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17/09/2021

Le retour du petit ange sur la terre ✔

 Un jour Dieu envoya sur la terre un petit ange chez une dame qui passait une bonne partie de ses journées toute seule....

 "Tu vois mon petit ange bien aimé! Bientôt ta mission finira,...

L'ange se serra fort contre Dieu et lui demanda :

"Dieu je voudrais rester encore sur terre et être là quand elle fermera ses yeux."
  
 
 ...Quelques jours âpres son dialogue avec Dieu du secret des larmes de la vieille dame


 Le retour du petit  ange sur la terre  (2)
 Le petit ange avait dit à Dieu  
"Dieu je voudrais rester encore sur terre et être là quand elle fermera ses yeux."
 
Alors Dieu en le serrant très fort lui dit : Vas mon petit ange
Mais elle pourra me voir encore ?

Oui seulement quand elle est triste et qu'elle pleurera, alors tu sécheras ses larmes, mais cette fois-ci quand tu reviendras tu reviens avec elle.
Avec elle ? dit l’ange en continuant  : Mais quand ?.

Dieu lui sourit et lui dit : " au moment que je déciderai" Puis avec tendresse il caressa son petit visage.

L’ange fit ce que Dieu avait dit, quand la vieille dame était triste et pleurait délicatement il sécha ses larmes. Elle le revit et lui sourit. L’ange lui demanda pourquoi tu est triste et pleures-tu ? et elle répondit:

- Les larmes sont tous les souvenirs lointaines qui réveillent des cicatrices jamais refermées

- La tristesse c’est d’avoir la sensation que ma vieillesse et ma maladie sont un lourd fardeau pour eux, la façon de m’exprimer,  de comprendre tout de travers, et une élocution incompréhensible  aussi m'attriste.

Je désire que mon fils vienne me chercher pour passer une journée avec sa famille
Aider sa compagne à préparer le repas comme quand je le préparais pour lui et pour me sentir encore utile pour eux.

Oui je comprends bien dit le petit ange.  -Tu sais ton fils t’aime, seulement maintenant il a sa famille, les enfants oublient les souvenirs heureux ou tristes de leur jeunesse.

Puis la vielle dame lui souris et lui dit :

Je comprends,   mais tu vois ? J’aimerais que mon enfant m’emmène dans les rues pour admirer les vitrines allumées en fête, ressentir le soleil sur mon visage comme autrefois, sentir tous les parfums que la nature nous offre, toutes ces choses que je faisais pour lui quand il était encore un enfant, toutes ces choses avant que je ne puisse plus marcher, et …

Le petit ange l’interrompit avec un air intrigué :  - C’est quoi cette lettre dans ton coffret secret ?

La dame lui répondit "C'est une petite lettre que j’ai écrit à mon fils. 
L’ange la regarda avec tendresse en essuyant  une larme sur le visage et lui demanda encore : Je peux la lire ? - la dame avec un petit sourire lui donne la lettre.
...

Mon cher fils

Avant tout sache que je t’aime et que pour moi ta venue au monde c’était une bénédiction de Dieu.
Je voudrais te donner un petit conseil pour quand un jour je serais encore plus vieille.

Mon fils sois patient avec moi si je n’arrive plus à comprendre les mots que tu diras, parle-moi doucement sans t’énerver et s’il le faut, répète-moi plusieurs fois les mots si mes oreilles n’entendent plus comme avant.

Ne juge pas mes décisions, ne critique pas ma façon de marcher et si tu vois une larme dans mes yeux ne m’envisage pas avec dédain car cette larme ce n’est pas par un caprice de vieille femme, mais c’est une larme d’émois en te voyant après une long absence devant moi si grand et si beau.

Si je te parle avec une voix tremblotante ne te mets pas en colère, car je suis toujours moi, ma voix tremble mais mon esprit est encore intacte..

Mon cher fils si tu vis dans une ville loin de moi , viens me rendre visite... Oh je sais bien que les temps sont durs pour tout le monde et pour venir ici il faut sacrifier un budget, rappelle toi mon chéri que nous étions pauvres, mais notre affection  notre union en famille était notre richesse inestimable, et aujourd’hui ma richesse c’est de te voir de temps en temps, je n’ai pas besoin de ton argent, de cadeaux, mais seulement que tu sois ici avec moi plus souvent .

Mes souvenirs les plus heureux ce sont nos réunions en famille le dimanche, les anniversaires, tous les cris de joies des enfants quand Père Noël sonnait à la porte et distribuait les cadeaux.

Aujourd’hui les petits sont grands, ils vivent leur vie bien différente et "c’est bien normal" une grand-mère n’est pas leur joie d’autrefois... Je ne prépare plus les épinards magiques ou les boulettes d’aubergines qu'ils détestaient mais qu’ils dévoraient pensant que c'était des boulettes de viande…
….
L’ange ému regarda la vieille dame et dit :
Tu n’as pas fini ta lettre pourquoi ?

Encore avec un demi-sourire malicieux la dame répondit- "C’est que je ne sais pas comme formuler certaines pensées qui me trottent dans la tête.

Toujours plus curieux ange lui demanda:
"Quelles sont ces pensées ? tu peux m’en parler ? "

Je voudrais savoir ce que mon fils voit quand il regarde mes rides, et ma chevelure dégarnie blanche

  Si il pense que je suis sénile quand je lui parle des choses douloureuses du passé ? Est-il dégouté quand je mange en me salissant ? et que dit il de mon regard perdu dans des vieux souvenirs ?

Le petit ange se blottit fort contre elle et lui dit:
Ouvre bien tes sens et tu sentiras le parfum de leur amour même s’ils ne sont pas là assez souvent…

Mais la vielle dame continua avec tristesse

-Mes pensées c’est aussi quand je sens que mon corps commence à me quitter car …
mon corps est vieux, mon cœur ne bat plus à son rythme naturel, mes forces m’abandonnent, mais mon esprit est encore jeune, mon cœur sait aimer encore plus fort, et j’ai toujours la foi en Dieu et je sais qu’il me donne la force de lutter pour surmonter la douleur .

L’ange s'assoit sur ses genoux et lui dit :
Tout ça Dieu le sait, pour lui tu es précieuse, et a consenti à ce que je reste près de toi jusqu'à la fin.

Oui ! j’ai bien compris que rien n'est éternel

Maintenant j’ai peur de finir mes jours, abandonnée dans un hospice, sans visite, sans affection, ne plus sentir le soleil caresser mon visage, ne plus voir les petits enfants, ni écouter leur voix qui bercent mes oreilles …

Non Ma douce maman tu ne seras jamais seule je resterai avec toi jusqu’à la fin de ta vie, et c’est moi qui t’amènerai devant notre Père Éternel.
 
Lina Randazzo
16 juillet 2019
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12/12/2020

L'histoire de Jules

 


histoire de Jules

 C'est l’histoire d’un  jeune homme a penne sortit d’une grande université décide de partir en Amérique pour trouver un travail digne de ses études et de sa personne.

Mais avant cela il pense seulement à s‘amuser avec le peu de billets que son père lui à donné.

Raoul  son père travaille comme homme de maintenance dans une grande usine de métallurgie, il fait beaucoup d'heures supplémentaires pour pouvoir assumer  les besoins de sa famille. 

Raoul est fier que son fils aîné ai réussit ses études et obtenu le diplôme d’ingénieur  industrielle.

 Il est très fière que Jules son fils soit grandi dans des bonnes principes et l’amour de sa famille

Jules était un enfant très heureux son père joué toujours avec lui quand était libre de travailler, quand il retournait de son travail il se mettait tout de suite au boulot pour  la vieille maison.  C'est une  vieille maison acheté en crédit avec beaucoup de sacrifice personnelle.  Et oui!  C'est bien lui que fait les travaux de tout types, Raoul a les mains en or, il sait tout faire...

Raoul s’occupait de Jules avec amour, compression et tant de complicité, avec sa femme Marie-Luise et sa fille Consuelo forment une famille exemplaire.

Après son diplôme en poche  Jules décide de partir pour visiter le monde, son père lui donne quelques billets qui avec tant de sacrifice avais économisé en cas ou. 

Jules après  avoir tout dépensés au casino, dans des bars de luxe, décida de trouver un travail pour pouvoir assurer  ses besoins. 

Fièrement bien habillé il se présente dans une usine métallurgique comme son père mais pas comme ouvrier mais comme cadre ingénieur.

Dans la salle d’attende se regardait autour de lui, pour comprendre si pour lui était facile d’être embauché, 1 heure après c’est son tour , il est certain que c’est lui la personne qui va être choisis en vus des autres personnes  "sans diplômes ou élégance"  pensait content Jules.

 Le directeur lui demande :

"Pourquoi voulez-vous travailler comme ingénieur dans notre groupes métallurgie ?"

Jules lui répondit : - "Pour pouvoir acheter une  belle et grande maison comme mon père... Mais pas vieille comme la notre pour la  remettre en état jour après jours sortant de son travail... -Travailler  pour  voyager,  au contraire de mon père, lui pense que réparer la maison et tenir un bon potager...- Travailler aussi  pour fonder une famille...-  Dans la métallurgie c’est pour suivre les traces de mon père".

À bon ? et quel métier faisait votre père ?  demande le directeur

IL est un homme de maintenance un homme tout faire, il est  respecté par la direction et ses camarades et de nous en famille.

Bien ! dit le directeur,   - "Alors il ne s’occupait pas de vous pour jouer,  pour vous promener, et bien d’autres activités.  - Je suis sur que vous l’avait aidé beaucoup quand il travaillé dan votre vieille maison et le potager de la famille…


Ô NON ! dit Jules.. Mon papa était toujours là pour nous, il jouait, me consolait, me racontait des histoires de sa famille,  c’est  un père très présent pour nous, toujours avec bonne humeur et une parole douce. 

C’est lui qui vous a donné de quoi voyager et venir en Amérique ? demande ce fois-ci le directeur

OUI ! Bien sur ! répondit Jules.

Le directeur alors se lève  et dit a Jules : 

-  "Avez-vous  vu les mains,  et le visage de votre père  envieillit par le trop boulot ? 

-l L' avez-vous aidé une fois au moins dans le potager ? 

Jules réfléchit et ne réponde pas, le directeur lui di 

- "Je vous paye le voyage et allez voir le visage et le main de votre père, puis revenez me voir"…  

Entrant chez  lui sans donner aucun  suspect de son retour, commence à  espionner le père, dans son potager, dans les travaux, puis un jour son père en prenant sa douche, lui demande.

" Papa puis-je te laver le dos ? 

Le père dit  " Avec plaisir!"   Puis avec une vois trémulant il ajoute, "Mais tu sais que c’est la première fois que tu te prends soins de moi ?"

 Jules lui lave le dos, observe discrètement ses mains et quand il remarque des vieux et des nouveaux blessures  sur les mais, les  jambes et le dos, fut triste, puis en touchant une de ses blessures remarque que son père fait une grimasse spontanée. Il  ne dit rien...

Le jour d’âpres Jules dit a la famille :  

Je ne parte plus avec mon diplôme je peut bien trouver du travail dans la même usine de papa en plus il est une bonne référence pour moi, ainsi je vous aiderai a payer le crédit, et j'aiderais dans mon possible dans les travaux et le potager.

En se couchant avec une larme, Jules appelle le directeur en Amérique et lui dit :

MERCI! Oui merci ! Vous m’avait ouvert les yeux,  je reste ici pour mon Père et ma famille, Merci encore .

Lina Randazzo
11 decembre 2021
Copyright ©


 

25/01/2018

C’est lui qui j’ai épousé de Lina R. ✔

 



C’est lui qui j’ai épousé

Un jour  en me promenant dans un parc publique j’ai vu un homme qui regardait les passants et tout au tour de lui avec un air bizarre, et une petite dame plus âgée qui lui tenait la main avec fermeté .

Je suis curieuse de nature et timidement je demande à la dame : "Bonjour madame pourquoi ce monsieur me regardait avec insistance et les autres aussi, comme s'il voulait nous sauter dessus ? est t’il dangereux et c’est pour ça que vous lui serrez fort la main ? Savez-vous que, si c’est le cas qu’il est dangereux, ce serait mieux pour vous  de ne pas venir dans ce parc publique qui est peuplé d’enfants, même si vous lui serrez fortement la main"
La dame avec tendresse me répond :

Chère dame, ce monsieur n’est pas dangereux il est doux comme un petit agneau et ne fera jamais de mal à personne, nous avons l’habitude de venir ici depuis 50 ans et toujours en se tenant par la main, ce sont nos moments de bonheur et de complicité, si je lui serre fortement la main c’est pour lui rappeler combien je l’aime et que jamais je ne quitterai sa main, si son regard vous a mis peur je suis désolée, car il regarde comme ça peut-être pour retrouver de lointains souvenirs quand en jeune couple nous venions ici.

Oui je comprends mais lui tenir ainsi la main c’est exagéré, vous avez peur qu'il court derrière une autre femme plus jeune que vous ?

La vieille dame avec une larme à l’œil me dit : Non chère dame si je lui serre la main se n’est pas par inquiétude de le perdre pour un autre fille plus jeune, mais voyez-vous mon chéri a l'Alzheimer et j’ai peur de le perdre quand nous sortons

Avec un voix aphone par son doux regard et tant de tendresse envers son époux , et aussi parce que, j’avais honte d’avoir pensé tout autre chose, je lui dis :

Mais avec cette maladie d’Alzheimer il ne se souvient pas qui vous êtes et de ce lieu, pourquoi vous ne le mettez pas dans une maison de ret…je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’elle m'a coupé la parole et me dit en posant sa tête délicatement sur sa poitrine:

Jamais je lui laisserai la main, il fut un temps que, j’étais fort malade et lui avec amour, patience même très fatigué après sa journée de boulot ne m’avait pas abandonnée, oh !! je sais bien que lui ne me reconnaît pas, ne se rappelle pas de tous nos sacrifices, notre amour, notre complicité, de nos interminables promenades dans ce même parc depuis maintenant 10 ans… Elle continua avec émois, chère dame;
 Je sais qu’il est, ce qu'il a été pour nous deux, et je continuerai jusqu’à la fin de mes jours de lui tenir la main comme au bon vieux temps, car, c’est lui qui m’a rendu la joie de vivre.

 Quel belle leçon de vie avec une grande claque que m’a donnée cette petite et fragile femme, jamais e n'oublierai son doux visage ridé plein de tendresse pour celui qui ne sait plus désormais qui elle est... elle qui l'aime tant. 

de Lina Randazzo
15 avril 2017
Copyright © 2012.  
 ...♥

26/12/2015

Lettre d’une dame âgée à sa famille « un cris de silence » de Lina R. ✔



Lettre d’une dame âgée à sa famille  «un cri de silence »

Mon premier Noël sans vous, fut très dur difficile pour moi, mais il le fallait, car c’était le seul  moyen  de vous faire comprendre l’importance d’avoir ses parents près de sois, pas seulement à Noël mais tous les jours de notre vie «chose que je n’ai jamais eue et je sais la douleur qui reste tout au fond de son âme à tout jamais». mais peut-être ceci vous ne l'avez pas encore compris.

Sachez que sans vous ça a été le Noël le plus  misérable, et vide qui puisse exister « bien sûr j’ai été heureuse avec mon chéri et l'un d’entre vous … mais ne pas entendre vos cris de joie, vos blagues, ne pas voir vos sourires  c’était trop dur et pénible, derrière mon sourire je cachais cette âme effondrée de tristesse  pour ne pas gâcher la joie de mon chéri et de mon invitée in extremis …

Cette triste vieillesse qui avance sans pitié sur mon corps, vous fait  désormais peur,  vous avez du mal à l’accepter avec toutes  les conséquences qu’elle apporte aussi… Oh je le sais ! Ce n’est pas drôle pour vous de l’accepter, mais il faut bien que je vous dise quelque chose avant qu'il ne soit trop tard… 

Aujourd’hui avec l’avancement des choses et des événements, je ne sais pas si tout ce que je vous ai transmis était bien ou mal, tous les conseils que je vous donnais, je les pensais bons et utiles, d'autant plus que,  «personne ne me les a jamais transmis» tout ce que j’ai appris c’était avec vous, au moins je pensais vous apprendre un peu de sagesse, d'amour et de respect entre vous, et surtout d’honnêteté, ma phrase était et l’est toujours  «Pauvres oui ! mais Honnêtes»
Oui je sais bien aussi que, si par hasard je devais être votre avocate vous perdriez certainement votre procès

Dans mon cœur je pensais que les conseils que je vous ai donnés pourraient vous aider un jour, et que pour le reste vous apprendriez par vous-même, pour le moment je vous demande seulement d’être patients avec moi, indulgents envers cette vieillesse qui déjà me dévore tout doucement même si je suis unique à ma façon de vieillir, à l'intérieur je me sens cette petite fille qui courait dans ses rêves cachés, mais à la surface c’est tout autre chose, même si je cours toujours derrière mes rêves impossibles.

Vous verrez avec le temps vous allez vous habituer et avec l’amour accepter aussi mon triste physique qui change laidement sous vos yeux, je sais bien que pour un enfant sa maman doit rester sa petite maman d’autrefois, celle qui ne baissait jamais les bras, qui affrontait les obstacles avec dignité et courage, mais j’aimerais tant que vous puissiez voir en moi cette femme qui vous a donné la vie, je fairai toujours partie de votre famille même quand je ne serai plus là…

Votre petite maman qui vous aime tant, même au delà ♥   - Un dernier petit conseil  «La vie est courte, vous êtes  si jeunes et moi j’ai sur le dos tant d’expériences» encore un conseil, le plus important (si tu ne t’aimes pas toi-même tu ne pourras jamais aimer quelqu’un d’autre, ta richesse sera ta loyauté).

PS] - j'ai trouvé cette pensée dans un profil d'un cher ami Enzo U. "un hypothétique parent"  et je voudrais la partager avec vous.  bisou Maman ♥
.......
• J'ai rêvé que j'étais sur l'Etna, d'une astronef  descendait un extra terrestre  d'une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre. Après un entretien très sage, avec un rayon spécial il m'a gravé sur une plaque pierre de lave tout ce qui suit.


 LES SEPT COMMANDEMENTS

1, respecte ton père et ta mère parce que, sans que tu le demandasses non plus, ils t'ont donné la vie.

2, regarde ton fils, que tu aimes  par dessus tout, et tu comprendras ainsi combien tes parents t'aiment.

3, ne pas hurler avec eux sans motif. Souviens-toi que ce sont eux  qui t'on appris à parler.

4, s'ils devaient se tromper à ton égard, rappelle-toi combien de fois ils ont pardonné tes fautes.

5, dans le cours de la vie tu pourrais être trahi par ton compagnon/ta compagne, jamais par tes parents.

6, quand quelqu'un te cherche ce pourrait être avec arrière pensée, il pourrait ne pas te chercher à un moment donné. Les seuls qui te cherchent toujours sans arrière pensée sont tes parents.

7 Souviens-toi qu'ils ne sont pas éternels et un jour, peut-être demain, ils pourraient partir pour toujours

BON NOËL à VOUS TOUS   ♥  pardonnez-moi, c'était seulement la manière de vous faire  comprendre...

Lina Randazzo
Copyright © 2012.














"un grido di silenzio"

Lettera di una signora anziana alla sua famiglia 

Il mio primo Natale senza voi, fu molto duro e difficile per me, ma  era necessario, perché era il solo medio di farvi comprendere l'importanza di avere i suoi genitori vicino a se,  non solamente a Natale ma tutti i giorni della nostra vita " cosa che non ho avuto" mai ed io so il dolore che resta per sempre tutto in fondo alla sua anima,  « ma forse questo non l’avete ancora capito »

Sappiate che senza voi ciò è stato il Natale più miserabile, e vuoto che potessi avere " ben certamente sono stata felice col mio caro ed un membro di voi,  ma non sentire vostri grigi di gioie, i vostri scherzi, e il vostro sorridere questo  erano troppo duro e faticoso, dietro il mio sorriso nascondevo questa anima  annientata di tristezza,  per non rovinare la gioia del mio caro e della mia invitata in estremismo

La mia triste vecchiaia che avanza senza pietà sul mio corpo,  vi fa ormai  paura,  vi fa fatica ad accettarla con tutte le sue conseguenze che lei porta anche… Oh! lo so, non è divertente per voi di accettarla, ma occorre bene che io vi dicessi qualcosa prima che non sia troppo tardi…

Oggi con l’avanzargli delle cose e degli avventi, non sono certa di tutto ciò che vi ho trasmesso q erano buone o cattivi,  tutti i consigli che pensavo di avervi dato erano buone ed utili, di tanto più che, " nessuno me li  ha trasmesso"  tutto ciò che ho imparato  è stato  con voi, perlomeno pensavo di insegnarvi la saggezza, l'amore e rispetto tra voi, soprattutto l'onestà la mia frase era  ed  è sempre " Poveri sì !, ma Onesti" Si so anche bene che,  se per caso sarò il vostro avvocato voi perderete certamente il vostro processo...

Nel mio cuore pensavo che i consigli che vi ho dato vi avrebbero potuto  un giorno aiutare, et  d’altri  che  apprenderete per voi stessi,   per il momento  vi chiedo solamente di essere pazienti verso me,  indulgenti verso questa vecchiaia che già mi divora  pian-piano,  anche se sono unica al modo mio  d'invecchiare,  dentro mi sento quella piccola fanciulla che correva dietro i suoi sogni nascosti, ma alla superficie è tutt 'altra cosa, anche se  corro sempre dietro i miei sogni impossibili.
Voi vedrete, con il  tempo vi abituerete  e con l'amore ad  accettare anche il mio triste fisico che cambia inesorabile sotto i vostri occhi, so bene che per un figlio sua mamma debba restare la sua piccola mamma di altre volte, quella che non abbassava mai le braccia che affrontavano gli ostacoli con dignità e coraggio, ma amerò tanto che voi  possiate vedermi questa donna che vi ha dato la vita…

La vostra  piccola mamma che vi amano tanto ♥  un ultimo piccolo consiglio " La vita è corta, voi siete cosi giovani  ed io ho  sulla mia schiena tanto di esperienza,  ancora uno il  più importante , se non  ami te stesso non potrai amare mai qualcuno d'altro,   la tua ricchezza sarà la tua lealtà.)

 PS]
Ho trovato questo pensiero in un profilo di un caro amico « un ipotetico parente »  e vorrei condividerlo con voi:

 Ho sognato di essere sull’Etna, da un’ astronave scendeva un extra terrestre di una civiltà molto più avanzata della nostra. Dopo un colloquio molto saggio, con un raggio speciale mi ha inciso su una lastra di pietra lavica quanto segue.

SETTE COMANDAMENTI

1) Rispetta tuo padre e tua madre perchè, senza che tu neanche lo chiedessi, ti hanno dato la vita.

2) Guarda tuo figlio, che tu ami al di sopra di tutto, e così capirai quanto ti amano i tuoi genitori.

3) Non urlare con loro, per nessun motivo. Ricordati che sono stati loro ad insegnarti a parlare.

4) Se dovessero sbagliare nei tuoi confronti, ricordati quante volte loro hanno perdonato i tuoi errori.

5) Nel corso della vita potresti essere tradito dal tuo/a compagno/a, mai dai tuoi genitori.

6) Quando qualcuno ti cerca potrebbe essere per un secondo fine, potrebbe ad un certo punto non cercarti più. Gli unici che ti cercano sempre senza secondo scopo sono i tuoi genitori.

7) Ricordati che non sono eterni ed un giorno, che potrebbe essere anche domani, potrebbero andare via per sempre.
(di Enzo U.)

BUON NATALE  A VOI TUTTI ♥ perdonatemi era il modo di farvi comprendere solamente...

Lina Randazzo
Copyright © 2012.
...♥

26/02/2015

Un petit Ange sur la terre ◘ Un Angioletto sulla terra de Lina R. ✔


Un petit Ange sur terre


Un jour Dieu envoya sur la terre un petit ange chez une dame qui passait une bonne partie de ses journées toute seule.
Dieu dit à l’ange de la
surveiller et la protéger
L’ange tout fier de sa première mission remercia Dieu et avec ferveur alla chez la dame, la protéger...
Pour ne rien oublier, le petit ange écrivait tous les gestes étranges que faisait la vieille dame au quotidien, et ainsi passèrent les mois et les années... la dame maintenant devenue ancienne continuait toujours le même rituel de gestes.
Puis comme toujours l’ange retournait devant à Dieu pour raconter les étranges épisodes qu'il ne comprenait pas, mais qui le rendait de plus en plus triste.
Dieu avec calme l’invitait à raconter avec sérénité son récit.

L’ange commençait:
Dieu! Je ne comprends pas, tous les jours la vieille dame  même quand elle est seule, avec discrétion ouvre un petit coffret et tout doucement dans ses yeux les larmes apparaissant, puis elles tombent dans le coffret, ensuite elle le referme et le cache tout au fond d’un autre encore plus grand, et surtout après chaque visite de ses enfants...
Dieu fut ému de la tristesse de l’ange et lui dit :
"Tu vois petit ange, c’est bien étrange ce que tu me racontes" -et l’ange continua-...et quand elle est seule son comportement est encore bien plus étrange, elle se déplace dans la maison avec fatigue, elle doit s’asseoir très souvent pour aller d'une pièce à l’autre, je la vois souvent pleurer et ces larmes là, elle ne les conserve pas dans son petit coffret... -l'ange s'arrête comme pour réfléchir un peu -... 
Dieu écoutait son récit avec tendresse sans dire un mot… puis le petit ange continua son récit..
"Dieu je ne comprends pas... quand ses enfants sont là, elle ne pleure pas au contraire elle est heureuse comme un enfant, elle se déplace avec assurance même si je sais bien qu'elle souffre en silence, pourquoi alors pleure-t'elle après quand elle est seule devant son petit coffret ?"
Alors Dieu lui sourit et l'envoya encore sur la terre en lui disant:
"Mon Petit Ange observe bien cette vielle dame,
surtout quand elle est seule, et puis quand elle reçoit ses enfants et peut-être tu auras la réponse à tes questions"
L’ange tout fier retourna chez la vieille dame et cette fois-ci, resta nuit et jour collé tout près d'elle pour ne pas perdre une seule miette, et encore une fois la dame ouvrit son coffret et encore une fois ses larmes tombèrent dedans.
 
De retour au paradis le petit ange raconta avec émotion à Dieu les journées de solitude de la dame, mais elle ne pleurait pas quand elle ouvrait le petit coffret, elle le serrait fort contre son cœur, puis avec impatience elle attendait derrière sa fenêtre la visite de ses enfants..
Dieu demande à l’ange : "A-tu compris pourquoi pleure la dame ?  L’ange avec tristesse lui répondit:
"Dieu je n'ai pas encore compris, tous les jours elle et seule et triste, elle attend derrière sa fenêtre une visite d’un de ses enfants, et elle est si heureuse quand ils sont là, mais!... - et soudain l'ange s'arrêta, il devint encore plus triste et sa voix était plus fragmentée - Dieu avec une caresse l’invita à continuer son récit.. et l’ange continua:

"Quand ses enfants sont là, la vieille dame prépare un bon repas, elle est si fatiguée mais avec un grand sourire elle continue… -puis l’ange sourit -… mais elle est si maladroite qu'elle met de la nourriture partout, ses mains sont incapables de bien tenir ses grosses marmites et alors elle les appuie sur son ventre pour mieux les soutenir, -l'ange rigole malicieux - et puis tous ses vêtements sont si sales à la rendre comme une petite clocharde, mais elle est fière d’avoir réussi à faire encore une fois le repas pour ceux qu'elle aime, et puis avec joie elle te remercie, toi Dieu, oui elle te remercie de l'avoir aidée à finir le repas, elle demande toujours ton aide… Dieu lui répondit: 
"Çà je le sais déjà" et c’est pour cela que je t’ai  confié cette mission. Bien!! et puis mon petit ange raconte-moi la suite... 
L’ange continua à raconter tout ce qu’il avait vu.
Puis avec une petite voix dit: 

"Dieu! mais je n’ai pas encore compris pourquoi elle ne pleure pas quand un enfant lui parle si durement ? Pourquoi elle continue toujours à les attendre derrière sa fenêtre sachant qu’elle ne recevra que des reproches ?"
Dieu lui sourit et en caressant ses beaux cheveux blonds lui dit:
"Tout simplement parce que, dans son cœur il y a tant d'amour pour chacun d'entre eux, elle sait que l'amour restera pour toujours, tandis que les incompréhensions et les mauvaises réflexions s'envoleront loin, très loin... -L’ange demanda encore-: "Mais Dieu pourquoi quand elle ouvre le coffret pleure-t'elle ?" -Dieu avec un sourire lui fit une caresse et lui dit:

"Va petit ange! retourne encore chez la dame et quand elle ouvrira son coffret et que les larmes commenceront à descendre, tout doucement tu les sécheras et alors elle te verra pour la deuxièmement fois"...  
"La deuxième foi ?" -dit tout doucement l'ange en le regardant émerveillé- Dieu ne lui répondit pas et continua-
"Tu lui diras que tu es son ange gardien envoyé par moi, dis-lui aussi que j'écoute toujours ses prières, et que depuis que je l'ai mise sur la terre je l'ai toujours protégée et je continuerai à le faire jusqu'à la fin. Mais avant que tu ne retournes chez la vieille dame, dis-moi pourquoi son histoire te donne tant de tristesse, d'autant que tu la protèges déjà depuis plus de 42ans ?"
L'ange avec tristesse regarda Dieu et répondit:
"Dieu moi aussi j'aurais tant aimé avoir une maman, et peu importe sa beauté, sa façon de s’habiller, sa couleur de peau, sa richesse ou sa pauvreté, j'aurais seulement voulu me blottir sur ses genoux et sentir mon cœur battre avec le sien... -le petit ange poussa un bref soupir-... et puis je l'aiderai quand elle aura de la peine à marcher et à respirer, car elle marchera en s'appuyant sur moi et elle respirera avec l'amour que je lui donnerai.
Dieu lui sourit encore, puis avec tendresse caressa son petit visage en essuyant sa larme.

Retourné chez la vieille dame l’ange fit ce que Dieu avait dit, quand la vieille dame se mit à pleurer, il sécha ses larmes, et elle sourit tout de suite quand devant ses yeux l’ange apparut -L’ange lui demanda pourquoi, et elle répondit: "Je le sais que tu es mon ange, je le sais que Dieu m’aime et que près de moi il y a un ange pour me guider et me conseiller, un petit ange spécial rien que pour moi, et tous les soirs je m’endors heureuse car je sais que tu est là, et tu es aussi là à mon réveil" -l’ange ne compris pas, mais il lui sourit avec beaucoup de douceur en la regardant et dit :

"Dis-moi que contient ce coffret que tu ouvres et puis tu pleures, puis tu le caches si bien des regards des autres ? 
La dame lui répondit  "Ce sont toutes mes larmes de joie et de douleur, les larmes de douleur, quand un enfant était malade, quand un enfant avait de la peine, d’autres quand je les punissais"... 
- Puis l’ange lui demanda encore - 
"Mais quand un enfant te jugeait te faisait des reproches tu ne pleurais pas, pourquoi ?" -la dame ne répondit pas, mais avec un petit sourire dit:  "Ça petit ange c’est mon petit secret".

Ensuite l’ange toujours plus curieux lui demanda: "Quelles sont les larmes qui t’ont fait le plus de mal ?" -encore avec un demi-sourire malicieux la dame répondit- "Ce sont les larmes les plus précieuses".. -Les plus précieuses ? -dit l’ange- Oui ! répondit la dame, Oui! justement ce sont celle de mon secret... -l’ange la regarda avec curiosité- la dame sourit et avec émotion dit:

"Ce sont celles quand ils me jugeaient, quand pleuvaient des reproches, qui sont les plus précieuses...

Mais je ne comprends pas pourquoi ce sont elles les plus précieuses, si elles sont les plus douloureuses ? -répéta l'ange-
La dame répondit avec douceur :
"Quand ils me critiquaient, je ne pleurais pas pour cela, mais parce que, à ce moment là, je lisais dans leurs yeux tant de souffrances et c’était cette souffrance en eux qui me faisait le plus mal, car mon amour si fort soit il, ne pourra leur redonner le vrai bonheur qu’ils attendent de moi, car je ne sais pas comment m'y prendre, et comment faire pour revenir en arrière pour changer toutes mes fautes et mes maladresses... eux au moins je les vois et je peux écouter leur voix, pendant que..."  -la dame s'arrêta...

Puis l’ange essuya le visage de la vieille dame et lui demanda encore: 
"Et les larmes de joies ?" La dame lui sourit et lui dit:

"Petit ange cette demande tu dois la faire à Dieu, car c'est le seul savoir".

L’ange retourna heureux devant Dieu avec la curiosité de savoir le secret des larmes de joies, avec calme il dit: "Mon Dieu, je sais que tu m’aimes, mais je voudrais comprendre pourquoi tu as fait en sorte que la vielle dame ne me voit que maintenant ?"

-Dieu répondit-: "Viens dans mes bras petit ange… et enfin, tu sauras la vérité", et -Dieu commença-:

"Tu vois mon petit ange bien aimé! Bientôt ta mission finira, car la vieille dame sera ici avec nous et ceci elle l’a déjà compris, son grand secret de ses larmes de joies c’était toi"
-Moi ? demanda l’ange- 

Oui! exactement toi!  Elle t’a reconnu le premier jour où je t’ai envoyé auprès d’elle, et dans les moments de maladies, de tristesse, quand on la jugeait, que les reproches lui faisaient très mal, c’était toi qui lui donnais tant de force, car elle savait que tu étais là pour elle.

 Je sais Dieu la vieille dame me l’a dit mais comment est-ce possible ?

-Dieu le serra fort contre lui et lui dit- :

"Petite ange cette vieille dame c’est la deuxième fois qu'elle te voit car c’est ta maman, elle ne t’a pas oublié, elle sentait ta présence car je l’ai voulu ainsi, et ses dernières larmes sont un mélange de joie et de tristesse, de joie car enfin elle pourra te serrer dans ses bras et de tristesse car elle devra quitter ta sœur et tes frères, et celui qu'elle aime tant"



L'ange se serra fort contre Dieu et lui demanda :

"Dieu je  voudrais rester encore sur terre et être là quand elle fermera ses yeux."



de (Lina Randazzo)
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 Un piccolo Angelo sulla terra

Un giorno Dio mandò sulla terra un angelo da una signora che passava buona parta delle sue giornate sola. Dio disse a l'angelo di sorvegliarla e proteggerla
L'angelo tutto fiero della sua prima missione ringraziò Dio e con fervore andò dalla signora da proteggere...
Per non dimenticare niente il piccolo angelo scriveva tutti i gesti strani che faceva la signora al quotidiano, passarono così i mesi e gli anni... la signora diventata ormai anziana, continuava a ripetere sempre lo stesso rituale gesto.
Poi come sempre l'angelo tornava davanti a Dio per raccontargli gli strani ripetuti episodi, che lui non capiva, ma lo rendeva sempre più triste.
Dio con calma lo invitava a raccontare con serenità il suo racconto.

L'angelo cominciò :
Dio non comprendo, tutti i giorni la vecchia signora anche quando è sola con discrezione apre un piccolo scrigno e pian piano nei suoi occhi le lacrime appaiono, che poi cadono nello scrigno, poi lo richiude  e lo nasconde tutto in fondo ad un altro più grande, e soprattutto dopo ogni visita dei suoi figli...
Dio fu commosso  della tristezza dell'angelo e gli disse:
"Vedi piccolo angelo è molto strano ciò che mi racconti" -l'angelo continuò -... e guando lei è sola il suo comportamento è ancora più strano, lei si sposta in casa con molto fatica deve sedersi spesso per andare da un posto a l'altro, io la vedo piangere e queste lacrime, non li conserva nel suo piccolo scrigno...-l'angelo si ferma come per riflettere un pò -…
Dio ascoltava il suo racconto con tenerezza senza dire una parola.. poi il piccolo angelo continuò il suo racconto..
"Dio non comprendo... quando i suoi figli son là, lei non piange, al contrario è felice come una bambina, si sposta con sicurezza, anche se so ben che soffre in silenzio,  perché allora piange dopo quando è sola nel suo piccolo scrigno?

Allora Dio gli sorrise e lo mandò ancora sulla terra dicendogli:
"Piccolo Angelo mio, osserva bene questa anziana signora,  soprattutto quando è sola, e poi quando riceve i suoi figli e forse avrai la risposta alle tue domande".
L'angelo tutto fiero ritornò dalla vecchia signora e questa volta, restò notte e giorno vicino lei per non perdere una sola briciola, ed ancora una volta la dama apriva il suo piccolo scrigno ed ancora una volta le sue lacrime cadevano dentro.

Di ritorno al paradiso l'angelo raccontò con emozione a Dio le giornate di solitudine della signora, ma non piangeva quando apriva il piccolo scrigno, lo stringeva forte nel suo cuore, poi con impazienza aspettava dietro la sua finestra la visita dei suoi figli..
Dio chiese a l'angelo:  "Hai compreso perché piange la signora?"  L'angelo con tristezza rispose:
"Dio non ho ancora capito, tutti i giorni lei è sola e triste, aspetta dietro la sua finestra una visita d’uno dei suoi figli, e lei è così felice quando sono là, ma!...-ed all'improvviso
l’angelo si fermò, divenne ancora più triste la sua voce era più frammentata -
Dio con una carezza l'invitò a continuare il suo racconto.. e l'angelo continuò:

"Quando i suoi figli sono là, la vecchia signora prepara un buono pasto, è così stanca ma con un grand sorriso continua... - poi l'angelo sorride - ma è così maldestra che metta dovunque del cibo, le sue mani sono incapace di tener bene le sue grosse marmitte ed allora li appoggia sul suo ventre per meglio  sostenerli - l'angelo ride scherzoso - e poi tutti i suoi vestiti sono così sporchi a renderla come una piccola barbona, ma lei è fiera di esserci riuscita a fare ancora una volta il pasto per tutti quelli che ama, e poi con gioia ringrazia a te Dio, si ti ringrazia per averla aiutata a finire il pasto, chiede sempre il tuo aiuto"..  Dio gli rispose:
 "Questo lo so già" ed è per ciò che ti ho confidato questa missione un pò delicata... Bene!! e poi piccolo angelo raccontami il seguito...

L'angelo continuò a raccontare tutto ciò che aveva visto.. Poi con una piccola voce disse:
"Dio ma non ho ancora compreso, perché non piange quando un figlio le parla così duramente? perché continua sempre ad aspettarli dietro la sua finestra pur sapendo che riceverà che rinfacciate?
Dio gli sorride ed accarezzandoli i suoi bei capelli biondi  gli disse: 
"Semplicemente perché, nel suo cuore c'è tanto amore per ciascuno di loro, lei sa che l'amore resterà per sempre, mentre le incomprensioni e le cattive riflessioni spariscono lontano, molto lontano"… -L'angelo chiese ancora-: "Mio Dio perché quando apre lo scrigno  piange?  -Dio con un sorriso gli fece una carezza e gli disse:

"Va piccolo angelo! ritorna ancora dalla signora, e quando lei aprirà il suo piccolo scrigno e le lacrime cominciano a scendere, tu, li asciugherai dolcemente e lei allora ti vedrà per la seconda volta...  "La seconda volta?" -disse pian piano l'angelo guardandolo meravigliato - Dio non gli rispose, e continuò...
"Tu le dirai che sei il suo angelo custode inviato da me, dille anche che ascolto sempre le sue preghiere, e che, da quando l'ho messa sulla terra l’ho sempre  protetta ed io continuerò a farlo fino alla fine.  Ma prima che tu torni dalla signora dimmi  perché la sua storia ti metta tanta tristezza, di tanto più che tu la proteggi già da ben più di 42ans?
L'angelo con tristezza guardò Dio e rispose:
"Dio! anch’io avrei tanto desiderato avere una mamma, e poco  importa la sua bellezza, il suo modo di vestirsi, il suo colore di pelle, la sua ricchezza o la sua povertà, avrei voluto solamente rannicchiarmi sulle sue ginocchia ed avrei voluto sentire il mio cuore battere con il suo...- il piccolo angelo spinse un breve sospiro -... e poi io l'aiuterei quando fa fatica a camminare ed a respirare, perché camminerà appoggiandosi a me et respirerà con l'amore che io gli darò.
Dio gli sorrise ancora, poi con tenerezza accarezzò il suo piccolo viso asciugando la sua lacrima.

Tornato dalla signora l'angelo fece ciò che Dio le aveva detto, quando la vecchia signora si mise a piangere asciugò le sue lacrime.. - e lei sorrise subito quando davanti ai suoi occhi l'angelo apparse - L'angelo le chiese il perché, e lei rispose:
"Lo so che sei il mio angelo, lo so che Dio mi ama e che vicino me c'è un angelo per guidarmi e consigliarmi, un piccolo angelo speciale che per me, e tutte la sere mi addormentavo felice perché sapevo che eri là, ed eri là anche al mio risveglio" -l'angelo non comprende, ma le sorrise con tanta dolcezza e guardandola le disse:

"Dimmi cosa contiene quello scrigno che apri e poi piangi? e  poi lo nascondi cosi bene da sguardi d’altrui?"
La signora gli rispose: "Son tutte le mie lacrime di gioie e di dolori, le lacrime di dolori son quando un figlio era malato, quando aveva pena, e d’altri quando li punivo"... poi l'angelo gli chiese ancora :  
"Ma quando un figlio ti giudicava ti rinfacciava episodi passati non piangevi, perché?" -la signora non rispose, ma con un piccolo sorriso disse: "Questo piccolo angelo mio, è il mio piccolo segreto".
Poi l'angelo sempre più curioso le chiese:  "Quale sono le lacrime che ti hanno fatto più di male?" -ed ancora con un mezzo-sorriso malizioso la signora rispose, "Sono le lacrime più preziose". -Le più preziose? chiese l'angelo - Si rispose la signora.. Sì! son proprio quelle del mio segreto... -l'angelo la guardò con curiosità, la dame sorrise ancora e con emozione disse:
"Sono quelle quando mi giudicavano, quando piovevano i rinfacci che sono le più preziose"...

Ma non capisco perché son esse le più preziose, se sono le più dolorose? -ripeté l'angelo -
La signora rispose con dolcezza:
"Quando mi criticavano non piangevo per ciò, ma perché, in quel momento là, leggevo nei loro occhi tante sofferenze ed era quella sofferenza in loro che mi faceva più male, perché il mio amore così forte lui fosse, non potrà restituire la vera felicità che essi s'aspettano da me, perché non so come prendermi, e come fare per ritornare indietro per cambiare tutti i miei errori e le mie maldestre...loro  perlomeno io li vedo ed  posso ascoltare la loro voce, mentre..." -la signora si fermò...-

L'angelo asciugò il viso della vecchia signora e le chiese ancora:
"E le lacrime di gioie?"  La signora gli sorrise e disse: "Piccolo angelo questa domanda,la devi chiederla a Dio, Lui è il solo a saperlo.

L'angelo ritornò felice davanti a Dio con la curiosità di sapere il segreto delle lacrime di gioie, con calma disse:
"Dio mio, so che tu mi ami, ma vorrei comprendere perché hai fatto in modo che la vecchia signora mi vedesse che adesso?"
Dio rispose:
"Vieni nelle mie braccia piccolo angelo, ed infine saprai la verità, e Dio cominciò :

- Vedi piccolo angelo! presto la tua missione finirà, perché la vecchia signora sarà qui con noi e ciò lei l’ha già capito, il suo grande segreto delle sue lacrime di gioie eri tu, - Io? chiese l'angelo -. Sì! proprio tu! Lei ti ha riconosciuto dal primo giorno che ti ho mandato vicino a lei, e nei momenti di malattia, di tristezza, quando la giudicavano, dei rinfacci che le facevano molto male, eri tu che gli davi tanta forza, perchè lei sapeva che tu eri là per lei.
Lo so Dio, la vecchia signora ciò me l'ha detto, ma come possibile questo?
Dio lo stringe forte contro se e gli disse:
"Piccolo angelo questa vecchia signora è la seconda volta che ti vede perché è la tua mamma, lei non ti ha mai dimenticato, sentiva la tua presenza perché l'ho voluto che sia così, e le sue ultimi lacrime sono un intreccio di gioie e di tristezze, di gioie perché infine potrà stringerti tra le sue braccia ed di tristezze perchè dovrà lasciare là giù tua sorella i tuoi fratelli e colui che ama tanto"

L’angelo si strinse forte a Dio e gli chiese :
"Dio!  vorrei restare ancora su terra ed essere là quando lei chiuderà i suoi occhi."
de (Lina Randazzo)
Copyright © 2012
 ...♥

22/01/2015

♥ ~ Le premier Marché dans un petit-petit village...(Lina R.) ♥ ✔



Il y a longtemps j'ai écrit cette petite histoire qui dormait tout au fond d'un tiroir, aujourd'hui avec plaisir je lui donne une nouvelle jeunesse en la partageant avec vous...

"BONNE LECTURE"

Le premier Marché dans un petit-petit village...

Dans un petit village loin des grandes villes, à  la fin de l’hiver s’installa pour la première fois un grand marché, donnant du charme supplémentaire à ce petit village, et une grande joie à tous ses habitants.

Pour fêter cet événement la commune organisa une fête invitant des personnalités connues.

Bien sûr la presse et les photographes des grandes villes ne voulurent pas manquer cette manifestation et ce si grand événement, bien vite le petite village fut envahit de relais radio, de journalistes, de photographes, qui ne voulaient pas perdre l'opportunité si rare de ce qui arrivait dans un tout petit village, et aussi pour avoir l'occasion d'interviewer et photographier les personnalités célèbres qui sont invitées... etc … etc….


Bien vite le marché fut peuplé par la curiosité, et pour rencontrer les personnalités qui étaient invitées, ou pour voir ce que ces nouveaux commençants avaient dans leur stands.

Dans ce marché bien ordonné et convivial on y trouva de tout, surtout le sourire, la joie, et la courtoisie, on y trouva des artisans, des fermiers, ainsi que du prêt-à-porter des autres grandes villes, et tant d’autres choses.

Assis derrière leurs stands avec sourire, des artisans construisaient avec agilité leurs objets sous le regard d’une foule émerveillée.

Dans une autre rue pas loin une foule s'entassa dans un des plus pauvres stands du marché, où il y avait des petits objets faits main, c’est la plus jeune commerçante de tout le marché qui le gérait,..

Derrière son petit emplacement la jeune commerçante avec un frais et cordial sourire répondait et expliquait avec émotion le travail de ces petits objets, quand on lui demandait d'où ils provenaient, en leur racontant le sacrifice de sa maman pour les produire parce que, elle est mal voyante et sourde, survenu après un accident dans la rue, causé par un automobiliste imprudent et ivre en tuant aussi son père, malgré cela elle n’avait guère de haine, elle avait toujours un bon moral, le sourire et une grande joie de vivre. La jeune commerçante ajouta aussi que, grâce à elle, elle avait appris le respect et à ne pas haïr et que sa maman était son exemple, elle lui donnait toujours la force d'avancer sans haine dans leur pauvreté et aussi dans les adversités de la vie…

Dans l'après-midi les invités de grand notoriété arrivèrent en retard avec tout leur luxe ; voitures sportives, habits confectionnés par un grand couturier de Paris, bijoux, etc etc... pendant que leurs gardes du corps libéraient le chemin de la foule qui tentaient de les voir.

Tous étaient si fiers de voir tant d’affluence sur le marché peut-être pour les admirer, ils étaient fiers d'apparaître, ils se pavanaient dans les rues du marché entourées par leurs gardes et deux ou trois force de l'ordre.

Ils étaient fiers en pensant ce qu'ils liront sur les journaux le jour d’après, ils savaient déjà la grande campagne de publicité que la presse lanceront pour eux .
Le lendemain la presse locale et les villes voisines parlaient avec enthousiasme de ce nouveau marché, de ses commerçants et de leur travail, et peu des personnalités, et c’est ce que les fit réagir... Avec indignation ils allèrent voir la presse pour demander les explications de cette humiliation et affront.

Le responsable d’un grand journal avec calme et simplicité leur répondit :

"Aujourd’hui le peuple aime les choses rares, et qui apporte le bon exemple d’espoir, de paix, les choses qui sont dans leurs simplicité, ils apprécient tout ce que vient du cœur, et c’est cela, que nous avons donné dans nos articles pour le publique".

de (Lina Randazzo)
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Molto tempo fa scrissi questa piccola storia che dormiva tutto in fondo ad un cassetto, oggi con piacere le do una nuova gioventù nel condividerla con voi...

"BUONA LETTURA"

Il primo Mercato in un piccolissimo paesino...

In un piccolissimo paesino lontano dalle grande città la fine dell'inverno per la prima volta si installa un grande mercato, portando del fascino in più a questo piccolo villaggio, ed una grande gioia a tutti gli abitanti.

Per festeggiare questo avvenimento il comune organizza una festa nel piccolo villaggio, invitando delle personalità conosciute.

Naturalmente la stampa e dei fotografi delle grande città non vogliono mancare questo andamento di questa manifestazione così grandiosa, ben rapidamente il piccolo villaggio fu invaso da staffette dalla radio, dai giornalisti e fotografi, per non perdere l'opportunità così rara di ciò che avviene in un piccolo villaggio ed anche per avere l’occasione di intervistare e fotografare le personalità famosi,,,,eccetera,,, etc...


Ben presto il mercato fu popolato dalla curiosità, e per incontrare le personalità che erano invitati, o per vedere ciò che questi nuovi commercianti avevano nei lori stand nel loro piccolo villaggio.

In questo mercato molto ordinato e conviviale si ci trova di tutto, soprattutto il sorriso, la gioia, e la cortesia, si ci trova gli artigiani, dei contadini, ed anche il prêt-à-porter delle altre grande città, e tante altre cose.

Seduti dietro i loro stand alcuni artigiani con sorriso, ed abilità costruiscono i lori oggetti davanti agli sguardi di una folla meravigliata.

In un'altra via non lontano una folla si ammucchia in uno dei più poveri stand del mercato dove ci sono dei piccoli oggetti fatti a mano, a gestirlo è la più giovane commerciante di tutto il mercato..

Dietro la sua piccola area la giovane commerciante con un fresco e cordiale sorriso, risponde et spiega con emozione del lavoro di questi piccoli oggetti, quando le chiedono di dove provengono.. Raccontando loro del sacrificio di sua mamma per fabbricarli perché è male vedente e sorda, sopraggiunto dopo un incidente nella strada causato da un automobilista imprudente ubriaco, uccidendo anche suo padre e malgrado questo non ha odio, ha sempre un buono morale il sorriso ed una grande gioia di vivere.

La giovane commerciante aggiunge anche che, grazie a lei, ha imparato il rispetto e di non odiare, e che sua mamma è il suo esempio le dà sempre la forza di avanzare senza odio nella loro povertà e anche nelle avversità della vita.

Nel pomeriggio gli invitati di grande notorietà arrivarono in ritardo con tutto il loro lusso ; automobili sportive, abiti preparati da un grande sarto di Parigi, e gioielli, etc...eccetera... mentre le loro guardie di corpo liberavano la strada della folla che tentava di vederli.

Tutti erano così fieri di vedere tanta affluenza sul mercato forse per ammirarli, erano fieri di apparire, si pavoneggiavano sulle vie del mercato cinte dalle loro guardie e due o tre forza dell'ordine.


Il giorno dopo nella stampa locale e nelle città vicine parlano con entusiasmo di questo mercato, dei suoi commercianti e del loro lavoro e non un gran-che sulle personalità, ed è ciò che li fanno reagire, con indignazione vanno a vedere la stampa per chiedere loro della spiegazione di questa umiliazione e affondo.

Il responsabile di un grande giornale con calma et semplicità rispose loro:

"Oggi il popolo ama le cose rare, e che possano portare buon esempio di speranza, di pace, le cose che sono nelle loro semplicità, ed apprezzano tutti ciò che viene dal cuore, ed è ciò che abbiamo dato nei nostri articoli per il pubblico".

(Lina Randazzo)
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