Pleur de fille
N'entends-tu pas ce pleur désespéré?
N'entends-tu pas une voix qui te crie
"Reviens! Retour chez les tiens? »
Je te porte avec moi comme un doux secret
Ton image est mon caveau
Je suis si triste et cette solitude
je
te le dois.
Je suis jaloux d'une jalousie morbide
Tu es comme un robot,
tu te fais commander par des femmes gâtées
Tu es un symbole de l'esclavage
Là-bas ! derrière ce monde lointain tu vis
...
Je voudrais te haïr! Oui te haïr!!
Mais comment puis-je détester mon sang?
Parfois, je me demande s’il existe un
homme comme toi
qui quitte la vieille voiture pour un
véhicule plus luxueux.
Tu es son esclave, un esclave d’elle.
Pourquoi
nous femmes ne formons pas une société,
protester, combattre jusqu'à ce que vous hommes
veniez ramper comme des vers à nos pieds
qui étaient autrefois de la vieille voiture.
Mais pourquoi nous compares-tu à la
science,
au symbole d'un objet, qui lorsque
ne veut pas le changer avec de nouveaux
projets?
Alors, pense vraiment à nous les enfants.
Écoutez ce pleur, lis au fond du cœur
de ta partenaire et reviens chez-nous.
Pense si cette société était formée, si je
te haïssais
Pense à tout cela et écoute une
supplication
D'un pleur qui crie
"Reviens ! Reviens chez-nous!
Oublie ton nouveau monde,
retourne dans ton ancien foyer,
ne sois pas l'esclave de la vanité
de cette vanité cruelle, n'écoute pas
tes instincts brutaux et pour la dernière
fois
je
te répète...
Écoute
un pleur de fille!
Lina Randazzo
12 juillet 1968
Copyright © 2012. All Rights Reserved.
"Cette poésie a gagné la deuxième place dans un concours local balnéaire et ce jour j'ai connu mon premier et défunt époux "
Pianto di figlia
Non senti
questo disperato pianto ?
Non senti una voce che ti grida
“Torna ! Torna
dai tuoi ? »
Ti porto con me come un dolce secreto
La tua immagine e il mio sepolcro
Sono tanta triste e questa mia solitudine
la devo a te.
Sono gelosa di una gelosia morbosa
Sei come un robot ,
ti fai comandare da donne viziate
Sei un simbolo di
schiavitù
Li ! dietro quel lontano mondo vivi tu...
Vorrei odiarti ! Si odiarti !!
Ma come posso odiare il mio sangue ?
A volte mi chiedo se esiste un uomo come te
abbandonare la vecchia macchina per una più lussuosa
Sei il suo schiavo, un sciavo di una lei.
Perché noi donne non formiamo una società,
protestare, lottare fino quando voi uomini
venite a strisciare come vermi ai piedi
che un tempo fu la vecchia macchina.
Ma perché ci paragoni alla scienza,
al simbolo di un oggetto, che quando
non ti va la cambi con nuovi progetti?
Allora pensi veramente
a noi figli
Ascolta
questo pianto, leggi nel fonde del cuore
della tua compagna e torna, torna da noi.
Pensa se questa società si formerà, se io ti odiassi
Pensa a tutto ciò e ascolta una supplica
Di un pianto che grida
« Torna ! Torna da noi !
Dimentica il tuo nuovo mondo,
ritorna nel
tuo vecchio focolare
non essere schiavo della vanità
da quella vanità crudele, non dare-retta
al tuo istinti brutale e per l’ultima volta
ti ripeto
Ascolta un pianto di figlia !
Lina Randazzo
12-07-1968
Copyright © 2012. All Rights Reserved.
"Questa poesie ha vinto il secondo posto in un concorso locale balneare nel 1968 ed ho, conosciuto il mio primo defunto sposo "
...♥