13/09/2012

AVEC LE TEMPS "Léo FERRÈ"

L'homme libre est celui qui n'a pas peur d'aller jusqu'au bout de sa pensée.
de Léon Blum"

AVEC LE TEMPS (Paroles et musique de:Léo Ferré


1 Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie le visage et l'on oublie la voix
Le cœur, quand ça bat plus,
C'est pas la peine' d'aller chercher plus loin
Faut laisser faire et c'est très bien
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
L'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie
L'autre qu'on devinait au détour d'un regard
Entre les mots entre les lignes et sous le fard
D'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit
Avec le temps,
Tout s'évanouit.

2 Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
Même les plus chouettes souvenirs ça t'a un' de ces gueules
À la Galerie je farfouille
Dans les rayons de la mort
Le samedi soir quand la tendresse s'en va toute seule
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
L'autre à qui l'on croyait pour un rhume pour un rien
L'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux
Pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous
Devant quoi l'on traînait comme traînent les chiens
Avec le temps, va, tout va bien.

3 Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
On oublie les passions et l'on oublie les voix
Qui vous disaient tout bas
Les mots des pauvres gens
Ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid
Avec le temps...
Avec le temps, va, tout s'en va
Et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu
Et l'on se sent glacé dans le lit de hasard
Et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard
Et l'on se sent floué par les années perdues
Alors vraiment
Avec le temps on n'aime plus
~ ~*~ ~*~ ~*~ ~*~ ~

http://www.youtube.com/watch?v=PCXj4XZjoj0
1 - Col tempo,
col tempo, va, tutto se ne va
Ti dimentichi il viso ti dimentichi la voce
e il cuore quando non batte più
Non vale la pena di andare a cercar lontano
Bisogna lasciar perdere e va bene così
Col tempo ...
Col tempo, va, tutto se ne va
l’altro che adoravi e che cercavi sotto la pioggia
l’altro che indovinavi dal contorno di uno sguardo
Tra le righe e le parole, e sotto fondotinta
D'una promessa truccata che se ne va a farla sua notte
Con il tempo,
Tutto svanirà
2 - Col tempo ...
col tempo va, tutto se ne va
anche i ricordi piacevoli che t’ha lasciato uno di quei tali
Alla Gallerie delle farfugli
nelle reparto della morte
al sabato sera quando la tenerezza se ne va tutta sola
Col tempo ...
Col tempo va, tutto se ne va
L'altro a chi si credeva per un rhume per un nulla
L’altro a cui hai regalato vento e gioielli
Per il quale avresti venduto l’anima per due soldi
Davanti al quale ti saresti trascinato come si trascina il tuo cane
Con il tempo col tempo, tutto va bene
3 - Col tempo...
col tempo, va, tutto se ne va
ti scordi la passione e si scordano le voci care
Che ti dicevano sottovoce
le parole delle povere gente
non tornare tardi e non prendere sopratutto freddo
col tempo...
col tempo, va, tutto se ne va
E si ci senta bianchi come un cavallo brizzolato
E si ci senta gelare dentro il letto di fortuna
E si ci senta così solo ma in fondo spensierato
E si ci senta invecchiato per gli anni perduti alle spalle
allora davvero
col tempo col tempo non si ama più
.....♥
 

12/09/2012

Conseils pour Septembre

conseils pour septembre
Septembre est l’un des mois les plus agréables au jardin. Les plantes continuent de se développer, les récoltes se poursuivent, tandis que les floraisons estivales ne faiblissent pas. Que demander de plus ? C’est le moment d’envisager de nouvelles plantations et de commencer à tailler, pour donner libre cours à votre fibre créatrice.

1) Arbustes
● Plantez les végétaux à feuillage persistant.
● Désherber le pied des haies.
● Effectuez une dernière taille de maintien sur les charmes et les troènes.
● Elaguez l'intérieur des sujets âgés pour alléger leur silhouette.

2) Verger et petits fruits
● Retirez les protections contre les oiseaux sur les fruitiers, après récolte.
● Taillez les framboisiers  non remontants.
● Récoltez les pommes parvenues à maturité.
● Arroses les jeunes arbres fruitiers si le temps est sec.
● Repérez les attaques de champignons parasites sur les troncs et les écorces.

3) Potager
● Prévenez les maladies du poireau.
● Arrachez les haricots qui ne donnent plus.
● Poursuivez la récolte des courges (potiron, potimarron...)
● Semez des salades résistantes au froid pour l'hiver.
● Désherbez le pied des choux et les rangs de légumes racine.
● Protégez les tomates du mildiou.

4) Fleurs
● Repiquez les semis des plantes vivaces
● Coupez les tiges défleuries de roses trémières.
● Retirez les fleurs fanées des fuchsias et des anthémis pour encourager la floraison.
● Divisez ou déplacez les touffes qui ont fini de fleurir.
● Pulvérisez du souffre sur les asters contre l'oïdium (le blanc des feuilles).

5) En région
● Méditerranée : taillez les solanums grimpants qui ont émis des pousses en tout sens.
● Montagne : pincez l'extrémité des branches des arbustes encore en croissance, pour les forcer à s'aoûter.
● Littoral : rafraîchissez les bordures de gazon autour des massifs.

11/09/2012

♥ ~ DANS LA DOULEUR NAÎT UNE MERVEILLEUSE PERLE…

Petite histoire vraie, qui devient une réflexion,
Après avoir fait  des recherches personnelles sur les perles, j'ai trouvé cette information :

~ COMMENT NAÎT UNE PERLE DANS LA NATURE

Une perle naturelle commence à naître quand un corps étranger, un parasite ou un petit grain de sable s’introduit accidentellement dans le manteau moelleux d'une huître, d'où il ne peut pas être expulsé. Dans la tentative de soulager l'irritation, le corps de l'huître assume une action défensive.

Pour se protéger, l'huître commence à sécréter une substance cristalline lisse et dure autour de l'objet étranger. Cette substance s'appelle mère-perle/nacre.Tant que le corps étranger reste dans le manteau, l'huître continue à sécréter autour de lui, couche sur couche le nacre. 

Après quelques années, le corps étranger est couvert complètement d’un revêtement cristallin luisant. Le résultat c'est le beau bourgeon resplendissant que nous appelons perle.

Réflexion personnelle ;
Donc une perle naît d'une douleur, si l'huître n'est pas blessée, elle ne produit pas de perle, comme j'ai compris les perles sont des douleurs qui se cicatrisent, Blessures qui sont faites par l'homme ou par la nature

Des blessures faites exprès par l'indifférence à notre malaise, d'injustice soit au travail soit en famille, à l'école "pour les enfants" blessures de trahisons, calomnies..Etc.

- Si nous réussissons à supporter le tout et si  nous savons pardonner, aussi les blessures les plus profondes alors dans notre douleur profonde une merveilleuse perle naîtra. Si on commence depuis l'enfance à encaisser les blessures la perle sera encore plus brillante et inestimable.

-- Mais ceux qui vivent dans l'indifférence totale à la douleur d'autrui, qui ne savent pas pardonner les blessures reçues, ils ne produisent pas de perles ??? Car le pardon est comme cicatriser la blessure si j'ai bien compris, ainsi donc une belle perle naît seulement avec le pardon et l'amour.

▬ Et pour finir, Je voudrais publier aussi une poésie de, K. GIBRAN, en renforçant ma thèse, que de la douleur et le pardon naît une perle.

~ LA PERLE ~

Dit une huître à une autre huître sa voisine:
"J'ai dedans moi une grande douleur.
C'est quelque chose de lourd et rond,
et je suis à l'épuisement!".
L'autre répéta hautaine et complaisante:
"Soit éloge aux cieux et à la mer,
je n'ai aucune douleur en moi.
Je suis bien et je suis saine dedans et dehors!".
A ce moment-là passait un crabe
et il entendit les deux huîtres,
et il dit à celle qui restait bien
et était saine dedans et dehors:
"Oui, tu te portes bien et tu es saine,
mais la douleur que ta voisine porte en elle
c'est une perle d'une beauté extraordinaire!"...
( K. GIBRAN )

10/09/2012

DOLORE DI MAMMA ◘ DOULEUR DE MAMAN - ✔

   http://youtu.be/rkAnh2lvro8    ← Écouter le clip en lisant le poème

 DOULEUR DE MAMAN

♥♥ MON ANGE C…. ♥♥

Tu étais là...
Là enveloppée dans un drap blanc,
tu n'entendais personne,
tu n’entendais pas un cœur
palpiter de douleur, un cœur brisé.
Un pas léger et lourd se rapprochait de toi...
Un visage en larmes, un visage triste,
découvrit ton beau visage,
TU ÉTAIS LÀ...
Là immobile avec la mort au corps...
Une main effleura légèrement la tienne
la serra fort, pour la réchauffer…
Mais comment !
Comment une main froide
pourrait-elle réchauffer la tienne ?
Comme peut ? Une maman désespérée
t'arracher à ces ténèbres noires?
Comment peut ? Un cœur désespéré
te réchauffer? de ce froid ténébreux?

Vas !!
Vas tranquille,
chaque jour, un cœur meurtri
mais si plein d'amour,
viendra te réchauffer…
Te racontera de jolies fables,
un cœur brisé chaque soir
 te chantera une douce berceuse.
Le matin à ton réveil,
tu trouveras un visage
te priant de ne jamais l’abandonner
Non, petite fleur,
ce n'est pas toi, qui as froid,
NON!!…
Non tu ne peux pas avoir froid
là où la terre est plus froide que toi…
Non mon-ange !
Ce n'est pas toi, qui as besoin d'amour,
mais seulement une maman,
ta maman qui a besoin de toi,
de te sentir serrée, serré dans son cœur.

Dans mon esprit absent, et distrait
il y a seulement ton doux visage froid…
ton petit corps sans vie, jeté là,
LÀ!!!…sur ce marbre froid
Mon ange
ne te fais pas attendre tant,
vas chaque jour tenir compagnie
à une maman, une maman malchanceuse…
ta maman  qui t’aime, et t'aimera au-delà de la mort.

    « Lina Randazzo »
un triste et froid jour d'été
hôpital Garibaldi de Catane (40 ans après la douleur est encore vivante)
Copyright © 2012. All Rights Reserved. ......♥
· * * * * ♥~♥ * * * * * *
DOLORE DI MAMMA
♥ ♥ ANGELO MIO C…♥ ♥
Tu eri là...
Là avvolta in un lenzuolo bianco,
tu non sentivi nessuno,
tu non sentivi un cuore
palpitate di dolore, un cuore spezzato.
Un passo leggero e pesante si avvicinava di te...
Un viso in lacrime, un viso triste,
scoprì il tuo bel viso,
TU ERI LÀ...
Là immobile con la morte al corpo...
Una mano sfiorò leggermente la tua
la strinse forte, per riscaldarla
Ma come!
Come poteva una mano fredda
riscaldare la tua?
Come può? Una mamma disperata
strapparti a queste tenebre nere?
Come può? Un cuore disperato
riscaldarti? di questo freddo tenebroso?

Va'!!
Vai tranquilla,
ogni giorno, un cuore contuso
ma così pieno di amore,
verrà a riscaldarti...
Ti racconterà delle belle favole,
un cuore spezzato ogni sera
ti canterà una dolce ninnananna.
La mattina al tuo risveglio,
troverai un viso che ti prega
di non abbandonarlo mai
No piccolo fiore,
non sei tu che hai freddo,
No!!... non puoi avere freddo
là dove la terra è più fredda di te
No mio-angelo!
Non sei tu che hai bisogno di amore,
ma solamente una mamma,
la tua mamma che ha bisogno di te,
di sentirti stretta, stretto nel suo cuore.

Nella mia mente assente, e distratta
C’è solamente il tuo dolce viso freddo…
Il tuo corpicino senza vita, gettato là,
Là !!!…su quel freddo marmo
Mio angelo
non farti aspettare tanto,
 vai ogni giorno tener compagnia
ad una mamma, una mamma sfortunata...
la tua mamma che ti ama e
t'amerà al di là della morte.

"Lina Randazzo"
Copyright © 2012. All Rights Reserved
un tristeet freddo giorno d'estate ospedale Garibaldi di Catania, 40 anni dopo il dolore è ancora vivo)

…♥

le texte de ce clip qui accompagna la poésie
http://youtu.be/rkAnh2lvro8 ←  traduction du clip en Français, et puis en bas en Italien

( le texte la musique et la voix de ce clip appuient tout ce que je prouve pour l'absence de mon Ange il ne se passe pas de jour que ma pensée est tournée sur ce jour maudit pour moi,)

{Mon Immortel}

J’en ai tellement assez d’être ici
Étouffée par toutes mes peurs d’enfant
Et si tu dois partir
Je souhaite juste que tu partes
Parce que ta présence erre toujours ici
Et elle ne me laissera jamais tranquille

Ces blessures ne sembleront jamais cicatriser
C’est juste que cette douleur est trop réelle
Il y a juste trop de choses que le temps ne pourra pas effacer

Lorsque tu pleurais j’essuyais toutes tes larmes
Lorsque tu hurlais je combattais toutes tes peurs
Et j’ai tenu ta main durant toutes ces années
Mais tu as toujours tout de moi…

Tu avais l’habitude de me fasciner
Par ta lumière éclatante
Mais désormais je suis liée à la vie que tu as laissée derrière toi
Ton visage, il hante mes rêves autrefois agréables
Ta voix, elle a chassé tout le bon sens que j'avais

Ces blessures ne sembleront jamais cicatriser
C’est juste que cette douleur est trop réelle
Il y a juste trop de choses que le temps ne pourra pas effacer

Lorsque tu pleurais j’essuyais toutes tes larmes
Lorsque tu hurlais je combattais toutes tes peurs
Et j’ai tenu ta main durant toutes ces années
Mais tu as toujours tout de moi…

J’ai tellement essayé de me dire que tu es parti
Mais pourtant tu es toujours avec moi
J’ai été seule depuis le début

Lorsque tu pleurais j’essuyais toutes tes larmes
Lorsque tu hurlais je combattais toutes tes peurs
Et j’ai tenu ta main durant toutes ces années
Mais tu as toujours tout de moi…

         "segue qui sotto in Italiano ↓"

 http://youtu.be/rkAnh2l


testo clip in "IT"

((il testo la musica la voce di questo clip, appoggiano tutto ciò che provo per l'assenza del mio Angelo non passo un giorno che mio pensiero è girato su questo giorno maledetto  per me))

{Il mio Immortale}

Ne ho talmente abbastanza d'essere qui
Soffocata da tutte le mie paure di bambina
E se devi partire
auguro giusto che tu parta
perché la tua presenza erra sempre qui
E non mi lascerà mai tranquilla

Queste ferite non sembreranno cicatrizzare mai
 è giusto che questo dolore è troppo reale
ci sono giusto troppe cose che il tempo non potrà cancellare

Quando piangevi asciugavo tutte le tue lacrime
Quando urlavi combattevo tutte le tue paure
E ho tenuto la tua mano durante tutti questi anni
Ma tu hai sempre tutto di me

Avevi l'abitudine di affascinarmi
Per la tua luce splendente
Ma oramai sono legata alla vita che hai lasciato dietro te
Il tuo viso, abita i miei sogni  altre volte piacevole
La tua voce, ha cacciato tutto il buonsenso che avevo

Queste ferite non sembreranno cicatrizzare mai 
È giusto che questo dolore è troppo reale
ci sono giusto troppe cose che il tempo non potrà cancellare

Quando piangevi asciugavo tutte le tue lacrime
Quando urlavi combattevo tutte le tue paure
E ho tenuto la tua mano durante tutti questi anni
Ma tu hai sempre tutto di me

Ho provato talmente a dirmi che sei partita
Ma sei tuttavia sempre con me
Sono stata sola dall'inizio

Quando piangevi asciugavo tutte le tue lacrime
Quando urlavi combattevo tutte le tue paure
E ho tenuto la tua mano durante tutti questi anni
Ma tu hai sempre tutto di me
..........



08/09/2012

Éscris-la ... ◘ Scrivila... ✔















ÉCRIS-LA ...

Toi ami solitaire,
tu as vécu peut-être
les deux guerres
Tu as vécu une vie
pleine d'amour
Tu as fait des
découvertes que
personne ne connaît ;
  ÉCRIS-LA...

Tu as exploré des
pays lointains
que personne connais
Ami solitaire ne vas pas incertain
sur des routes sans retour
Ami ton histoire est un livre blanc
si tu n'écris pas ton histoire
personne ne peut savoir ;
   SA FIN...

Tu portes derrière toi
un amis fidèle
mais!!!
même cet fidèle ami
ne pourra pas écrire ;
  SA FIN …

"Lina Randazzo"
sept 2010
Copyright © 2012.
 ~~~~* < > * ~~~~
• SCRIVILA...

Tu amico solitario
hai vissuto forse
le due guerre
Hai vissuto una vita
piena d'amore
Hai fato delle
scoperte che
nessun conosce ;
   SCRIVILA..

Hai esplorato dei
paesi lontani che
nessuno conosce
Amico solitario non andar incerto
su strade senza ritorno
Amico la tua storia è un libro bianco
se non scrivi la tua storia
nessun può sapere ;
   LA SUA FINE...

Tu porti dietro te
un amico fedele
ma !!!
neanche quel
fedele amico non
la potrà scrivere;
   LA SUA FINE...

" Lina Randazzo"
settembre 2010
Copyright © 2012
....♥

07/09/2012

TOI PETITE FLEUR ♥ ◘ TU PICCOLO FIORE ♥ ~ ✔

TOI PETITE FLEUR...

 Toi petite fleur
continue à répandre les parfums de rosée
de l'arc-en-ciel dans le cœur encore assoupi
de ton vide éternel quand
l'aube réfléchit ses premiers rayons de mille couleurs
dans l'horizon lointain.
Une brise fraîche de baisers me caresse le visage
je ferme les yeux,
une douce musique d'anges apaise la cicatrice encore ouverte
quand mon esprit se plonge dans le tien.

Toi petite fleur à peine née et déjà évanouie
désormais comme une étoile, tu brilles
quand il fait soir là au fond d'un ciel infini,
suave, tu te reflètes dans ces eaux calmes,
des bruits imperceptibles s'entrelacent
en se perdant au lointain.
Mélodies d'un bruissement sur l'anonyme vague
perpétuent les valses de son reflet en entourant
tout mon être dans un calme nocturne.

Toi petite fleur tu attends peut-être
une main tremblante qui cueille
tes petits pétales mouillés par la rosée de larmes
pour t'enfermer dans le cœur déjà desséché
par la douleur affligée,
pour lui offrir enfin la sérénité dans l'âme.
Alors que tout est sombre, là loin dans l'horizon
la nuit devient la reine de cette immensité vide
où tout est paix, en attendant...

Toi petite fleur qui répands tant de couleurs
de l'arc-en-ciel dans cette terre d'espoirs…

  Lina Randazzo
Copyright © 2012. All Rights Reserved.
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄ƷƸ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ ♥ 


TU PICCOLO FIORE
Tu piccolo fiore  continui espandere profumi
di rugiada dell'arcobaleno nel cuor ancor
assopito del tuo eterno vuoto quando
l'alba riflette i suoi primi raggi di mille
colori nel lontano orizzonte.
Una fresca brezza di baci accarezza il viso
socchiudo gli occhi una dolce musica di
angeli appesa le cicatrice ancora aperte
quando la mia mente s’immerge nella tua.

Tu piccolo fiore appena nato e già
svanito ormai  come stella brilli
quando si fa sera là in fondo ad
un cielo infinito, soave ti rispecchi  in
queste acque quieti, rumori impercepibili
s’intrecciano perdendosi  in lontananza.
Melodie d’un fruscio sull’anonima vaga
perpetuano valzer del  suo riflesso, circondando
tutto il mio essere in una quiete notturna.

 Tu piccolo fiore aspetti forse una
mano tremando che coglie i tuoi
piccoli petali bagnati da rugiade di
lacrime per chiuderti nel cuore già
asciugato dall'afflitto dolore, per
offrirgli infine la serenità nell'anima.
Ora che tutto è oscuro là lontano nell'orizzonte
silenziosa la notte diventa la  regina di questo
immenso vuoto dove tutto e pace, aspettando...

 Te piccolo fiore che espandi tanti colori
dell'arcobaleno in questa terra di speranza…

« Lina Randazzo »
Copyright © 2012. All Rights Reserved. 


▬ La lampe de l’espoir doit toujours être allumé dans nos cœurs, la lampe de son amour infini, cette flamme que soulage nos douleurs et nos peines les plus profond,  « Lina »
 Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ  
▬ La lampada della speranza deve sempre essere accesa nei nostri cuori, la lampada del suo amore infinito, questa fiamma che alleggerisce i nostri dolori e le nostre pene più profonde, « Lina »
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ   

le texte du clip de  "Tiens ma Lampe allumée" en (RF et IT)

Refrain :
Tiens ma lampe allumée, la flamme est si fragile,
Ce soir je viens mendier ton pain, ton eau, ton huile.
Tiens ma lampe allumée jusqu’à ton domicile,
Toi seul, peut me guider.

1.- Allume dans mon cœur quelque chose de vrai,
Quelque chose de Toi, que rien ne puisse éteindre,
Ni l’échec, ni la peur, ni le poids des années
Et que puisse mon pas chercher à te rejoindre.

Refrain :
Tiens ma lampe allumée, la flamme est si fragile,..

2.- Allume dans mes yeux quelque chose de pur,
Quelque chose de Toi que rien ne puisse éteindre,
Ni le poids du présent, ni l’avenir peu sûr,
Et que dans mon regard ta clarté vienne poindre.

Refrain :
Tiens ma lampe allumée, la flamme est si fragile,...

3.- Allume dans mes mains quelque chose de doux,
Quelque chose de Toi que rien ne puisse éteindre
De petit, de discret, de brûlant, d’un peu fou,
Et que puissent mes bras savoir encore étreindre.

Refrain :
Tiens ma lampe allumée, la flamme est si fragile,..

4.- Allume dans ma vie quelque chose de beau,
Quelque chose de Toi que rien ne puisse éteindre,
Avec un goût d’amour et des rêves nouveaux,
Que puisse mon chemin parvenir à t’atteindre.

Refrain :
Tiens ma lampe allumée, la flamme est si fragile,
Ce soir je viens mendier ton pain, ton eau, ton huile.
Tiens ma lampe allumée jusqu’à ton domicile,
Toi seul, peut me guider.

♫ ♪ ♫
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ    Italiano

 Tieni la mia Lampada accesa

Ritornello :
Tieni la mia lampada accesa, la fiamma è così fragile,
Questa sera vengo a mendicare il tuo pane, la tua acqua, il tuo olio.
Tieni la mia lampada accesa fino al tuo domicilio,
Tu solo, può guidarmi.


1. - Accendi nel mio cuore qualcosa di vero,
Qualcosa di Te che niente possa spegnere,
Né l'insuccesso, né la paura, né il peso degli anni
E che non possa mai cercare di raggiungerti.

Ritornello :

Tieni la mia lampada accesa, la fiamma è così fragile..

2. - Accendo nei miei occhi alcuna cosa di pura,
Qualche cosa di Te che niente possa spegnere,
Né il peso del presente, né l'avvenire poco sicuro,
E che nel mio sguardo la tua chiarezza venga a spuntare.


Ritornello :
Tieni la mia lampada accesa, la fiamma è così fragile.. 


3. - Accendo nelle mie mani qualcosa di dolce,
Qualcosa di Te che niente non possa spegnere
Di piccolo, di discreto, di bruciante, di un pò pazzo,
E che possano ancora le mie braccia ancora stringere.

Ritornello :

Tieni la mia lampada accesa, la fiamma è così fragile..
 
4.- Accendi nella mia vita qualcosa di bello,
Qualcosa di Te che niente non possa spegnere,
Con un gusto di amore e di nuovi sogni
Che possa  il mio cammino a riuscire a raggiungerti .

Ritornello :
Tieni la mia lampada accesa, la fiamma è così fragile,
Questa sera vengo a mendicare il tuo pane, la tua acqua, il tuo olio.
Tieni la mia lampada accesa fino al tuo domicilio,
Tu solo, può guidarmi.

♪ ♫

Jean-Claude Gianadda
Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ le texte du  premier clip la vie continue   "FR/IT"
Refrain :La vie continue, fais ta route,
On compte sur toi, aujourd’hui,
La vie continue, tout n’est pas perdu,
Courage ! Il te reste ta vie...


   
1.- Et si l’être important s’absente
Et qu’alors tout soit dépeuplé,    
Va toujours de l’avant et chante,              
Fais pour toi mille et un projets.

 Refrain :
La vie continue, fais ta route,
On compte sur toi....


2.- Regarde donc, tous ceux qui vivent,
C’est parce qu’ils savent lutter ;
Et tous ceux qui passent la rive
C’est parce qu’ils savent rêver.

Refrain :
La vie continue, fais ta route,
On compte sur toi...


3.- Si tu ralentis, ils s’arrêtent,
Si tu faiblis, ils flancheront ;
Mais si tu relèves la tête
 Alors, ils se dépasseront.

          Refrain :
  Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ
le parole del primo clip 
Ritornello :
La vita continua, fai la tua strada,
si conta su te, oggi,
La vita continua, tutto non è perso,
Coraggio! Ti resta la tua vita...

1. - E se l'essere importante si assenta
E che allora tutto sia spopolato,
 Va' sempre avanti e canta,
Fai per te mille ed un progetti.

Ritornello 
La vita continua, fai la tua strada,
si conta su te,
...


2. - Guarda dunque, tutti quelli che vivono,
È perché sanno lottare ;
E tutti quelli che passano la riva
È perché sanno sognare.

Ritornello
 La vita continua, fai la tua strada,
si conta su te,
...


3. - Se rallenti, loro si fermano,
Se ti indebolisci, loro cederanno ;
Ma se tu  rialzi  la testa,
Allora loro si supereranno.

 Ritornello
La vita continua, fai la tua strada,
si conta su te,
aujourd’hui,
La vie continue, tout n’est pas perdu,
Courage ! Il te reste ta vie...

♪ ♫

06/09/2012

1° ) UNE PARCELLE DE MOI... de "À la recherche de mon enfance. Lina R."

                   
                                    (moi à 18ans)
  UNE PARTIE DE MOI  "image soumise à des droits d'auteur."
                        
Il y a des périodes qui furent  tristes dans ma vie, j'ai eu beaucoup d'amertumes et de chagrins,  je ne suis pas capable de me mettre en valeur en écrasant les autres personnes,  mais souvent je me suis sentie exploitée.

 J'ai vu des gens arriver en haut du sommet en faisant "souffrir, et qui piétinent aussi les sentiments des autres même dans leur propre famille la plus respectable soit-elle.


J'ai rempli des fleuves de larmes que personne n’a jamais vus.
 Ma famille ne m'a jamais aidée, ni moralement ni financièrement, pour mieux dire à mes 18mois, si on peut dire ainsi, ils me déposèrent ou plutôt  "m'abandonnèrent".


Je n'ai pas de souvenirs des premiers ans de ma vie, de moi je connais des petits épisodes que "*MAMAN ELLE" me racontait,  il semblerait que les premières années j'étais heureuse obéissante et beaucoup aimée par Maman Elle, maman Elle me prit sous ses ailes jusqu'à mes 7 ans…

Mais ma joie s'évanouit bien vite,  je ne rirais plus, j'étais toujours malade,  je mangeais peu presque rien,  et ainsi cela dura jusqu'à mes 11 ans, les causes étaient nombreuses …
• 1- maman Elle aussi elle m'abandonna dans cet endroit qui devint hostile pour moi,


Pourquoi hostile ? Je le dirais plus loin….( Petite anticipation ; un jour j’étais enfermée dans un cagibi dans le dépôt de paille et une allumette qui passait par-là au même moment que je dormais)....

2 – Mes proches je ne les voyais jamais, oui peut-être, si mes souvenirs sont bons je voyais maman seulement  tous les 5 ans ou plus, seulement pour 2h avec un espion toujours à ma hanche, j'ai su  aussi que mes frères et sœurs étaient eux aussi "délaissés"  ma sœur était avec moi,  et moi j'étais heureuse ; en effet elle était tout proche de moi mais inaccessible, nous n'avions pas le droit de nous rencontrer, de nous parler, - des  règles comme « elles » disaient -, elle était à l'étage d’en bas et moi celui d’en haut, quand les 10mn matin et après-midi de pause venaient je courais heureuse là-haut en terrasse pour la voir jouer avec d’autres enfants, j’étais si heureuse que mon cœur battait si fort à me couper le souffle, sa  "maman"  s'appelait Graziella elle faisait partie aussi de toutes ces personnes délaissées,  du fait qu’elle était plus âgée  représentait la maman de toutes ces fillettes qui jouaient insouciantes

Ma sœur comme moi, fut prise d’affection par cette maman des petites filles, comme moi elle fut  prise sous ses ailes protectrices.
Je suis née en Italie,  élevée dans une place nommé collège  géré par les bonnes Sœurs qui à la place du cœur  avaient une pierre, avec des règles inventées par elles pour mieux torturer les âmes innocentes…

Pour conclure; Ma jeunesse fut si lamentable que je suis toujours à la recherche de mon enfance... 


*MAMMA ELLE était la Mère Supérieure dans les ans 50, en effets il s'appelait Sœur Raffaella en étant très petite je ne savais pas dire son nom entier je disais "ELLE" donc "mamma Elle".
Copyright © 2012.



À SUIVRE....♥



  ~ UNA PARTE DI ME ~   de "Alla ricerca della mia infanzia"
Ci sono dei periodi che furono triste nella mia vita, ho avuto molte amarezze e dispiaceri, non riesco a mettermi in valore schiacciando gli altri, ma spesso mi son sentita sfruttata.

 Ho visto persone  arrivare in alto del vertice facendo soffrire, et calpestando i sentimenti  degli altri  anche nella propria famiglia la più rispettabile .


Ho riempito fiumi di lacrime che mai nessun ha visto
 La mia famiglia non mi ha mai aiutata, sia che moralmente sia finanziariamente, anzi a 18mesi se si può dire cosi, mi depositarono o meglio "m'abbandonarono". 

Non ho ricordi dei primi anni della mia vita, di me conosco piccoli episodi  che "*MAMMA ELLA"  mi raccontava, sembrerebbe che i miei  primi anni ero felice ubbidiente e tanto amata da Mamma Ella, la mamma Ella mi prese sotto le sue ali fino ai miei 7 anni…

Ma ben presto la mia gioia svani non ridevo più, ero sempre ammalata, mangiavo poco quasi niente,  cosi durò fino ai miei 11 anni, le cause erano tante…
1 - Mamma Ella anche lei mi abbandonò in quel luogo che divenne ostile per me...

Perché ostile ? lo dirò più in là… ( Piccolo anticipo;  un giorno ero chiusa in un ripostiglio nel deposito della paglia ed un fiammifero che passò da là nello stesso momento che dormivo)…

2 - I miei famigliari non li vedevo mai, si forse se i miei ricordi sono buoni vedevo solo mamma ogni 5anni o di più, solamente per 2h con una spia sempre al mio fianco, seppi poi che anche i miei fratelli et sorella erano anche lori «abbandonati» mia sorella era con me,  ed io ero felice ; in effetti era vicino me, ma irraggiungibile non avevamo il diritto di incontrarci, parlarci - delle regole come «loro» dicevano -,  lei era al piano di sotto ed io di sopra quando venivano le 10mn mattina e pomeriggio di pausa, correvo felice su in terrazza per vederla giocare con altre bimbe, ero cosi felice  che il cuore mi batteva cosi forte a togliermi il soffio
.
 La sua «MAMMA» si chiamava Graziella anche lei faceva parte di tutte quelle persone depositate, siccome lei era più grande di età, rappresentava la mamma di tutte quelle fanciulle che giocavano spensierati…

Mia sorella  anche lei come me, fu presa d’affezione per questa mamma "Graziella" delle bimbe, come me, fu presa sotto le sue ali  protettrice.

Sono nata in Italia, cresciuta in un posto chiamato collegio gestito da Suore che al posto del cuore avevano un sasso, con  regole inventati da loro per meglio torturare le anime innocenti. 


 Per concludere;  La mia gioventù fu così penosa che sono sempre alla ricerca della mia infanzia...

*MAMMA ELLA era la Madre Superiora negli anni 50, in effetti si chiamava Suor Raffaella io essendo piccolissima non sapevo dire suo nome intero dicevo ELLA quindi mamma Ella (Lina Randazzo)
Copyright © 2012.
                         "a  seguire".... ♥
 

05/09/2012

2°) Souvenir Lointaines. suite de "une parcelle de moi" ◘.Ricordi Lontani (poesia "La culla" di Vincenzo RUSSO alla fine)

Souvenir Lointaines.   "en Français et Italiano"



▬ Bonjour à ceux qui viennent rendre visite dans ma petite grotte ou je conserve mes souvenirs tristes et heureux ….

▬  Buongiorno a tutti quelli che rendono visita nella mia piccola grotta dove custodisco miei ricordi tristi e felici...

J’étais seule avec ma pensé d'un jour gris de septembre et  mon regard s’immobilisa  sur un tout petit objet non identifié qui bougeait sur un petit tas de cailloux,  tout au tour des grands ballons de pailles que le fermier avait préparé pour l’hiver,  le vent respirait léger sur mon visage comme une caresse,  je n’avais pas envie de rester là dans l’incertitude de ne pas savoir.    Je courre dans ma cuisine chercher mes vielles lunettes inutilisables  déjà de plusieurs d'années..

Mais !  Où j’ai  mis ces bonnes vielles lunettes qui me faisaient saigner mon petit nez ?  ah ! les voici… je les prends et je courre dehors pour mieux voir l’objet non identifié.

Je ne vois plus l’objet alors je décide de me rapprocher, mon cœur battait plus fort à fur à mesure qui je m’approchais  car je ne savais pas ce qui je pouvais y trouver.

Pendant que je marchais  ma pensée  me renvois loin en ce jour où j’étais enfermé dans un cagibi pour n’avoir fini mon dîné que la cuisinière avait préparé pour nous les enfants délaissés par nos parents dans cet établissement qui portait le nom « Maison de St Giovanni Bosco » dirigé par des bonnes sœurs..

La cuisinière était une fillette parmi tante autres, délaissée comme nous son malheur était qui  n'arrivait pas à retenir en mémoire ses leçons d'école, donc jugée trop stupide, un âne comme elles le disaient, elle avait la malchance aussi qui ses parents étaient morts et ses grands-parents et la seule famille qui lui restait  se sont comportés  comme Ponce Pilate oui!  Se sont lavé les mains de ce gros fardeau qui s'appelait  Mima...

Mima donc était bonne « bonne double sens» simplement à vivre dans l'arrière local de la  cuisine "un petit débarras" Mima était très heureuse de ce petit local sans fenêtre sans lumière de toute manière  n'avait pas besoin, étant donné qu'elle se couchait et se levait très tôt, et  passait ses journées dans les fourneaux pour préparer les repas de tout les pensionnaires, nous étions 80 fillettes environ "aucun garçons" les personnes  âgés environs 40 femmes et 50 hommes, et bien sûr aussi de 18 Sœurs y compris la mère Supérieure.

Mima était très heureux de son petit château comme l'appelait-elle, moi je l’aimais beaucoup Mima,  était une fille qui avait  grandi très vite dans cet endroit de fumée, de différentes odeurs de brûlé ou de forte humidité, on l'appelait la reine des cendres… Oui !! du fait  que les fourneaux fonctionnaient avec la paille et le bois, si ma mémoire ne me trahit pas Mima avait quelque années de plus de moi ... (("étrange qu'entre nous nous ne connaissions pas l'âge des autres enfants….  les anniversaires??...   mais qu'est-ce que c'est ce gros mot?...   Je ne savais pas que ce mot existât sur un dictionnaire, le premier anniversaire je l'ai fêté à 18 ans j'étais heureuse comme une collégienne... collégienne?? mais je l'étais hihihihi!!!!" ))  je disais nous étions presque du même âge,  je  crois, étant donné qu'elle était en viande et j'étais peau et os,  j'avais l'impression qui Mima pour sa corpulence était plus grande que moi, la seule différence entre nous deux, elle était une vraie orpheline ne venait  vraiment personne lui rendre une visite, moi,  je voyais grand-père ou maman tous les 5ans si n’était  pas de plus,

De toute façon j'étais amie de Mima nous étions deux solitaires elle  était heureuse avec ses fourneaux,  ses marmites qui ne finissait jamais de laver "mais je dois avouer que je l'enviais souvent je voulais être là à sa place, d’avoir aussi mon petit château tout pour moi, et non un dortoir, une sale de repos communs sans parler du réfectoire, cet endroit que je haïssais beaucoup, tout simplement parce que je n'aimais pas ce qui nous présentaient dans nos plats presque vides et sans goût, Mima quand il finissait de nettoyer elle était libre d'occuper ses heures comme elle le désirait…

Elle m'invitait souvent dans son château, et me parlait d’elle me racontait ses rêves, et j'étais heureuse à l‘écouter d'admirer ce qu'elle gardait dans son palé précieusement,  par exemple une fleur séchée qu'avait trouvé dans la cour de la cuisine,  c'était son quartier, elle n'avait pas le droit de venir chez  nous là-haut dans les endroits   des filles nous étions affectées  à la broderie prières et des études, nous étions  très surveillées, quand je pouvais, j'allais  la retrouver dans les moments de repos,  et le dimanche, le dimanche nous étions 2 h libres le matin et l'après-midi,  du fait soit que Mima et moi  nous n'allions jamais dans le parloir nous étions les deux petites orphelines  elle l’était  vraiment et moi pour abandon "si on peut dire ainsi."

La sœur qui était responsable de la cuisine s'appelait Sœur Rosa une femme grande semblable à un rugbyman et en plus était  amie de Maman Elle,  j'étais donc son enfant préféré…. Voilà  le pourquoi j'avais la possibilité de fréquenter les quartiers  d’en bas en cuisine, je me rappelle que Sœur Rosa me prenait par la main et  me cahotait avec elle quand faisait l’inspection dans les différentes pièces des réserves alimentaires j'étais émerveillée  quand elle s'asseyait devant un objet artisanal rond de bois avec une lame qui levait et descendait "manuellement"  pour couper le pain ou le fromage à tranches, je me rappelle encore le bon parfum de pain de maison hummmm!!!! Comme c’était bon quand  me donnait un petit bout de pain encore chaud avec un peu de sel et d’huile d'olives !.

Et pendant quelle coupait le pain me racontait des petites épisodes de ma mère et mon père puis un jour elle m’a chanté :
♫      Ninna-nanna ♪
♪ ninna oh!!  ♪manna oh!! ♫

♪ cette morte bouteille* ♫
♫que ne te prend jamais ♪
♪ Ninna-nanna petite fille ♫
♪ ninna oh!!  ♪manna oh!! ♫

♫ que la morte butteille* ♪
♪ te viendra te chercher vite ♫
   ♫     ♪      ♫       ♪    ♫
c’était une berceuse que paraît-il ma grand-mère me chantait quand j’étais encore bébé, quand elle venait me retrouver, l’ironie du sort je ne sais pas de quelle mamie s’agissait soit paterne ou materne que bien sûr je ne les ai pas connues …
--  *bouteille = c’était le gros mot qu’était interdis "le métier le plus vieux du monde b...

Je suis  fatigue d'écrire "faire les corrections des deux langues mes pupilles se ferment" parbleu il est 05:45  voilà  pourquoi je meure de sommeille!! bien je vais continuer  plus tard je vous souhaite un bon mardi de ce 25 septembre  et  à moi un bon sommeil...je couuureeee dans les bras de Morphée  elle  m'attend... à bientôt avec la suite ♥ Lina

▬ PETIT PLUS POUR Renforcer  ma triste enfance

Comme certainement tous moi aussi j’ai un Facebook hihihi !! et j’ai la chance d’avoir beaucoup d’amis formidables, de tous milieux sociaux, malheureusement sont tous très loin ‘Italie » entre mes amis un grand poète/écrivint « Vincenzo RUSSO » ce étrange  car j’ai une tante en Sicile que  s’appelle aussi RUSSO, donc  en visitant le profile de Vincenzo  je suis tombé sur une poésie, je l’ai lu à plusieurs reprise et à chaque fois mes larmes coulaient à me couper le souffle,  tout simplement parce que cette poésie raconte des épisodes souffertes cachés  au fond de moi, ((en lisent part de mon journal intime vous comprendrez mieux)) et ce poème se marie bien avec cette episode de ma vie que je viens de faire ….. voici le Poème de Vincenzo RUSSO « plus loin je ferai une biographie de ce beau poète de la belle NAPOLI= NAPLE pour mieux le faire connaître soit en Italie soit ici en France ….

•  Le Berceau

Encore une nuit dans l'obscurité.
lui manque ta fable,
lui manque de dormir
avec toi sur son nuage,

berceau comme en caserne,
alignée, égal,
berceau de rêves brisés,
prison sans idéaux,

lune, hoquets et larmes,
les larmes de nombreux,
prêtes à témoigner,
les fils tu dois les aimer,

pas pour les vouloir
nés pour respirer,
mais fut pour votre choix,
celle de procréer,

instants de plaisir,
jouir et ne pas savoir,
gouttes d'amour en fruit,
pour donner vie au deuil,

je me demande le pourquoi
ce sont les destinataires,
d'un cauchemar infini,
de vivre la vie.

Or de nuit est lumière.
lui donne sûreté,
en anticipant les rêves,
un baiser et une caresse,

ils sont devant eux
avec ces cinq doigts,
précèdent chaque pas,
lui enseignent la vie.

Mère ne te connaît pas,
ces jours là tu l'abandonnas,
a pleuré tes sourires,
par ce que tu ne dis pas.

Mère tu pleures ton fils
par ce qui ne t'a pas donné,
désormais n'a pas plus de larmes
de quand il fut adopté.

de Vincenzo Russo dans le recueil "Autour à toi..." an 2004

 ♥ .......◘.....◘.....◘.....◘.....◘.....◘.....◘.........

Ricordi Lontani
Ero sola con il mio pensiero  in un giorno grigio di settembre ed il mio sguardo si immobilizzò su un piccolo  oggetto non identificato che si muoveva su un piccolo mucchio di sassi, e tutto intorno c'erano dei grossi  palloni di paglia che il contadino aveva preparato per l'inverno,  il vento respirava leggero sul mio viso come una carezza,  non avevo voglia di restare lì nell'incertezza di non sapere,  corro nella mia cucina a cercare  i miei vecchi occhiali   inutilizzabili di  già bene da tanti anni..

Ma!  Dove ho messo questi buon vecchi occhiali che mi facevano sanguinare  il mio nasino?....  ah! eccoli  lì!!!   li prendo ed  corro fuori  per veder meglio l'oggetto non identificato,  non lo vedo bene, allora decido di avvicinarmi di più, il mio cuore batteva più forte  a misura che mi avvicinavo,  perché non sapevo ciò che potevo trovarsi.

E mentre camminavo  il mio pensiero mi rinviò in quel giorno lontano dove ero chiuso in un ripostiglio per non avere finito il mio pasto  che la cuoca aveva preparato per noi i bambini lasciati li dai nostri genitori in quel stabilimento che portava il nome "  Casa di St Giovanni Bosco"  diretto dalle buone suore ..

La cuoca era una bambina come tanti altri, abbandonata come noi la sua disgrazia era quella di non arrivava a trattenere in memoria le sue lezioni di scuola, giudicata dunque troppo stupida, un asino come esse le dicevano, aveva anche la sfortuna che i suoi genitori erano morti ed  i sue nonni  e la sola famiglia che le restava si son comportati come Ponzo Pilato, si!   lavate le mani  di questo grosso fardello che si chiama Mima...
 dunque Mima era semplicemente buona da vivere  nel locale dietro cucina "un piccolo ripostiglio"  Mima era molto felice di questo piccolo locale senza finestra senza luce tanto non ne aveva bisogno dato che si coricava e si alzava molto presto, e passava le sue giornate nei fornelli per preparare i pasti di tutto i convittori,  noi eravamo 80 bambine "niente maschietti" le persone anziane circa 40 donne e 50  uomini, e ben certamente  anche di 18 Suore  ivi compreso la madre Superiore.

Mima era molto felice del suoi piccolo castello come lo chiamava lei, io le volevo molto bene era una ragazza cresciuta molto presto li in quel luogo di fumo, di odori vari di bruciato o di forte umidità, la chiamavano la regina delle ceneri,  si!!  perché i fornelli funzionavano con paglia et legna,   se la mia memoria non mi tradisce aveva qualche anno più di me... ("strano che tra noi non conoscevamo l'età delle altre bimbe,...  i compleanni??... ma cos'è questa parolaccia ?... non sapevo che esistesse questa parola su un dizionario,  il primo compleanno l'ho festeggiato a 18 anni ero felice come una collegiale... collegiale ??.. ma lo ero hihihihi!!!!" ),  dicevo eravamo quasi  della stessa età, almeno credo dato che lei era in carne et io ero pelle ed osa avevo l'impressione che Mima per la sua corpulenza era più grande di me, la sola  differenza tra noi due,  lei era una vera orfana non veniva veramente nessuno renderle una visita io per lo meno vedevo nonno o mamma ogni 5anni  se non di più.

Comunque ero amica di Mima eravamo solitari, lei era felice con i suoi fornelli, le pendole che non finiva mai di lavare  "ma devo confessare che spesso la invidiavo...  si!... volevo essere al suo posto, avere anch'io il mio piccolo castello tutto per me,  e no un dormitorio, una stanza di riposo comune senza parlare del refettorio, quel luogo che odiavo tanto,  tutto semplicemente perché non amavo quel che ci presentavano nei nostri piatti quasi vuoti et senza sapore,

Mima quando finiva di pulire era libera di occupare le sue ore come lei lo desiderava  mi invitava spesso nel suo castello, e mi raccontava di se dei suoi sogni, ed io ero felice ad ascoltarla ammirare quel che lei custodiva preziosamente nel suo palé, per esempio "un fiore  seccato che aveva trovato nel cortile della cucina", quel era il suo quartiere,  non aveva il diritto di venire su da noi nei reparti delle fanciulle che eravamo addetti al ricamo preghiere et studi, ed eravamo moto sorvegliati, quando potevo l'andavo a trovare nei momenti di riposo e domenica , la domenica eravamo liberi 2 h il mattino et il pomeriggio siccome,  sia che lei Mima ed io non andavamo mai in parlatorio eravamo le due orfanelli lei veramente ed io per abbandono "se si può dire cosi".

La suora che era responsabile della cucina si chiamava Suor Rosa una donna grande stille un rugbyman ed era amica di Mamma Ella dunque ero la sua bimba preferita ecco perché avevo la possibilità di frequentare i reparti giù in cucina, mi ricordo che Suora Rosa mi prendeva per mano e mi traballava con se quando faceva ispezione nei vari locali delle riserve alimentari, ero meravigliata quando si sedeva davanti un apparecchio artigianale rotondo di legno con una lama che alzava e scendeva "manualmente" per tagliare il pane o formaggio a fette,  mi ricordo ancora il bel profumo di pane di casa hummmm!!!! com'era buono quando mi dava un piccolo pezzo ancora caldo con un po di sale e olio di oliva...

E mentre  che,  lei  tagliava il pane mi raccontava dei piccoli episodi di mia madre e mio padre... poi un giorno mi  cantò:  ¸
♫  Ninna-nanna  ♪
♪ ninna oh!!  ♪nanna oh!! ♫

♫ questa morta bottiglia *
♪ che non ti prende mai ♪
 ♫ Ninna-nanna piccola bimba ♫
♪ ninna oh!!  ♪nanna oh!! ♪

 ♫  che la morta bottiglia *
♪ ti verrà cercarti subito ♪
      ♫   ♪    ♫     ♪   ♫
  Era una ninna-nanna che sembrerebbe  mia nonna mi cantava quando ero ancora bébé, quando veniva a ritrovarmi,  l'ironia della sorte non so di quale nonnina si trattava, o paterne o materne..... che certamente non le ho conosciute
-- * bottiglia = era la parolaccia che era vietata di dire  "il mestiere più vecchio del mondo b..na.

Son stanca di scrivere "farò le correzioni delle due lingue le mie pupille si chiudono"  perbacco sono le 05:45 eco perché ho tanto sono !! ben continuo più tardi vi auguro un buon martedì di questo 25 settembre ed io un buon sonno ...coorrooo le breccia di Morfea mi aspettano... a presto con il seguito ♥ Lina

▬ PICCOLO DI PIÙ  Per Rinforzare la mia triste infanzia

Come certamente tutti, anch'io ho un Facebook hihihi!! ed  ho la fortuna di avere molti amici formidabili, di ogni mezzo sociale, purtroppo sono molto lontano "tutti Italia" tra i miei amici un grande poeta/romanzieri "Vincenzo RUSSO" questo strano perché ho una zia in Sicilia che si chiama anche RUSSO, dunque visitando il profilo/bacheca di Vincenzo sono caduto su una poesia, l'ho letto parecchi volte ed ad ogni volta le mie lacrime colavano a tagliarmi il soffio, semplicemente perché questa poesia racconta degli episodi sofferti nascosti in fondo a me, ( leggono parte del mio giornale intimo comprenderete meglio) questa poesia si sposa bene con questo episodio della mia vita che ho appena fatto.ecco la Poesia di Vincenzo RUSSO "più in là farò una biografia di questo bel poeta di Napoli= Naple Vincenzo RUSSO per meglio farvelo conoscere sia in Italia sia qui in Francia hihihi!!!!  ♥

    “ La culla “

Ancora una notte al buio.
Gli manca la tua favola,
gli manca di dormire
con te sulla sua nuvola,

culla come in caserma,
allineata, uguale,
culla di sogni infranti,
prigione senza ideali,

luna, singhiozzi e pianti,
le lacrime di tanti,
pronte a testimoniare,
i figli li devi amare,

non per volere loro
nati per  respirare,
ma fu per vostra scelta,
quella di procreare,

attimi di piacere,
godere e non sapere,
gocce d’amore in frutto,
per dare vita a lutto,

mi chiedo perché mai
sono i destinatari,
di un incubo infinito,
di vivere la vita.

Ora di notte è luce.
Gli danno sicurezza,
anticipando i sogni,
un bacio e una carezza,

sono davanti a loro
con quelle cinque dita,
precedono ogni passo,
gli insegnano la vita.

Madre non ti conosce,
quel dì lo abbandonasti,
ha pianto i tuoi sorrisi,
per ciò che non dicesti.

Madre piangi il  tuo figlio
per ciò che non ti ha dato,
ormai non ha più lacrime
da quando fu adottato.

Di Vincenzo Russo dalla raccolta "Intorno a te..." anno 2004