20/12/2015

NOËL mon voeu... ○ NATALE il mio desiderio... ✔


 NOËL  mon voeu...

Noël  jour de fête,  jour de partage
parfois Noël est tristesse, et  mélancolie
Je voudrais hurler au monde tout ce vide
mais rien  n'a plus d’importance car
le temps ne revient plus jamais en arrière
croire aux miracles les plus improbables
Non !!! il n’y a plus de raison d’y croire
oui croire que  les miracles peuvent exister
Ne me demande pas quel est mon vœu
le plus précieux pour la nuit de Noël
car la réponse ne sera pas cohérente pour toi
la vraie réponse seul mon cœur la connaît…

(Jamais tu ne sauras le fond de ma pensée, que mon
plus grand désir, et pas seulement à Noël 
c’est celui de ne plus me  dire avec tristesse :
« Il y a toujours une place vide à ma table »)

Mais je te répondrai simplement avec émoi
tandis que tous sont heureux de faire la fête :
"Tu vois au moins pour une fois dans ma vie
avant de fermer mes yeux au monde, 
je ne veux pas de cadeaux exceptionnels,
non plus une table luxueuse, un sapin de mille couleurs,
mais je voudrais une vraie crèche vivante…
J’aimerais vivre une nuit de Noël  dans la joie
qu'on se prenne par la main,  chantant des hymnes de Noël,
et puis réunis en  prières, créer la vrai crèche 
avec  ma petite Maman,  mon Papa,  mes frères et sœurs
et nous tous, réunis enfin dans la chaleur d’une vraie famille.

 Lina Randazzo 
Copyright © 2012. 

 NATALE il mio desiderio...

Natale giorno di festa, giorno di condivisione
talvolta Natale è tristezza, e malinconia
vorrei urlare al mondo tutto questo vuoto
ma niente ha più d' importanza,  perché,
il tempo non ritorna mai più  indietro
credere ai miracoli  i più improbabile
No!!! non c'è più senso di credere
si credere  che i miracoli possono esistere.
Non chiedermi qual'è il mio desiderio
più prezioso per la notte di Natale
perché la risposta non sarà coerente per te,
la vera risposta la conosce solamente il mio cuore...

(Mai tu saprai il fondo del mio pensiero,
che mio più grande desiderio e non solamente a Natale
è quello di non dirmi mai più con tristezza :
"C'è sempre un posto vuoto nella mia tavola")

Ma ti risponderò semplicemente con emozione
mentre tutti sono felici di fare la festa :
"Vedi almeno per una volta nella mia vita
prima di chiudere i miei occhi al mondo,
non voglio regali eccezionali,
non più un tavolo lussuoso, un abete dei mille colori,
ma vorrei un vero presepio che vive...
Amerei vivere una notte di Natale nella gioia
prendersi per la mano, cantare inni di Natale,
e poi riunirsi in preghiere, creare il vero presepio
con la mia piccola Mamma, mio Papà, fratelli e sorelle
e noi tutti riunite finalmente in una vera famiglia calorosa.

 Lina Randazzo 
Copyright © 2012....♥


18/12/2015

L'ESPRIT DE NOËL C'EST... moment de réflexion ✔



Noël mais c’est quoi le Noël ? 

 "moment de réflexion"

Noël ça doit être tous les jours, ce jour sera parfait si on oublie la haine, le dédain,
faire tomber ce jour-là le manteau superficiel qui nous enveloppe tous les jours.
Oublier pour une fois le moi-moi, moi-je, arrêter de faire mieux que son voisin simplement pour paraître supérieur de lui.
Plus je réfléchis et plus je me projette le jour où Jésus naquit  dans la pauvreté, dans le froid
dans une étable…
Les villageois étaient émerveillés, dans leur pauvreté tous heureux, ils apportaient au petit enfant leurs offrandes même le plus pauvre, et quand j’imagine cet esprit de Noël un nœud me serre la gorge, l’émotion mouille mes yeux, je peux palper toute cette atmosphère sincère, et attendrissante 

Toutes ces bonnes actions lointaines se sont perdues dans le temps. 
Je me sens aujourd’hui lasse, je ne ressens plus l’esprit magique de Noël, et pourtant quand je regarde des vieilles photos et films de Noël faits en famille je pleure comme un enfant, je me rappelle le temps quand nous étions que nous "seuls, les enfants et moi"  et j’avais  pris une mamie isolée à Noël chez nous pour quelque jour avec son snuby "le petit chien dont elle ne se séparait jamais"  mon Dieu comme nous étions heureux!!! Et pourtant nous n’étions pas riches, pas beaucoup de chichi dans le repas de Noël, non plus de jouets en cadeaux, mais des habits... 

Je cherche désespérément ce bonheur de notre pauvreté, de notre isolation dans une terre pas la mienne, loin de toute affection familiale, loin de notre famille, et pourtant mon Dieu comme nous étions si unis, si heureux, nous étions tellement complices, on jouait à tombola, à des jeux de société... 
Où est donc passé cette petite famille qui rigolait avec rien, qui ensemble se serrait les coudes dans les moments difficiles?
Où sont donc passés ces jours quand nous "les enfants et moi"  en bénévolat allions passer des après-midi entiers à rendre visite à des mamies et papis dans leur foyer d’accueil à jouer à tombola, leur lire des livres, les accompagner avec d’autre associations à visiter des lieux historiques de la guerre, "leur guerre"

Mon Dieu comme j’étais heureuse de voir ces mamies et papis nous regarder "mes petits et moi" avec tendresse comme si nous étions vraiment leur petite famille, j’étais fatiguée mais si sereine, heureuse de voir aussi mes petits rires, nous étions si heureux avec eux, oui!! Oui ! Heureux en voyant leurs yeux pleins de bonheur, c’était si amusant faire la petite course avec leur fauteuil-roulants et dépasser d’autres fauteuils-roulants et les saluer avec un sourire malicieux!!!

Où sont passé ces jours quand notre foyer était peuplé de personnes simples, personnes abandonnées à elles-mêmes dans leur maladie mentale ou physique?
Mon Dieu comme nous étions heureux de jouer aux cartes avec eux!!! À leur expliquer le même jeu plusieurs fois...
Où est donc passée cette patience que nous avions avec eux? Oui où est cette patience d’autrefois? 
Aujourd’hui, pour un rien on devient hystérique, un ras-le-bol nous fait exploser, on devient colériques si on a du mal à comprendre, on abandonne tout, de réexpliquer nous soule, on abandonne la bataille lâchement et en plus on devient blessant envers ceux qui ont du mal à comprendre les choses, même quand elles sont simples à comprendre.

Aujourd’hui la technologie a fait des pas géants, les jeux sont si sophistiqués, si individualistes, plus personnes ne se réunis comme au bon vieux temps pour jouer en famille, parler, partager... Aujourd’hui les réunions de famille servent seulement à juger, se lamenter, voir qui a plus que l’autre, critiquer la façon de s’habiller…
Ce serait si beau pour tout le monde si l’esprit de Noël revenait comme auparavant, être heureux avec un  rien, aimer son prochain tel qu’il est, ce serait si beau de faire des bonnes actions,  partager des bons moments, partager des souvenirs qui nous rendaient unis et heureux, inviter chez soi la mamie qui est toute seule dans son appartement froid, préparer une bonne soupe chaude pour le pauvre malheureux que vit dans froid près de nos portes...
Noël  serait si merveilleux si pour une fois on oubliait  notre petite personne pour offrir serait-ce un petit sourire pour un petit moment à ceux qui ne sourient jamais, être sympa avec son propre voisin, être tolérant envers ceux qui ne connaissent pas les nouvelles technologies, être indulgents envers ceux qui n’ont pas un toit pour dormir, mais connaître son histoire, le pourquoi, et ne pas les accabler de plus, car ils ont tout perdu, sont déjà privés de leur dignité humaine… 

Çà c’est alors l’esprit de Noël et la paix dans le monde... mais je crois qu'il serait encore plus facile de gagner le jackpot à l'euro-million que d’offrir l’amour et un sourire.
                                                       "Lina Randazzo"
                                                                          Copyright © 2012. 
Natale ma che cos'è il Natale ? "momento di riflessione"

Natale ciò deve essere tutti i giorni, questo giorno sarà perfetto se si dimentica l'odio, il disdegno, fare cadere quel giorno-là il capotto superficiale che ci avvolge tutti i giorni.
Dimenticare per una volta l'io io, smettere di fare meglio  del suo vicino semplicemente per apparire superiore di loro.  
Più rifletto e più mi progetto il giorno quando Gesù nacque nella povertà, nel freddo in una stalla...
I paesani erano meravigliati, nella loro povertà, tutti felici portavano al piccolo bambino le loro offerente anche il più povero, e quando immagino questo spirito di Natale un nodo mi stringo la gola, l'emozione bagna i miei occhi, posso palpare tutta questa atmosfera sincera, e commovente...

Tutte queste buone azioni remote si sono perse nel tempo.
Oggi mi sento stanca, non provo più lo spirito magico di Natale, e tuttavia quando guardo delle vecchie foto e film di Natale in famiglia piango come una bambina, mi ricordo del tempo quando eravamo che noi solo "i bambini ed io" ed avevo preso da noi una nonnina isolata a Natale per qualche giorno col suo snoby "il piccolo cane che non si separava mai" Mio Dio come eravamo felici!!! E tuttavia non eravamo ricchi, senza tanta smanceria nel pasto di Natale, neanche giocattoli in regali, ma dei vesti...

Cerco disperatamente questa felicità della nostra povertà, del nostro isolamento in una terra non mia, lontano da tutto affetto familiare, lontano dalla nostra famiglia, e tuttavia mio Dio come eravamo così uniti, così felici, eravamo talmente complici, si giocato a tombola, ai giochi di società...
Dove è dunque passata questa piccola famiglia che rideva con niente, che insieme si stringeva i gomiti nei momenti difficili?

Dove son dunque passati questi giorni quando noi "i bambini ed io" in volontariato andavamo a passare dei pomeriggi interi rendere visita alle nonnina e nonnini nelle loro case di accoglienza, farli giocare a tombola, leggendole dei libri, accompagnarli con altra associazione a visitare dei luoghi storici della guerra, "la loro guerra"

Mio Dio com'ero felice di vedere quelle nonnine et nonnini guardarci "i miei piccoli e me" con tenerezza come se noi eravamo veramente la sua piccola famiglia, ero stanca ma così serena, felice di vedere anche i miei piccoli ridere, eravamo così felici con loro, si!! Si!! Felici  vedendo i loro occhi pieni di felicità, era così divertente fare la piccola corsa con la loro
  poltrona-scorrevole e superare altri poltrona-scorrevoli e salutarli con un sorriso malizioso!!!

Dove sono passati quei giorni quando il nostro focolare  era popolato  da tante persone semplice, persone abbandonate a se stessi nella loro malattia mentale o fisica ? Oh mio Dio come eravamo felici di giocare con loro!!! Spiegandogli lo stesso gioco parecchie volte e non capivano, dov’è dunque passata questa pazienza che avevamo con loro? Sì dov’è questa pazienza remota? Oggi, per un niente si diventa isterici, una esasperazione ci fa esplodere, si diventa stizzosi se si fa fatica a comprendere, si abbandona tutto, di rispiegare ci annoia, si abbandona la battaglia vigliaccamente ed in più si diventa offensivi verso quelli che han del male oppure fa fatica a capire le cose, anche se sono semplici da comprendere.

Oggi la tecnologia ha fatto dei passi giganti, i giochi sono così sofisticati, così individualisti, più nessuno si riunisce come al vecchio tempo per giocare in famiglia, parlare, condividere, le riunioni di famiglia oggi servono solamente per giudicare, lamentarsi, vedere chi ha di più dell'altro, criticare il modo di vestirsi…

Sarebbe così bello se Natale ritornasse come prima,  d’essere felici con niente, d’amare il suo prossimo così come lui è, sarà così bello fare delle buone azioni, condividere dei buoni momenti, condividere dei ricordi che ci rendevano uniti e felici, invitare a casa sua la nonnina che è sola nel suo freddo appartamento, preparare una buona zuppa calda per il povero disgraziato che vive là al freddo vicino alle nostre porte...

Natale sarà così meraviglioso se per una volta si dimentica la nostra piccola persona ed offrire che-sarebbe un piccolo sorriso per uno piccolo momento, a quelli che non sorridono mai, essere simpatici con il suo proprio vicino, essere tolleranti verso quelli che non conoscono le nuove tecnologie, essere indulgenti verso quelli che non hanno un tetto per dormire, ma conoscere la loro storia del perché... e non prostrarli di più, perché han perso di già tutto, sono privati anche della loro dignità umana...

Questo è allora lo spirito di Natale e la pace nel mondo... ma credo che è ancora più facile di vincere il jack-pot all'euro-milione che d’offrire l'amore ed un sorriso.

Lina Randazzo "momenti di riflessioni"
Copyright © 2012.

...♥

11/12/2015

Lettre d'une mamie de 86 ans à sa Banque ✔

 


Bonjour à tous ceux qui viennent visiter ce blog et lire mes trouvailles "Bric à Brac" 

J'ai trouvé cette hilarante lettre sur internet en cherchant tout-autre chose,et je voudrais la partager à tous les amis qui viennent visiter cette grotte 

Il y a ceux qui disent que, c'est une lettre réellement écrite par une dame de 86 ans au directeur de sa banque, et tellement elle est spectaculaire qu'elle fut publiée sur le New York Times.... Mais d'autres disent que, c'est une lettre fausse, écrite en 1999 par Peter Wear, éditorialiste du Courier Mail de Brisbane, Australie:

Mais peu importe si cette lettre est vraie ou fausse, son contenu est intéressant, et il faudra prendre exemple sur cette mamie envers des banquiers peu scrupuleux, qui s’enrichissent avec des pauvres familles, des ouvriers et des retraités... Non!!! les banquiers ils ne s’attaquant pas au poisson riche  par peur de le perdre, mais aux pauvre car ils ne savent pas se défendre tout seul... Lina

Cher Monsieur,
 
Je vous écris pour vous remercier d'avoir refusé le chèque  qui m'aurait permis de payer le plombier le mois dernier.
Selon mes calculs, trois nanosecondes se sont écoulées entre la présentation du  chèque et l'arrivée sur mon compte des fonds nécessaires à son paiement.
Je fais référence, évidemment, au dépôt mensuel automatique de ma pension, une  procédure qui, je dois l'admettre, n'a cours que depuis huit ans.
Il me faut d'ailleurs vous féliciter d'avoir saisi cette fugace occasion et débité mon compte des 30 Euros de frais pour le désagrément causé à  votre banque. Ma gratitude est d'autant plus grande que cet incident m'a incité à revoir la gestion de mes finances.
 
J'ai remarqué qu'alors que je réponds personnellement à vos  appels téléphoniques et vos lettres, je suis en retour confrontée à l'entité impersonnelle, exigeante, programmée, qu'est devenue votre banque.
A partir d'aujourd'hui, je décide de ne négocier qu'avec une  personne de chair et d'os.
Les mensualités du prêt hypothécaire ne seront dorénavant plus automatiques mais arriveront à votre banque par chèques  adressés personnellement et  confidentiellement à un(e) employé(e) de votre banque que je devrai donc sélectionner.
Soyez averti que toute autre personne ouvrant un tel pli consiste en une infraction au règlement postal.

Vous trouverez ci-joint un formulaire de candidature que je demanderai à l'employé(e)  désigné(e) de remplir. Il comporte huit pages, j'en suis désolée, mais pour que j'en sache autant sur cet employé(e) que votre banque en sait sur moi, il n'y a pas d'alternative.

Veuillez noter que toutes les pages de son dossier médical doivent  être contresignées par un notaire, et que les détails obligatoires sur sa situation  financière (revenus, dettes, capitaux, obligations) doivent s'accompagner des documents concernés.
 
Ensuite, à MA convenance, je fournirai à votre employé(e) un code PIN qu'il/elle devra révéler à chaque rendez- vous.
Il est regrettable que ce code ne puisse comporter moins de 28 chiffres mais,  encore une fois, j'ai pris exemple sur le nombre de touches que je dois presser pour avoir accès aux service téléphonique de votre banque.

Comme on dit : l'imitation est une flatterie des plus sincère.
Laissez-moi développer cette procédure.
Lorsque vous me téléphonez, pressez les touches comme suit :
 Immédiatement après avoir composé le numéro, veuillez presser l'étoile (*) pour sélectionner votre langue ensuite:

#1 pour prendre rendez-vous avec moi

#2 pour toute question concernant un retard de paiement

#3 pour transférer l'appel au salon au cas où j'y serais

#4 pour transférer l'appel à la chambre à coucher au cas où je dormirais

#5 pour transférer l'appel aux toilettes au cas où.............

#6 pour transférer l'appel à mon GSM si je ne suis pas à la maison

#7 pour laisser un message sur mon PC. Un mot de passe est nécessaire. Ce mot de passe sera communiqué à une date ultérieure à la personne de contact  autorisée mentionnée plus tôt.

#8 pour retourner au menu principal et écouter à nouveau les options de 1 à 7

#9 pour toute question ou plainte d'aspect général. Le contact sera alors mis en attente, au bon soin de mon répondeur automatique.

Mais parfois Ceci peut augmenter l'attente mais ne vous inquiétez pas! car une musique mélodique vous fera compagnie sera jouée durant ce laps de temps.

Malheureusement, mais toujours suivant votre exemple,  je devrai infliger le prélèvement de frais pour couvrir l'installation du matériel utile à ce nouvel arrangement.
 
Puis-je néanmoins vous souhaiter une heureuse, bien que très légèrement moins prospère, nouvelle année ?

Respectueusement,

Et rappelez-vous :  ne jamais compliquer la vie à une personne âgée. Avant tout, il ne nous plait pas de nous sentir vieux, donc il ne nous faut pas beaucoup pour nous agacer
                          
Sur le Web

Buongiorno a tutti quelli che vengono  a visitare questo blog e leggere le miei trovate "Bric a Brac"
Ho trovato questa esilarante lettera su internet cercando tutto-altra cosa, et vorrei condividerla con tutti gli amici che vengono a visitare questa grotta

Ci sono quelli che dicono che, è una lettera realmente scritta da una signora di 86 anni al direttore della sua banca, e che talmente è spettacolare che fu pubblicata sui New York Time.... Ma d'altri dicono che, è una lettera falsa, scritta nel 1999 per Peter Wear, editorialista del Courier Mail di Brisbane, Australia,:

Ma poco importa se questa lettera è vera o falsa, il suo contenuto è interessante, ed occorrerà prendere esempio di questa nonnina verso i banchieri poco scrupolosi che si arricchiscono con le povere famiglie, degli operai e dei pensionati... No!!! i banchieri non si attaccano al pesce  grosso/ricco per paura di perderlo, ma al povero perché non sanno difendersi soli... Lina

Egregio Signor Direttore,

Le scrivo per ringraziarla di aver bloccato il mio assegno con cui ho tentato di pagare il mio idraulico il mese scorso. Secondo i miei calcoli, dal momento in cui ha controllato se c’erano i fondi necessari fino all’arrivo di essi, erano passati appena 3 nanosecondi. Mi riferisco naturalmente all’accredito automatico mensile della mia pensione… un accredito che, lo ammetto, avviene puntualmente da “soli” 8 anni.

Le faccio inoltre i complimenti per quei 30 dollari scalati dal mio conto a titolo di sanzione per il disagio causato alla sua banca.

Le confesso che questo spiacevole incidente mi è servito per rivedere e cambiare il mio approccio al mondo finanziario. Io rispondo personalmente alle vostre lettere e alle vostre telefonate, al contrario, quando sono io a contattarvi, mi ritrovo sempre a che fare con un’entità impersonale fatta di lunghe attese e voci pre-registrate… questo è quello che ormai è diventata la sua banca!

D’ora in poi anche io, come lei, scelgo di rivolgermi soltanto ad una persona in carne e ossa.

D’ora in poi mutui e prestiti non verranno più pagati automaticamente, ma tramite assegno spedito alla vostra banca e indirizzato personalmente a un vostro dipendente da nominare.

Come lei saprà benissimo, è REATO ai sensi della legge aprire una busta intestata ad un’altra persona. Allego a questa lettera un modulo di contatto che un suo dipendente dovrà compilare per la ricezione dei miei assegni.

Mi dispiace che il modulo sia lungo ben 8 pagine, ma ho bisogno di sapere tanto sul suo dipendente quanto la sua banca vuole sapere di me, non c’è alternativa.

E’ pregato di notare che tutte le copie delle cartelle cliniche del suo dipendente devono essere controfirmate da un notaio, e dei dettagli riguardanti la sua situazione finanziaria (reddito, debiti, attività e passività) devono essere accompagnati da prove documentate.

A tempo debito, a mio piacimento, rilascerò al suo dipendente un codice PIN che lui/lei dovrà utilizzare prima di mettersi in contatto con me. Mi dispiace che il codice sia lungo 28 cifre, esattamente il numero di pressioni sui tasti del telefono che faccio per accedere al mio saldo del conto tramite il vostro servizio telefonico.

Come si suol dire, l’imitazione è la più sincera forma di adulazione!

Vorrei aggiungere qualche altro piccolo appunto. Quando mi chiama è pregato di premere i tasti come segue:

AD INIZIO CHIAMATA PREMA (*) PER SELEZIONARE POI LA VOSTRA LINGUA.


#1 Per fissare un appuntamento.

#2 Per richiedere un mancato pagamento.

#3 Per trasferire la chiamata nel mio soggiorno, nel caso io sia lì.

#4 Per trasferire la chiamata nella mia camera da letto, nel caso stia dormendo.

#5 Per trasferire la chiamata nel mio bagno… nel caso sia impegnata nei miei bisogni fisiologici.

#6 Per trasferire la chiamata al mio cellulare, se non sono a casa.

#7 Per lasciare un messaggio sul mio computer, verrà richiesta una password per poter accedere al mio computer.

#8 Per tornare al menú principale.

#9 Per fare un reclamo.

A volte si troverà di fronte a delle lunghe attese, ma non si preoccupi! Una musica melodica le farà compagnia per tutta la durata.

Purtroppo, ma sempre successivo il vostro esempio, dovrò infliggere il prelevamento di spesa per coprire l'installazione del materiale utile a questa nuova sistemazione.

Le faccio i miei più sinceri auguri per un felice, anche se spero meno prosperoso economicamente, anno nuovo.

Rispettosamente,
Una sua umile Cliente.

E si ricordi: mai complicare la vita ad una persona anziana. Innanzitutto non ci piace sentirci vecchi, quindi non ci vuole molto per farci incazzare…

(sul web) 






04/12/2015

Je n'étais pas prête ✔

Je n'étais pas prête

Tu es entré dans ma vie avec un grand fracas
ébranlant ma sérénité quand avec fragilité
je cherchais à oublier la douleur du passé.
Tous ces petits fragments d’autrefois
comme un coup de fouet se sont accroupis sur mon âme...
J’ai eu l’effet de m’être perdue dans un grand désert
perdant ainsi tout le parfum de mes sens

Tes mots doux m’ont séduite sur le moment,
mais une grande douleur a réveillé le gémissement
qui était endormi au fond de mon cœur
La douceur des nuits d’après, ne m’a plus caressée
avec la complicité des lumineux rayons de la lune,
dans un frisson, telle une feuille morte la détente de mon âme
le vent sans pitié l’a balayé ailleurs

Cette profonde douleur endormie dans mon cœur
n’est pas prête de recevoir une autre parcelle de lui
Excuse-moi si encore je ne suis pas prête à oublier
pardonne-moi si mes oreilles ne sont pas encore prêtes
à entendre de noir souvenirs du passé, laisse-moi le temps
de préparer mon esprit le rôle de te recevoir dans ma vie

Pardonne-moi je n’étais pas prête à ton entrée fracassante
mon "je t'aime" même s'il état dit avec sincérité à cet instant-là
aujourd'hui, me sonne faux, tout est confusion dans mon esprit
Je désire et je veux être vraie et sincère pour  pouvoir planter des racines profondes,
recommencer une vrai et profonde tendresse avec toi…parcelle de nous-mêmes
Excuse-moi je n'étais pas prête… Non! Non Je n'étais pas encore prête…

Lina Randazzo
Copyright © 2012.
Non ero pronta

Sei entrata nella mia vita con un grand fragore
scuotendo la mia serenità quando con fragilità
cerco di dimenticare il dolore del passato.
Tutti questi piccoli frammenti di altre volte
come un colpo di frusta si sono accovacciati sulla mia anima
Ho avuto l'effetto di essermi  persa in un grand deserto
perdendo così tutto il profumo dei miei sensi

Le tue dolce parole lì per lì mi hanno sedotta, ma
un grand dolore ha svegliare il gemito
ch’era addormentato in fondo al mio cuore
La dolcezza delle notti, dopo non mi ha più accarezzato
con la complicità dei luminosi raggi della luna,
in un brivido tale di una foglia morta la quiete della mia anima
il vento senza pietà l'ha spazzato altrove

Questo profondo dolore addormentato nel mio cuore
non è pronto di ricevere un'altra parcella di lui
Scusami se ancora non sono pronta di dimenticare
perdonami se le mie orecchie non sono ancora pronte
di sentire  neri  ricordi del passato, lasciami il tempo
per preparare il mio spirito il ruolo di riceverti nella mia vita

Scusami non ero pronta alla tua  entrata fracassante
 il mio "ti voglio bene" anche se detto con sincerità  in quell’istante là,
oggi mi suona falso, tutto è confusione nella mia mente
Desidero e voglio essere vera e sincera per poter piantare radice profonde,
ricominciare un vero e profondo affetto con te… parcella di noi stesi
Scusami non ero pronta… No!!! Non ero ancora pronta…

Lina Randazzo 
Copyright © 2012. 

...♥


03/12/2015

Nuits de grande solitude ✔

Nuits de grande solitude                                                 Image trouvée sur le WEB

Dans mes nuits de grande solitude
souvent je pense à ces moments..
Ces moments d’insouciance
lorsque j’étais une petite fille
inconsciente de leur séparation
puis le brutal abandon.

Retrouverai-je un jour
ces moments d’insouciance
et l’innocent bien-être ?
Oublier ce moment
où le temps a brisé tous
mes petits rêves d’enfant

Le rêve de ne plus se sentir
seule au monde entre ces murs
où circulaient des zombies
d’ombres 
de noir vêtues sans cœur ni âme.
Étouffer la peur paralysante
ressentie à leur apparition

Se sentir brisée par tant d’hostilité
effacer la douleur de l’absence
en se perdant dans le rêve éphémère.
Dans les nuits de solitude
même la mort tant désirée refusait
de stopper cette existence atrophiée

Dans ces nuits de solitude
les larmes et les angoisses
personnes ne les voyait.
Petite fille insouciante
Jamais plus ne songera sentir
sa main caresser ses cheveux.

Face à cette détresse
au fil du temps
comme un petit oiseau blessé
guérira ses plumes abîmées
en les apaisant sur
des feuilles de papier
imbibées de larmes.
Lina Randazzo
22 janvier 1983
Copyright © 
 




images trouvées sur le WEB 












 Notti di grande solitudine

Nelle mie notti di grande solitudine
spesso penso a quei momenti ...
Quei momenti di spensieratezza
quando ero una bambina
incosciente della loro separazione,
poi il brutale abbandono 

Troverò un giorno
quei momenti di insensibilità
e l'innocente benessere ?
Dimenticare quel momento
in cui il tempo ha infranto tutti
i miei piccoli sogni d'infanzia

Il sogno di non sentirsi
sola al mondo tra quelle mura
dove zombie di ombre
di scuro vestiti senza cuori ne anime
soffocare la paura paralizzante
sentita alla loro apparizione.

Sentirsi spezzati da tante ostilità
cancella il dolore dell'assenza
perdendosi nel sogno effimero
Nelle notti di solitudine
anche la tanto desiderata morte rifiutava
di mettere fine quella esistenza atrofizzata

In queste notti di solitudine
lacrime e angoscia
mai nessuno li vedeva
Spensierata bambina
non pensa mai più di sentire
la mano accarezzarsi i capelli.

Di fronte a questa angoscia
nel corso del tempo
come un uccellino ferito
guarirà le sue piume danneggiate
guarendole su fogli di carta
Inzuppate nelle lacrime

Lina Randazzo
22 gennaio1983
Copyright © 

...♥

01/12/2015

Je Voudrais ◘ Vorrei ✔


Je Voudrais...                           "Image sur le net"

Fermer lentement les yeux
pour pouvoir ne penser à rien
Je voudrais être là à capturer
l’instant fuyant enivré par la nuit.

Des traces indélébiles défont mon âme.
Pouvoir ouvrir cette prison d'acier et faire
taire le sifflement des mots en éruption
qui dominent cette vie rongée par le chaos.

Les yeux figés observent le ciel
cherchant ses facettes invisibles.
Imperceptibles comme tes pensées
et vagabondant par les rues de mon cœur.

Je voudrais te retrouver te chouchouter,
chuchoter près de ton cœur cette vieille berceuse d’autrefois.
Je voudrais tendre ma main désormais ratatinée vers toi
te serrer fort entre mes bras avant mon dernier voyage.

Lina  Randazzo
Copyright © 
















"image sur le net" 
Vorrei

Chiudere lentamente gli occhi
per poter pensare a niente.
Vorrei essere là a catturare
l'istante che fugge  inebriato per la notte.

Tracce indelebile disfanno la mia anima.
Poter aprire questa prigione di acciaio e far
tacere il sibilo di parole in eruzioni che
dominano questa vita rosa dal caos

Gli occhi fissi osservano il cielo
cercando le sue faccette invisibili.
Impercettibili come i tuoi pensieri
et vagabondare per le vie del mio cuore

Vorrei ritrovarti coccolarti, sussurrare
vicino al tuo cuore questa vecchia ninnananna di altri dì.
Vorrei tendere la mia mano oramai rattrappita verso te
stringerti forte tra le mie braccia prima del mio ultimo viaggio

Lina  Randazzo
Copyright © 
...♥