12/02/2012

AVEUGLES, SOURDS ET MUETS

 

AVEUGLES, SOURDS ET MUETS

 Il y avait une fois un enfant, il s'appelait Bobby.
Petit et seul il était noir, et il cherchait de chaque manière d'attirer l'attention de son papa, qui s'appelait Senior.
Bobby pensait souvent pouvoir écouter son père lui parler, et en soi-même il raisonnait:
-Oh! Babbino je te prie, dis-moi quelque chose!- Mais le papa se taisait toujours, comme il fût muet, et Bobby croyait dépendît de lui, il se sentait coupable.
Alors Bobby, quand le papa se rapprochait cherchait de mots articulaires:
-Conversons papas Seniors! Disons-nous nos choses et nos pensées!- Cependant papas Seniors semblaient sourds, et il ne restait pas à écouter.
Bobby se sentait plus encore responsable de tel comportement. Il tentait ensuite de se montrer pendant que quelque chose d'important faisait, en bicyclette ou avec son cheval, pour se faire remarquer du papa:
-Regarde-moi papa! Regarde je t’en prie!- Cependant le papa ne le voyait pas, comme s’il fût aveugle, et Bobby se sentait la cause de telle conduite de nouveau de la part du parent.
Puis Bobby grandit, et devint garçon mais le papa Senior continuait à agir au prima:comme semblablement il fût sourd, aveugle, et muet.
À un certain je vise Bobby il connut un chien, de nom Nasturzio.
C'était un vieux braque italien, devenu sourd à cause des fusillée des mauvais chasseurs.
Bobby et Nasturzio devinrent grands amis.
Nasturzio ne pouvait pas entendre, mais quand Bobby l'appelait il réussissait à le comprendre également et il courait vers de lui.
En n'ayant pas l'ouïe, Nasturzio ne pouvait pas aboyer non plus, parce qu'en étant il barrée la possibilité de se sentir savait seul s'exprimer avec des sons désagréables, mais il réussissait à parler avec du Bobby également, en remuant la queue et en le faisant les fêtes.
Nasturzio voyait peu bien aussi, mais quand Bobby descendait les escaliers tout de suite il en s'apercevait, et il galopait aux bonds rencontre à son ami. Nasturzio était sourd, muet et jusque à un peu d'aveugle, pourtant il entendait, il parlait et il voyait.

Il y a un langage spécial, celui de la bonté qui est audible des sourds, voyant des aveugles, et prononçable des muet: ça suffit un peut d’amour !
( Ecris de Roberto Bianchi)

 ~~~♥~~~

 CIECHI, SORDI, E MUTI

 C’era una volta un bambino, si chiamava Bobby.
Era nero, piccolo e solo, e cercava in ogni modo di attirare l’attenzione di suo babbo, che si chiamava Senior.
Bobby pensava spesso di poter ascoltare suo padre parlargli, e dentro di sé ragionava:
-Oh! Babbino, ti prego, dimmi qualcosa!-
Ma il babbo taceva sempre, come fosse muto, e Bobby credeva dipendesse da lui, si sentiva colpevole.
Allora Bobby, quando il babbo si avvicinava cercava di articolare parole:
-Conversiamo babbo Senior! Diciamoci le nostre cose e i nostri pensieri!-
Però babbo Senior pareva sordo, e non lo stava ad ascoltare.
Bobby si sentiva ancor più il responsabile di tale comportamento. Quindi tentava di mostrarsi mentre faceva qualcosa di importante, in bicicletta o con il suo cavallo, per farsi notare dal babbo:
-Guardami babbo! Guardami ti prego!-
Tuttavia il babbo non lo vedeva, come fosse cieco, e di nuovo Bobby si sentiva la causa di tale condotta da parte del genitore.
Bobby poi crebbe, e divenne ragazzo, ma il babbo Senior continuava ad agire similmente a prima:come fosse sordo, cieco, e muto.
A un certo punto Bobby conobbe un cane, di nome Nasturzio.
Era un vecchio bracco italiano , divenuto sordo a causa delle fucilate dei cattivi cacciatori.
Bobby e Nasturzio divennero grandi amici.
Nasturzio non poteva sentire, ma quando Bobby lo chiamava riusciva egualmente a comprenderlo e correva verso di lui.
Non avendo l’udito, Nasturzio, non poteva nemmeno abbaiare, perché essendo lui preclusa la possibilità di sentirsi sapeva solo esprimersi con suoni sgradevoli, però riusciva a parlare egualmente con Bobby, scodinzolando e facendo lui le feste.
Nasturzio vedeva anche poco bene, ma quando Bobby scendeva le scale se ne accorgeva subito, e galoppava a balzi incontro al suo amico. Nasturzio era sordo, muto e persino un poco cieco, eppure sentiva, parlava e vedeva.

C’è un linguaggio speciale, quello della bontà, che è udibile dai sordi, vedibile dai ciechi, e pronunciabile dai muti: basta un po‘ d‘amore!

scritta da Roberto Bianchi degli amici del Forum di Pinu

 

24/01/2012

En toi ◘ In te ✔



EN TOI…

Libre comme un beau cheval sauvage,
fuir sans retour,
courir comme le vent solitaire
arriver à toi vêtue du blanc hiver.
Majestueux élégants et libres,
sur toi, nous prisonniers
posons notre repos.
Toi pays tacite solitaire,
qui ne connais pas la mélancolie,
en toi sans crainte du lendemain
je disperse mes cendres…

(Lina Radazzo.) avril 2010
Copyright © 2012. All Rights Reserved.
~~~~~<>~~~~~~
• DA TE…
Libera come
un bel cavallo selvaggio,
fuggire senza ritorno,
correre come
il vento solitario
giungere a te vestita
di bianco inverno.
Maestosi eleganti e
liberi, su te,
noi prigionieri
poniamo il nostro riposo.
Te paese
tacito solitario
che non conosce
malinconia
in te senza
timore del domani,
disperdo le mie ceneri ...

"Lina Randazzo" aprile 201
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....♥

20/11/2011

À TOI... // A TE...✔



À toi…

Je regarde tout autour de moi
dans le ciel bleu sans nuage
Je te vois dans les feuillages
qui tout doucement tombent des arbres.
Je te vois dans les couleurs des fleurs
qui brillent dans le soleil
Je te vois dans mes pensées.

Alors dans ces moments je ferme les yeux
pour mieux sculpter ton visage dans mon cœur…

Je nous vois, toi et moi serrés l’une contre l’autre
si fort que nous étions une seule personne
nos corps, une unique vie
et pourtant rien de tout çà n'est réel
ce n'est que mon imagination.
Je rêve très souvent que je fais partie de toi et toi de moi,
tu fait partie de moi, je fais partie de toi.

Nous sommes deux et pourtant un,
deux âmes, deux vie, mais un seul cœur …

Nous sommes comme une plante qui a besoin d’eau
et de lumière pour se développer
J’ai besoin de ton amour et de ta gentillesse
J’ai besoin de ton amour pour pouvoir planter
mes racines au plus profond de la terre,
comme ce vieil arbre dans la terre qui le nourrit
et le protège, oui je me nourris de ton affection

J’ai besoin que d’une petite caresse de toi
pour me consoler dans les moments de tristesse…

J’ai tant envie que ta main serre fort la mienne
pour mieux comprendre ma solitude
Envie que tu sois moi, et que je sois toi
pour comprendre le pourquoi de tes silences,
pourquoi l’un sans l’autre plus rien n’existe
comme la nuit sans le jour
les larmes sans le rire.

Envie de tes bras autour de moi et tes main
qui caressent mes cheveux…

Entendre ton cœur battre auprès du mien
et m’enivrer de ton amour et en mourir
puisque c'est par toi que j'existe et sans toi je ne suis rien…
Alors dans ces moments de tristesse, de solitude,
et de grande nostalgie, je ferme les yeux pour mieux
t’imaginer auprès de moi, et graver ton visage dans mon cœur…
oui dans tous ces moments difficiles, je te cherche toi…

toi ma petite Maman .

Lina Randazzo
04 mars 1987
Copyright © 
~ ~ ~ ♥ ~ ~ ~
A te ...

Guardo intorno a me
nel cielo azzurro senza nuvole
ti vedo nel fogliame
che cadono lentamente dagli alberi.
Ti vedo nei colori dei fiori
che brillano al sole
Ti vedo nei miei pensieri.

Allora in quei momenti chiudo gli occhi
per scolpire meglio il tuo viso nel mio cuore ...

Vedo te, tu ed io stretti l'una contro l'altra
così forte che eravamo una sola persona
il nostro corpo è un'unica vita
eppure niente tutto ciò è reale
è la mia immaginazione.
Sogno spesso di far parte di te e tu di me,
tu sei parte di me, io sono parte di te.

Noi siamo due e pertanto uno,
due anime, due vite, ma un sol cuore ...

Siamo come una pianta che ha bisogno di acqua
e luce per svilupparsi
Ho bisogno del tuo amore e gentilezza
ho bisogno del tuo amore per poter radicare
le mie radici in profondità nella terra,
come quel vecchio albero nella terra che lo nutre
e lo protegge, sì mi nutro del tuo affetto

Ho bisogno che una piccola carezza di te
per consolarmi nei momenti di tristezza ...

Desidero tanto che la tua mano stringa la mia 
per capire meglio la mia solitudine 
Voglia che tu sei me, e che io sia te 
per capire  il perché dei tuoi silenzi,
che  l'una senza  l'altra più  nulla esiste 
come la notte  senza il giorno
le lacrime senza il sorriso .
Desidero le tue braccia attorno a me 
e la tua mano che accarezza i miei capelli ... 
Sentire il tuo cuore batterà con il mio 
e  inebriarmi del tuo amore e morirne
poiché è  da te che esisto e senza te non sono nulla ... 
Allora in questi momenti di tristezza, solitudine 
e grande nostalgia, chiudo gli occhi per  meglio
immaginarti vicino a me e incidere il tuo viso nel mio cuore ... 
sì, in tutti questi momenti difficili, io cerco a te ... 
A te mia piccola mamma.
Lina Randazzo
 04 marzo1987
Copyright ©
...♥

16/11/2011

NOUS ÉTIONS LÀ ◘ ERAVAMO LI ✔

• NOUS ÉTIONS LÀ
Nous étions assis là,
et nous pensions à nos rêves
attendant un sourire 
qui n’arrivait pas
On se fixait dans les yeux
nos pensées affrontaient
mille difficultés de ces
personnages venus d’ailleurs.

Tout était imprévisible
improbable,  inacceptable…
Derrière ces pensées se cachait
un sentiment constellé
de rêves affectueux et  heureux.
Le destin de ces deux créatures
n'était pas commun…

étaient assises là, à rêver leur futur.


(Lina Randazzo)
Copyright © 2012
*-*-*~♥~*-*-*
ERAVAMO LÀ
Eravamo seduti là
e pensavamo ai nostri sogni
aspettano un sorriso che
non arrivava.
Fissandoci negli occhi
i nostri pensieri affrontavano
mille difficoltà di quei
personaggi venuti da altrove.

Tutto era imprevedibile
improbabile, inaccettabile…
Dietro quei pensieri si nascondeva
un sentimento costellato di
sogni affettuosi e felici.
Il destino di quelle due creature
non era comuni…
Quei due  anziani persone

Erano sedute là, a sognare il loro futuro.

(Lina Randazzo)
Copyright © 2012
...♥

11/11/2011

MERCI À LA VIE "Mercedes SOSA"

(Voir les biographies de Mercedes et Pavese : dans "BIOGRAPHIES"   Merci)
http://youtu.be/DPLUSH9xwzA   
( Gracias a la vida titre original )
Merci à la vie di Mercedes  SOSA
Merci  à la vie qui m'a donnée tant  ,
elle m'a donné me deux yeux que,
quand je les ouvres parfaitement
je distingue le noir du blanc
et dans le haut ciel,
son fond étoilé
et dans les multitudes,
l'homme qui j'aime.
Merci  à la vie qui m'a donnée tant 
m'a donné un  l'oreille que,
dans toute l'amplitude,
enregistre, la nuit et le jour,
grillons et canaris
marteaux,turbines,
aboiements, chuchoteries,
et la voix aussi tendre de mon bien-aimé .
Merci à la vie qui m'a donnée  tant ,
m'a donné  le
son et l'abécédaire et,
avec lui, les mots avec les quels
apaisent se je parle à ma  mère,
ami, frère...
et  la  lumière en illuminant
la route  de l'âme ce celui que  j'aime.
Merci à la vie qui m'a donnée tant
elle m'a donnée pour ma marche
de  pieds fatigués
avec eux j’ai marché par
des villes et chaos,
plages et déserts,
montagnes et plaines
et  ta maison, ta rue et ton patio.
Merci  à la vie qui m'a donnée tant
elle m'a donné  le cœur qui
tout s'agite quand
je vois le fruit
du cerveau humain,
quand je vois
le bien aussi loin du mal,
quand je vois dans le fond de tes yeux clairs.
Merci à la vie qui m'a donnée tant
elle m'a donné mon   rire et
m'a donné mon pleur
ainsi je distingue le
bonheur de la tristesse,
et le  doux  matériels dont
est faits mon chant et le
chant de tous, le même pour tous, mon propre chante merci à la vie
Merci  la Vie… Merci  la Vie…
Merci  la Vie... Merci  la Vie .
avec cette chanson Mercedes SOSA rende un omage
au Poéte "sage" Cesare PAVESE
~~♫~♥~~♪~♥~♪~~♥~♫~~
Grazie alla vita che m' ha dato tanto,
m' ha dato due occhi che,
quando li apro perfettamente
distinguo il nero del bianco
 e nell'alto cielo,
il suo fondo stellato
e nella moltitudine , l' uomo che amo .

Grazie alla vita che m' ha dato tanto
m' ha dato l' orecchio che,
in qualsiasi l' ampiezza,
registra,  notte e giorno,
grilli e canarini
martelli, turbine,
abbaiamento , sussurrii,
e la voce così tenera del mio ben amato .
Grazie alla vita che m' ha dato tanto,
m'ha dato il
suono e l' abecedario e,
con lui, le parole con le quali
 con apoteosi  parlo a mia  madre,
amico, fratello
E la luce illuminando la strada
del  cuore di cui che amo  .
Grazie alla vita che m' ha dato tanto
m'ha dato per  la mia marcia
dei  piedi stancati
con loro  sono andato
per città e caos,
spiagge e deserti,
montagne e pianure
E la tua casa, la tua via ed il tuo patio.
Grazie alla vita che m' ha dato tanto
m'ha dato il cuore
che tutto s'agita quando
vedo il frutto
del cervello umano,
quando vedo il bene
anche lontano dal male,
quando vedo nel fondo dei tuoi  occhi chiari.
Grazie alla vita che m' ha dato tanto
m'ha dato il mio ridere
ed ha dato il mio pianto
così io distinguo la
felicità della tristezza,
i dolci  materiali di cui
è fatto il mio canto ed il
canto  di tutti,lo stesso per tutti
il canto di tutti ch'è il mio canto grazie alla vita .
Grazie la vita… Grazie la vita…
Grazie la vita...  Grazie la vita.
con questa canzone " Mercedes SOSA" rende un omaggio
al Poeta " Saggio" Cesare PAVESE


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..
 

06/09/2011

Les oiseaux du ciel ◘ Gli ucelli del cielo ✔



LES OISEAUX DU CIEL

Parfois ma pensée regarde au loin
elle va vers mon village
où les  terres vertes s'étendent à l’infini.
Les arbres majestueux ornent le ciel bleu.

Des nids pleins capturent 
mon regard d’enfant,
Une maman oiseau capture un
insecte pour nourrir son petit affamé.

Le vent léger court sur le blé doré.
Il suffisait du chant caché     
d'un rossignol pour me
faire sourire à la vie.

Le silence assourdissant de
la vaste plaine me réveille
 en chant solitaire,
comme un écho qui déplore...

Toi aussi moineau, tu chantes
 ta plainte dans un hymne solitaire
 à la maman qui n’est plus, 
à un ami tué par le chasseur.

Ma pensée lointaine s’évanouit 
au sourd  pan-pan! d'un fusil…
Restent les larmes amères
pour irriguer mon visage.

Toi chasseur admire ces oiseaux
leurs plumes des mille couleurs
jouant dans le ciel, je voudrais donc t'implorer,
laisse-les chanter en liberté.

Une de tes fillettes peut-être
est en train d'admirer cette
 branche en fleur qui brode le ciel.
Elle écoute le bref chant du moineau,
et les grelottants  couic-couic de
chaudes nichées puis…

Elle s'endort enchantée entre les
gazouillis, le chant du moineau,
et un de tes regards heureux.
Dans ses yeux fermés dansent  les
moineaux de mille couleurs…
Et il germe en chaque cœur, la fleur de l'espoir.

"Lina Randazzo"
Copyright © 2012. All Rights Reserved
 http://www.youtube.com/watch?v=ZjhqWc3sXLg musica di E. Morricone













GLI UCELLI DEL CIELO
Il mio pensiero guarda talvolta in lontananza
va verso il mio villaggio
dove terre verdi si distendono all'infinito.
Alberi maestosi ornano il cielo blu.

Dei nidi pieni catturano
il mio sguardo di bambina,
Un mamma uccello cattura un
insetto per nutrire il suo piccolo affamato.

Vento leggero corre sul grano dorato.
Bastava un canto nascosto
di un usignolo per farmi sorridere alla vita.

Il silenzio assordante della
vasta pianura mi sveglia
in canto solitario,
come un'eco che deplora...

Ache tu passero, canti
il tuo lamento in un inno solitario
alla mamma che non è più,
ad un amico ucciso dal cacciatore.

Il mio pensiero lontano svaisce 
al sordo ta-pùm! di un fucile
Restano lacrime amare per
irrigare il mio viso.

Tu cacciatore ammira questi uccelli
le loro piume di mille colori
giocando nel cielo, vorrei dunque 
implorarti, lascili cantare in libertà.

Una delle tue bambine  forse
sta ad ammirare quel
ramo in fiore che ricama il cielo.
Ascolta il breve canto del passero,
ed i tremanti cip-cip di
caldi nidiate pui…

Si addormenta lietissima tra i
pigolii, il canto del passero, ed
uno dei tuoi sguardi felici.
Nei suoi occhi chiusi danzano i
passeri di mille colori… E
 germoglia in ogni cuore, il fiore della speranza.

« Lina Randazzo »
Copyright © 2012. All Rights Reserved.

 ← cinquetio

Ils entait libre....
 Je suis un oiseau d'appel. un esclave pour tuer mes frères. Mes chers amis, urge Votre aide pour sauver millions d'oiseaux, On ouvre la saison de chasse (de SEPTEMBRE à JANVIER) : Tous les jours… on piège autres malheureux d'oiseaux, qui seront tués...par des chasseurs caché dans la hutte… Nous sommes le mois de septembre : les chasseurs prennent leurs oiseaux d'appel "moi" et je ne peu pas les avertir car je suis un petit joué dans leur main, pour mieux les attirer … connaissez la fin... chers amis aidez-nous!!!  
https://youtu.be/BZcgiJ2jK1s
Loro erano liberi.... Sono un uccello di chiamata. uno schiavo per uccidere i miei fratelli. Cari amici miei, urge il Vostro aiuto per salvare milioni di uccelli, si apre la stagione di caccia, di Settembre a Gennaio,: Tutti i giorni s'intrappolano altri poveri uccelli che saranno uccisi...per i cacciatori nascosti nella capanna... Siamo il mese di settembre: i cacciatori prendono i loro uccelli di chiamata "io" ed io non poco non avvertirli perché sono un piccolo giocato nella loro mano, per meglio attirarli.... conoscete la fine... cari amici aiutateci!!! ...


VOICI LE TEXTE EN FRANÇAIS DE CE CLIP de "A. CELENTANO" 

Le dernier des oiseaux

Dit l'oiseau aux chasseurs que déjà il épier le fusil sur lui :
"avant que tu tires il y a une chose que je dois te dire :
je suis l'unique resté dans le monde entier de ton horrible extermination,
si tu me tues aussi tu n'auras pas de salut :
de tous les hommes vite viendra la fin,
parce que tu cruellement as déferlé l'équilibre de la nature,
toi que toujours tu prêche l'amour et la liberté de chaque homme tu as tué le symbole de la liberté,
tu as détruit l'unique défense des plantes.

Mais maintenant que le ciel et désert,
le commencement d'un massacre est sur vous:
les insectes déjà préparent une guerre,
pour détruire le vert sur la terre,
il n y aura plus d'oxygène dans l’air et vous étouffez doucement, doucement, donc tu as seulement une mode pour te sauver: laisse-moi libre d'aller par le monde,
en espérant dans un miracle seulement:
que je trouve une compagne sauve,
de sorte que revienne ma race comme il a été écrit dans la nature. 
Mais maintenant que le fusil tu as abaissé,
une chose encore je dois te dire:
cette faveur je ne te la ferait pas;
tu veux m'épargner seulement parce que tu as peur,
peur de mourir.
Je ne permettrai pas que des nouvelles ailes naissent encore pour être une cruelle cible des chasseurs,
même si tu ne me tueras pas,
j’attenterai la morte qui me prend.
Celle-ci et ma vengeance…

Celle-ci et ma vengeance… 
....