto li per terra, immobile, pensoso ad osservare la stessa direzione.
Il passante in silenzio osservando il povero vecchio ancora più curioso che mai, si sedete accanto a lui et in silenzio anche lui scruta la stessa direzione di quel vecchio, per capire forse qualcosa, cosi passano delle ore in silenzio fin ad arrivare al crepuscolo.
Dagli occhi del passante cominciarono a scendere lacrime calde, aveva capito che quel vecchio era un vero saggio.
Aveva capito che non avrebbe mai creduto al vecchio se gli avesse detto la verità...
Il passante aveva visto là giù nel paesello la sua nuova fattoria, quella fattoria che con tanti sacrifici e opere cercava di farla vivere, vendendo tutte le uova delle sue galline dalle meravigliose piume e l’aspetto fiero, ricavando così il profitto poteva riuscire a vivere il suo sogno... Ma purtroppo tutti i suoi sogni tardavano a realizzarsi .
Povero uomo sicuro di sé, capì il vero motivo per cui il suo commercio non riusciva a espandersi ed aver benefici, capì allora il perché la sua fattoria era l’unica del villaggio che ricavava poche uova,
Povero diavolo! lui che lasciava a l'aria libera nel bel cortile ornato da splendidi alberi le più belle galline per farle ammirare dai passanti facendogli cosi, la pubblicità gratuita della sua fattoria trasformata in un costoso commercio.
Povero passante!!, era fiero della sua fattoria e delle sue galline con un piumaggio non come le altre del villaggio.
lui che si
vantava a destra e sinistra con superiorità, li seduto vide pavoneggiare
davanti al fier gallo della corte tutte le sue galline che curava con
amore, scoprì cosi che ricavava solamente le uova dalle quattro
gallinelle spelacchiate che le teneva nascoste dietro il pergolato a
l’ombra di ogni sguardo dei passanti
La decisione fu ben presto adottata, spellò tutte le sue gallinelle che erano li solo per meravigliare ed acchiappare i passanti avidi solamente di bellezza.
Racconto di Lina Randazzo
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