La Fourmi et la Prière ~
Autore: (Ninon Rose Hawryliszyn e Silva (testo originale)
L’autre jour j'ai vu une fourmi qui transportait une feuille énorme. La fourmi était petite et la feuille devait être au moins deux fois son poids.
Or elle la traînait, or la soulevait sur la tête. Lorsque le vent soufflait, la feuille tombait, faisant tomber aussi la fourmi.
Elle trébuche à plusieurs reprise, mais même ceci ne fit pas désister la fourmi de sa tache. Je l'observai et je la suivis, jusque ou elle arriva près d'un trou, qui devait être la porte de sa maison.
Alors je pensai : "Finalement elle a conclu sa tache!". Je me leurrais. Car, au contraire, elle avait à peine terminée seulement une étape.
La feuille était beaucoup plus grande du trou, pour lequel la fourmi laissa la feuille de côté à l'extérieur et elle entra toute seule. Ainsi je me dis : "La pauvre, tant de sacrifice pour rien."
Je me rappelais un dicton populaire : "Il nage, nage et mourut sur le plage." Mais la petite fourmi me surprit. Du trou sortirent d’autres fourmis, qui commencèrent à couper la feuille en petites pièces.
Elles semblaient heureuses dans le travail. En peu de temps, la grande feuille avait disparu, en laissant espace à des petits morceaux que désormais étaient tous dans le trou.
Immédiatement je me retrouvai à penser à mes expériences. Combien de fois je me suis découragé devant à l'engorge des engagements ou des difficultés? Peut-être, si la fourmi avait regardé les dimensions de la feuille, elle n'aurait commencé à la transporter.
J'ai envié la persévérance, la force de cette petite fourmi. Naturellement, je transformai ma réflexion en prière et je demandai aux Seigneur que me donnait la ténacité de cette fourmi, pour "charger" les difficultés tous les jours. Qu'il me donnait la persévérance de la fourmi, pour ne pas me perdre d’âme devant les chutes.
Que je puisse avoir l'intelligence, l'habilité de cette petite fourmi, pour diviser en pièces le fardeau qui, parfois, se présente très grand.
Que j'aie l’humilité pour diviser avec les autres les fruits de la fatigue comme si le parcours n'avait pas été solitaire.
Je demandai au Seigneur la grâce de réussir, comme cette fourmi, à ne pas désistée du chemin, surtout lorsque les vents contraires me font incliner la tête vers le bas… surtout lorsque, par le poids de ce qui me charge, je ne réussis pas à voir avec netteté le chemin à parcourir.
La joie des larves que, probablement, ils attendaient la nourriture à l'intérieur, a poussé cette fourmi à se forcer et dépasser toutes les adversités de la route.
Après ma rencontre avec cette fourmi, j'ai été renforcé dans mon chemin.
Je remercie les Seigneur pour l'avoir mis sur ma route et pour m'avoir fait passer sur le chemin de cette petite fourmi.
Les rêves ne meurent pas, seulement s'assoupissent dans le cœur des gens. Il suffit de les réveiller, pour reprendre le chemin !
(Ninon Rose Hawryliszyn e Silva (testo originale)) « le texte original est traduit par moi-même »
histoire trouvé sur le net
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L'altro giorno ho visto una formica che trasportava una foglia enorme. La formica era piccola e la foglia doveva essere almeno due volte il suo peso.
Ora la trascinava, ora la sollevava sopra la testa. Quando soffiava il vento, la foglia cadeva, facendo cadere anche la formica.
Fece molti capitomboli, ma nemmeno questo fece desistere la formica dalla sua impresa. L'osservai e la seguii, finché giunse vicino a un buco, che doveva essere la porta della sua casa.
Allora pensai: "Finalmente ha concluso la sua impresa!". Mi illudevo. Perché, anzi, aveva appena terminata solo una tappa.
La foglia era molto più grande del foro, per cui la formica lasciò la foglia di lato all'esterno ed entrò da sola. Così mi dissi: "Poverina, tanto sacrificio per nulla."
Mi ricordai del detto popolare: "Nuotò, nuotò e morì sulla spiaggia." Ma la formichina mi sorprese. Dal buco uscirono altre formiche, che cominciarono a tagliare la foglia in piccoli pezzi.
Sembravano allegre nel lavoro. In poco tempo, la grande foglia era sparita, lasciando spazio a pezzettini che ormai erano tutti dentro il buco.
Immediatamente mi ritrovai a pensare alle mie esperienze. Quante volte mi sono scoraggiato davanti all'ingorgo degli impegni o delle difficoltà? Forse, se la formica avesse guardato le dimensioni della foglia, non avrebbe nemmeno cominciato a trasportarla.
Ho invidiato la perseveranza, la forza di quella formichina. Naturalmente, trasformai la mia riflessione in preghiera e chiesi al Signore che mi desse la tenacia di quella formica, per "caricare" le difficoltà di tutti i giorni. Che mi desse la perseveranza della formica, per non perdermi d'animo davanti alle cadute.
Che io possa avere l'intelligenza, l'abilità di quella formichina, per dividere in pezzi il fardello che, a volte, si presenta tanto grande.
Che io abbia l'umiltà per dividere con gli altri i frutti della fatica come se il tragitto non fosse stato solitario.
Chiesi al Signore la grazia di riuscire, come quella formica, a non desistere dal cammino, specie quando i venti contrari mi fanno chinare la testa verso il basso specie quando, per il peso di ciò che mi carica, non riesco a vedere con nitidezza il cammino da percorrere.
La gioia delle larve che, probabilmente, aspettavano il cibo all'interno, ha spinto quella formica a sforzarsi e superare tutte le avversità della strada.
Dopo il mio incontro con quella formica, sono stato rafforzato nel mio cammino.
Ringrazio il Signore per averla messa sulla mia strada e per avermi fatto passare sul cammino di quella formichina.
I sogni non muoiono, solo si assopiscono nel cuore della gente.
Basta svegliarli, per riprendere il cammino!