~ LA BALLE EST DANS MON CAMP ~ "maltraitances conjugales"
J'aurais préféré ne jamais rien savoir,
car je détiens une bombe,
je ne me suis pas méfiée assez tôt,
seulement désagréable, médisant,
et un peu étrange, et puis,
de toute façon, si maigre soit-il,
il était le bienvenu à la maison,
et aussi parce que je ne voulais plus
passer mes journées seule,
seule avec mes angoisses et tristes silences.
Mais il n’aurait rien fallu dire,
il n'aurait fallu se laisser aller à aucune confidence,
il n'aurait, surtout fallu parler de mes soucis à personne,
des regards vers la mer,
des sentiments que nul ne sais interpréter.
Comment ai-je su ce que tous ignorent ?
J'aimerais comprendre pourquoi, mais,
pourquoi personne ne prend la peine
de m'expliquer, tous sont murés,
dans un étrange silence,
est ce parce que, je suis moi ? ...
Désormais ma seule amie est le silence,
silence..., solitude..., ignare existence...,
les hommes les plus respectables,
commettent dans l'ombre,
les pires atrocités.
Mais ! maintenant la balle est dans mon camp .
(Lina Randazzo janvier 1984)
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- (ceci et une vraie histoire) déroulée dans mon voisinage, tous les voisins fermaient leur porte, je la revois encore pauvre femme en larmes avec une touffe de cheveux dans sa main, un regard à faire peur, elle s'est réfugiée dans ma maison, je confesse que j'avais une peur terrible j'étais seule avec mes enfants encore petits; je fis appel aux forces de l'ordre, le conjoint était ivre, il a passé la nuit derrière les barreaux et le lendemain, aussitôt libre il recommença.
Ceci est un appel à nous tous, ne restons pas des simples spectateurs des maltraitances conjugales, et aussi sur les enfants, c'est notre sacré saint devoir; autrement on se rend complices, et condamnables pour non assistance à autrui .
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~ LA PALLA E NEL MIO CAMPO ~ "maltrattamenti coniugali"
Avrei preferito ne mai sapere
poiché detengo un bomba,
non mi sono diffidata assai presto,
solamente sgradevole, pettegola,
e un pò strana ...e poi,
in qualunque caso, si magra sia ciò,
lui era il ben venuto a casa,
e, anche perché , io non volevo più,
passare i miei giorni sola,
sola con le mie angosce, e tristi silenzi .
Ma non avrei niente dovuto dire,
niente avrei dovuto lasciare andare,
nessuna confidenza,
non avrei sopra-tutto dovuto parlare,
della mia pena a nessuno,
dei sguardi verso il mare,
dei sentimenti che nul può interpretare.
Come avrei saputo quello, che, tutti ignorano,
mi piacerebbe capire il perché, ma,
perché nessuno si prende la pena,
di spiegarmi, tutti sono murati,
in un strano silenzio,
E forse perché sono io ?...
Ormai solo amico è il silenzio solitario,
silenzio... ignara esistenza...
...gli uomini i più rispettabili
commettono nell'ombra peggio atrocità.
Ma! ora la palla e nel mio campo.
( Lina R. gennaio 1984)
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- (questa e una vera storia ) svoltasi nel mio vicinato, tutti i vicini fermavano la loro porta, la rivedo ancora, povera signora in lacrime con un ciuffo di capelli in mano, uno sguardo a far paura si e rifugiata a casa mia, confesso che avevo una paura terribile ero sola coi miei figli "piccoli" feci appello alle forze d'ordine, il coniugo era ubriaco fradicio, ha passato la notte dietro le barre e l'indomani "appena liberato" ricominciò.
Questo è un appello a tutti noi, non restiano semplici spettatori di maltrattamenti coniugali et anche sui bimbi, e nostro sacro santo dover d'aiutare... altrimenti ci rendiamo complice, e condannabili di non assistenza altrui Lina
...♥