07/09/2014

• 2/2 Histoire attendrissant d'un témoignage d’une dame âgée... "le regard des autres"... (2è partie) ✔

                                                                                              "photo de moi qui écris la lettre"

Après sa sortie journalières au supermarché du petit village une vieille dame se pressa à écrire à ses enfants une lettre pour les remercier en lurs avouant "au passage" des petites révélations du passé ou pour leur rappeler quelques valeurs de la vie qui se perdent...  
C'est un petit message attendrissant qui donne de l’espoir ou  peut-être pour bien réfléchir un peu.

~ Cher enfant 
C'est avec ma main tremblante, les yeux humides et avec mon accent d'étrangère qui te fais tant rire que je t'écris ces quelque mots...

Mon enfant chéri enseigne-moi à ne pas pleurer et à admirer les belles choses de la nouvelle technologie sans perdre patience.  
Apprends à te préparer à mon long voyage, et vois avec mes yeux la beauté qui est dans ton  cœur quand vous êtes tous réunis dans une atmosphère de paix, admire avec mes yeux ce grand bonheur quand vous êtes complices dans les moments de joies et solidaires dans les moments difficiles.
Rappelle-toi que, je ne vous ai jamais menti quand je vous disais qu'un zèbre pouvait voler, quand je vous racontais qu'une biche dormait si vous étiez tristes de sa mort, et qu'un rêve on pouvait le réaliser, il suffisait d’y croire seulement.

Je ne vous ai jamais menti quand je faisais semblant de chercher une lettre que votre père vous avait envoyée, et que en réalité elle n'était jamais arrivée... Non je n’ai pas mentis quand je vous disais que votre père vous avait téléphoné pendant que vous étiez à l'école, en faisant semblant d'avoir oublié ce qu'il m'avait dit de vous dire, vous étiez en colère envers moi mais heureux de savoir qu'il vous cherchait, en réalité le téléphone restait toujours muet...
Ce n’était pas des mensonges quand je cachais mes larmes "pour vous avoir menti" en vous disant que c'étaient les oignons qui me faisaient pleurer...

Non ce n'étaient pas des mensonges mais seulement de l’amour, je voulais vous protéger à ma façon de la réalité du monde qui nous entourait, «chaque chose en son temps» je me disais.

Dans mon cœur je savais que, en grandissant vous auriez compris le vrai fonctionnement du monde comme j'ai dû apprendre moi aussi avec vous, vous étiez mes plus efficaces enseignants à m’apprendre les ficelles de la vie, les métiers les plus improbables, «infirmière, psy, docteur, comment gérer un budget, et même la dureté d’un camionneur, et «pour cela je ne vous ai pas assez remercié»  mais dans ces moments là, pour moi, il était plus important de vous laisser vivre votre vie d'enfants sans peurs, et sans soucis, à quoi bon aurait servi de vous accabler par les problèmes et les difficultés d'un adulte..

Je savais déjà que serait arrivé aussi pour vous le temps des inquiétudes, et que vous aussi aurez une famille, et aujourd'hui toutes les choses même si petites qu’elle soient que je vous ai apprises, vous les transmettrez à vos enfants, rappelez-vous toujours de leur enseigner à aimer, à pardonner, à respecter...

Vous aussi vous raconterez des histoires à dormir debout pour leur faire manger les épinards qu,ils haïssent tant, leur faire croire aussi qu,ils dégustent une bonne boulette de viande alors qu'en réalité il s'agit d'une boulette de tomates et aubergines.

Vous aussi vous direz beaucoup de mensonges quand ils vous demanderont une nouvelle technologie et vous ne pouvez pas la lui offrir parce qu'il vous restent les dernières économies pour leur acheter le lait ou payer le loyer  même si vous savez qui ce n'est pas beau de le raconter des mensonges.

Tu vois mon fils? tu n'a pas le choix, tu es obligé de mentir à ton tour, pour ne pas les décevoir pour continuer à voir leur petits yeux heureux quand ils te regardent avec confiance et que tu ne les décevras pas.

Alors tu entres dans une guerre à l'intérieur de toi même, une voix te dit de leur dire la vérité que cela les prépare dans la vie active,,,,  mais comment leur dire qui n-y a pas d’argent? Tu ne travailles pas, tout dépend que de toi, tu n'as aucune famille pour te venir en aide,,,  mais tu ne veux pas les décevoir eux savent que tu es leur héroïne celle qui travaille quand ils sont à l'école, tu ne peux pas leur dire que tu es tombée malade...tu ne veux pas qu’ils comprennent si petits ce qu'est la vraie vie...

Tu es contrainte de mentir tu ne veux pas décevoir leur joie de croire encore à Père Noël, croie-moi ils auront tout le temps pour comprendre la vraie vie, laisse-les encore rêver, ils auront leur temps de  responsabilités, laisse-les vivre leur vie insouciante,,,

Mon enfant pour le moment je te demande seulement de rester à mes côtés, d'essuyer mes larmes de joies de vous voir tous ensemble, d'accepter mes douleurs de vieillesse, de m’épauler quand les rêves ne frapperont plus à ma porte, mais surtout aie confiance en toi même, même quand le doute t’aveugle, quand les autres te trahissent, ne cache pas tes larmes de douleur quand je ne me rappellerai plus ton visage, ou qui tu es...dans ce moment là, il te suffit de prendre ma main entre les tiennes et je saurai qui tu es, sache que tout au fond de mon cœur tu seras toujours une partie de moi, une larme cachée, et que je t’ai tant aimé même dans tes reproches….

Mon fils ne pense pas que je suis sénile, n'ai pas peur de regarder mes rides et ma chevelure argentée, n'ai pas honte de moi si ma parole  n'est pas éloquente, ne détourne pas ton regarde si ma main ne trouve pas la bouche et brode mes habits de nourriture, ne perds pas patience quand tes mots n'arrivent pas à mes oreilles et que je te répète "qu’as tu dis?"

Ne me regarde pas toi aussi comme un bête de cirque, de toi ça me ferait tant souffrir, laisse-les aux autres toutes ces idées reçues de vieille sans cervelle, tu me connais, tu sais qui je suis, regardes-moi avec tes yeux d'enfant quant tu me disais "je t'aime maman ton petit Zorro"  et accompagne moi avec ton amour dans mes derniers jours...

Mon fils ma fille je t'aime Maman ♥
"Lina Randazzo"
Copyright ©    


   "Photo avec des droits d'auteur"

  In  ITALIANO
Dopo la sua  uscita giornaliere al supermercato del piccolo villaggio una signora anziana si affrettò a scrivere ai suoi figli una lettera per ringraziarli confessandole "al passaggio" delle piccole rivelazioni del passato, o per ricordare loro alcuni  valori della vita che si perdono…  è un piccolo messaggio commovente che da speranza o forse per ben riflettere un pò.

~ Caro figlio mio

È con la mano tremando, gli occhi umidi e con il mio accento straniero che ti fa tanto ridere che ti scrivo queste  parole....

Figlio mio insegnami a non piangere ed ad ammirare le belle cose della nuova tecnologia senza perdere pazienza.
Impara a prepararti del mio lungo viaggio, e vedi con i miei occhi la bellezza che è nel tuo cuore quando voi siete tutti riuniti in una atmosfera di pace, ammira con i miei occhi questa grande felicità quando voi siete complici nei momenti di gioie, e solidali nei momenti difficili.

Ricordati che, io non vi ho mai mentito quando vi dicevo che una zebra potesse volare, quando vi raccontavo che una cerva dormiva se voi eravate triste della sua morte, e che un sogno si poteva realizzare bastava solamente crederci.

Non vi ho mai mentito quando facevo finta di cercare una lettera inviatavi da vostro padre che in realtà non era mai arrivata...No non ho mentito quando vi dicevo che tuo padre vi aveva telefonato mentre voi eravate a scuola, facendo finta di aver dimenticato ciò che mi aveva detto di dirvi, voi eravate arrabbiati verso me, ma felici di sapere che vi cercava, in realtà il telefono restava sempre muto...
No, non errano bugie quando nascondevo le mie lacrime  "per avervi mentito" dicendovi che erano le cipolle che mi facevano piangere.

No non erano bugie ma solamente amore, a modo mio volevo proteggervi della realtà del mondo che ci circondava, "ad ogni cosa al suo tempo"  mi dicevo.

Nel cuor mio sapevo che da grandi avreste capito il vero funzionamento del mondo come ho dovuto imparare anch'io con voi, voi eravate i miei più efficaci insegnanti ad impararmi le vere funicelle della vita, ed i mestieri più improbabili, "infermiera, psicologo, dottore, come gestire un bilancio, ed anche la durezza di un camionista, e "per tutto ciò non vi ho abbastanza ringraziato" ma in quei momenti per me era più importante lasciarvi vivere la vostra vita di bambini senza paure, e senza preoccupazioni, a che buon sarebbe servito affliggervi anche a voi dei problemi e le difficoltà d'un adulto..

Sapevo già che sarebbe arrivato anche per voi il tempo delle inquietudini, e che avrete anche una famiglia, ed oggi tutte le cose che vi ho insegnato anche nel suo piccolo che essi siano, li trasmetterete ai vostri figli, ricordatevi sempre ad insegnargli ad amare, perdonare, rispettare..

Anche voi racconterete storielle a dormire in piedi per fargli mangiare gli spinaci che odiano tanto, fargli anche credere che, degustano una buona polpettina di carne che in realtà non è altro che una polpettina di pomodori e melanzane.

Anche voi direte tante menzogne quando vi chiederanno una nuova tecnologia e non potette offrirgliela perché vi restano le ultime economie per acquistargli il latte o pagare l’affitto.

Vedi figlio mio? non hai scelta, sei obbligato a mentire al tuo turno, per non deluderli per continuare a vedere i loro piccoli occhi felici quando ti guardano con fiducia e che non li deluderai.

Allora entri in una guerra dentro di te stesso, una voce ti detta di dir loro la verità che ciò li prepara nella vita attiva... ma come dirgli che non c’è denaro? non lavori, tutto dipende che da te, non hai nessun famiglia per venirti in aiuto, ma non vuoi deluderli, essi sanno che sei la loro eroina quella che lavora quando sono a scuola, non puoi dirgli che sei ammalata… tu vuoi che comprenderanno da piccoli ciò che è la vera vita...

Sei costretta di mentire non vuoi deludere la loro gioia di credere ancora a Babbo Natale, credimi avranno tutto il tempo per capire la vera vita, lasciali ancora sognare, avranno tempo alle responsabilità, lasciali vivere la loro vita spensierata,,,

Figlio mio per il momento ti chiedo solamente di restami vicino, di asciugare le mie lacrime di gioia nel vedervi tutti insieme, di accettare i miei dolori di vecchiaia,  di sostenermi quando i sogni non busseranno più alla mia porta, ma  sopratutto abbi fiduccia in te steso anche quando il dubbio ti accieca, quando gli altri ti tradiscono, non nascondere le tue lacrime di dolore quando non mi ricorderò più il tuo viso o chi sei in quel momento là, ti basta di prendere la mia mano tra le tue mani e saprò chi sei, sappi che infondo del mio cuore sarai sempre una parte di me, una lacrima nascosta, e che ti ho tanto amato anche nei tuoi rimproveri…

Mio figlio non pensare che sono senile, non avere  paura di guardare le mie rughe e la mia chioma argentata, non avere vergogna di me si la mia favella non è eloquente, non deviare il tuo guardo se la mia mano non trova la bocca e ricama i mie vestiti di cibo, non perdere la tua pazienza quando le tue parole le mie orecchie non li sentono più e ti ripeto "che cosa hai detto?"

Non guardarmi anche tu come una bestia da circo, di te mi farà molto soffrire, lasciali agli altri tutte queste idee ricevute di vecchia senza cervello, tu mi conosci, tu sai chi sono, guardami con i tuoi occhi di bambino quanto tu mi dicevi "ti amo mamma il tuo piccolo Zorro"  e accompagnami con il tuo amore nei miei ultimi giorni...

Figlio mio Figlia mia ti voglio bene Mamma ♥

"Lina Randazzo"
 Copyright © 

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