LES OISEAUX DU CIEL
Parfois ma pensée regarde au loin
elle va vers mon village
où les terres vertes s'étendent à l’infini.
Les arbres majestueux ornent le ciel bleu.
Des nids pleins capturent
mon regard d’enfant,
Une maman oiseau capture un
insecte pour nourrir son petit affamé.
Le vent léger court sur le blé doré.
Il suffisait du chant caché
d'un rossignol pour me
faire sourire à la vie.
Le silence assourdissant de
la vaste plaine me réveille
en chant solitaire,
comme un écho qui déplore...
Toi aussi moineau, tu chantes
ta plainte dans un hymne solitaire
à la maman qui n’est plus,
à un ami tué par le chasseur.
Ma pensée lointaine s’évanouit
au sourd pan-pan! d'un fusil…
Restent les larmes amères
pour irriguer mon visage.
Toi chasseur admire ces oiseaux
leurs plumes des mille couleurs
jouant dans le ciel, je voudrais donc t'implorer,
laisse-les chanter en liberté.
Une de tes fillettes peut-être
est en train d'admirer cette
branche en fleur qui brode le ciel.
Elle écoute le bref chant du moineau,
et les grelottants couic-couic de
chaudes nichées puis…
Elle s'endort enchantée entre les
gazouillis, le chant du moineau,
et un de tes regards heureux.
Dans ses yeux fermés dansent les
moineaux de mille couleurs…
Et il germe en chaque cœur, la fleur de l'espoir.
"Lina Randazzo"
Copyright © 2012. All Rights Reserved
http://www.youtube.com/watch?v=ZjhqWc3sXLg musica di E. Morricone
GLI UCELLI DEL CIELO
Il mio pensiero guarda talvolta in lontananza
va verso il mio villaggio
dove terre verdi si distendono all'infinito.
Alberi maestosi ornano il cielo blu.
Dei nidi pieni catturano
il mio sguardo di bambina,
Un mamma uccello cattura un
insetto per nutrire il suo piccolo affamato.
Vento leggero corre sul grano dorato.
Bastava un canto nascosto
di un usignolo per farmi sorridere alla vita.
Il silenzio assordante della
vasta pianura mi sveglia
in canto solitario,
come un'eco che deplora...
Ache tu passero, canti
il tuo lamento in un inno solitario
alla mamma che non è più,
ad un amico ucciso dal cacciatore.
Il mio pensiero lontano svaisce
al sordo ta-pùm! di un fucile
Restano lacrime amare per
irrigare il mio viso.
Tu cacciatore ammira questi uccelli
le loro piume di mille colori
giocando nel cielo, vorrei dunque
implorarti, lascili cantare in libertà.
Una delle tue bambine forse
sta ad ammirare quel
ramo in fiore che ricama il cielo.
Ascolta il breve canto del passero,
ed i tremanti cip-cip di
caldi nidiate pui…
Si addormenta lietissima tra i
pigolii, il canto del passero, ed
uno dei tuoi sguardi felici.
Nei suoi occhi chiusi danzano i
passeri di mille colori… E
germoglia in ogni cuore, il fiore della speranza.
« Lina Randazzo »
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https://youtu.be/BZcgiJ2jK1s
VOICI LE TEXTE EN FRANÇAIS DE CE CLIP de "A. CELENTANO"
Le dernier des oiseaux
Dit l'oiseau aux chasseurs que déjà il épier le fusil sur lui :
"avant que tu tires il y a une chose que je dois te dire :
je suis l'unique resté dans le monde entier de ton horrible extermination,
si tu me tues aussi tu n'auras pas de salut :
de tous les hommes vite viendra la fin,
parce que tu cruellement as déferlé l'équilibre de la nature,
toi que toujours tu prêche l'amour et la liberté de chaque homme tu as tué le symbole de la liberté,
tu as détruit l'unique défense des plantes.
Mais maintenant que le ciel et désert,
le commencement d'un massacre est sur vous:
les insectes déjà préparent une guerre,
pour détruire le vert sur la terre,
il n y aura plus d'oxygène dans l’air et vous étouffez doucement, doucement, donc tu as seulement une mode pour te sauver: laisse-moi libre d'aller par le monde,
en espérant dans un miracle seulement:
que je trouve une compagne sauve,
de sorte que revienne ma race comme il a été écrit dans la nature.
Mais maintenant que le fusil tu as abaissé,
une chose encore je dois te dire:
cette faveur je ne te la ferait pas;
tu veux m'épargner seulement parce que tu as peur,
peur de mourir.
Je ne permettrai pas que des nouvelles ailes naissent encore pour être une cruelle cible des chasseurs,
même si tu ne me tueras pas,
j’attenterai la morte qui me prend.
Celle-ci et ma vengeance…
une chose encore je dois te dire:
cette faveur je ne te la ferait pas;
tu veux m'épargner seulement parce que tu as peur,
peur de mourir.
Je ne permettrai pas que des nouvelles ailes naissent encore pour être une cruelle cible des chasseurs,
même si tu ne me tueras pas,
j’attenterai la morte qui me prend.
Celle-ci et ma vengeance…
Celle-ci et ma vengeance…
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